Foule

et mime le pas de la foule. * Mouvement repris par de nombreux verbes d'actions « soulevaient », « agitaient », « brandissaient » = epaisseur à la description, foule qui s'anime devant nos yeux. * Passé simple « déboulèrent » evoque une certaine rapidité, temps qui rompt avec l'imparfait = on rentre de plus belle dans l'action. * Allitération en [l] : « déboulérent, mille, seul, roulait, laine, loques, culottes... » = roulement, déboulement des hommes. c. La foule, personnage epique *

C’est un lieu chic et luxueux. C’est ici où les personnes célèbres se marient. Lieu de théâtre église surélevé. Signe/lieu de réussite. * La foule : « Peuple », « foule », « église pleine de monde », le  « tout Paris » est là. Ceux à qui Duroy sert la main sont les élites. Ce mariage est une fête Parisienne. * Audiovisuel : La foule fait du bruit la harangue L’orgue musical fait des vagues de sons : la puissance/la fragilité des sons ( champ lexical). C’est une musique qui joue

jour après jour, il écrit son journal. Il nous fait partager lesderniers jours de sa vie, ses pensées. A l'approche du jour fatidique, ilnous fait vivre toutes les étapes de son martyre: sa condamnation et lesentiment d'irréalité qui l'a saisi, la foule qui lui crache sa haine,et puis cette mort qui l'attend, inimaginable. Le passé et le présent semêlent. il pense à sa fille, à sa femme, il rêve qu'il s'évade; des imagesdu monde des vivants surgissent, des images d'été, de nature, debonheur, mais

c'est le nombre d'individus donc les modalités d'interactions entre les individus changent ainsi que l'état psychologique du groupe. -La foule -la bande -le groupement -le groupe primaire -le groupe secondaire -(la série) un groupe de vies passées d'une catégorie à l'autre. Ou un groupe peut contenir une autre catégorie de groupe. Ex : la foule * La foule C'est un phénomène individuel et collectif dans les modalités de fonctionnement sont différentes de la sociologie. Cf : LE BON et

L'alternance et la variété des points de vue •Le point de vue externe met en scène le couple officiel et traduit le regard des témoins (la foule dont le narrateur semble faire partie). •Le point de vue interne fait partager au lecteur les sentiments et les pensées de Du Roy. 3. Le jeu des personnages : un héros et son public •Opposition entre Bel-Ami et la foule constament marquée pour mieux le mettre en valeur. •Duroy est le personnage central : il est parfois nommé (« Bel-Ami », « Georges »), parfois

un véritable crime qui se déroule en parallèle du déclin devenu inéluctable du Second Empire. L'affaire de Hautefaye se marque en effet par le meurtre d'Alain de Monéys, un jeune noble de la région rurale de Dorgogne par une liesse populaire, une foule de paysans venu participer à la traditionnelle fête du village le 16 août 1870. L'objet choisi pourrait s'apprenter à un quelconque abominable assassinat ; néanmoins le contexte social et politique ainsi que la violence du déchaînement interpellent

TRAME DE SEANCE PENTABONDS Saut global : Enchaînement de différents bonds  1 cloche pied + 3 Foulées Bondissantes +1 saut en longueur Enjeux de formation : - trouver le meilleur compromis entre la vitesse linéaire et l’angle d’envol oblique sans mordre la planche - trouver le meilleur compromis entre la vitesse linéaire et la régulation de 5 sauts enchaînés - surmonter les contraintes du dispositif et du règlement. Textes officiels :

inspire une profonde pitié chez le lecteur qui connote tout de même un sentiment de respect . La foule paraît dans ce texte comme un seul et même personnage. Ce personnage serait à l'origine de la condamnation à mort selon Victor Hugo. Car c'est la foule qui demande la condamnation, et la prend comme un vulgaire spectacle. Le bourreau ne serrait là que pour préparer et exécuter le spectacle. La foule ne se soucie guère de la position du condamné. Elle est donc caractérisé comme avide de sang. Le

psychologie des foules. A/ La psychologie des foules. 1895, Gustave Lebon, psychologue. C’est un traité qui a inspiré les hommes politiques. La foule ne se réduit pas à la somme des hommes qui la compose, la foule est dotée d’une sorte d’arme collective. La foule est « moutonnière ». La foule n’agit plus, chacun fait comme les autres. La foule est très influençable, comme l’état d’une personne sous hypnose. On peut par contagion, susciter certain comportement, on assiste à des débordements.

Robert Doisneau. Robert Doisneau meurt à Montrouge le 1er avril 1994. Il est enterré à Raizeux, aux côtés de sa femme. Présentation de l’œuvre : Cette photographie, en noir et blanc, montre un couple de jeunes gens qui s'embrassant, au milieu d'une foule affairée, place de l'hôtel de ville de Paris. Elle a été réalisée en 1950 par Robert Doisneau. Histoire de l’œuvre : Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes