Forces Faiblesses Firme Microsoft

0° - 5° 50km 40 km STRATOSPHERE Ballons sondes Ozone nuages nacrés - 54° 25 km TROPOSPHERE - 56° Cumulo Nimbus Everest 8848 m 10km Mont Blanc 4447 m Cumulus 0° 15° 5 km 0 KM AVANTAGE COMPARATIF • Ce qui pour une firme, a un moment donné peut faire préférer une localisation a une autre ( coût de la main d’œuvre, politique fiscale, financière, etc) Concepts et not… Géographie.doc 6 AVEN • Abîme en forme d’entonnoir ou de puits qui s’ouvre à la surface de

pratique, l’orientation-clients est diversement appliquée dans les entreprises, même si toutes prétendent s’en inspirer. En fait, comme on l’a souligné plus haut, l’orientation-clients est un idéal à atteindre, rarement tout à fait réalisé. La réelle faiblesse de l’orientation-clients est de négliger les besoins non exprimés des consommateurs. Il est clair que, si l’on interroge les consommateurs sur leurs besoins futurs, ils pourront, au mieux, imaginer un produit actuel légèrement amélioré : typiquement

(Exemple: compote: expliquer qu’ils peuvent en manger à 4H ; la poudre à lessiver – le niveau d’utilisation se modifie car à la fin du pot, on met une plus petite dose. Donc promo (qui se finit à la fin de la semaine : « il faut profiter ») pour forcer les gens à acheter plusieurs bidons car plus on en a, plus on consomme.) * Augmenter le niveau de consommation à chaque occasion : Par exemple, Philadelphia est bon à tartiner ET à cuisiner donc ça augmenter les niveaux de consommation et on

Modèles Stratégiques Schéma de base d'une démarche : modèle LCAG "de Harvard" VISION Volonté Menaces Environnement externe Opportunités Responsabilité des Dirigeants  Projets clés D.Delaigue Forces Domaine d’Activité Métiers / Savoir  Faire Segmentation, Facteurs Clés de Succès Faiblesses Axes stratégiques ­ Objectifs globaux et par segments stratégiques Choix d'un positionnement et d'objectifs par segment : proposition de valeur Choix de stratégie par segment Analyse du portefeuille

pratique, l’orientation-clients est diversement appliquée dans les entreprises, même si toutes prétendent s’en inspirer. En fait, comme on l’a souligné plus haut, l’orientation-clients est un idéal à atteindre, rarement tout à fait réalisé. La réelle faiblesse de l’orientation-clients est de négliger les besoins non exprimés des consommateurs. Il est clair que, si l’on interroge les consommateurs sur leurs besoins futurs, ils pourront, au mieux, imaginer un produit actuel légèrement amélioré : typiquement

blocs d'explications : la troisième approche se situe à un niveau médian, c'est-à-dire qu'elle essaye de ne pas se centrer sur une seule explication ni de faire une présentation sous forme de catalogue. Elle cherche à tenir compte des différentes forces essentielles et d'en faire des typologies : blocs d'explications pouvant intégrer et contenir les principaux déterminants économiques. Cette approche permet, d'une part, d'appréhender au plus près la réalité en se focalisant sur les déterminants les

PDME............................................................................................................360 Figure 62 : le modèle de cinq forces selon Porter (1985).................................................................................................................364 Figure 63 : arbre de décision de la stratégie d’innovation d’une firme selon Oster (1999) ............................................................385 Figure 64 : relations entre théories et hypothèses de départ

nous pouvons caractériser l’internationalisation en reprenant la définition donnée par Michel SCARAMUZZA4 « l’internationalisation d’une entreprise revêt de multiples aspects mais peut s’appréhender, d’une manière générale, comme l’intrusion d’une firme sur des territoires géographiquement, culturellement, économiquement et juridiquement différents de ceux de son marché national dont ils sont séparés par des frontières multiformes (tarifaires, sanitaires, administratives, fiscales et réglementaires)

ORGANISATIONS 2.2 – LES CLASSIQUES 2.3 – L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES 2.4 – LES NEO CLASSIQUES 2.5 – L’ORGANISATION, SYSTEME COMPLEXE 2.6 – L’ANALYSE SOCIOLOGIQUE DES ORGANISATIONS 2.7 – LES THEORIES DE LA CONTINGENCE STRUCTURELLE 2.8 – LES THEORIES DE LA FIRME 2.9 – LES APPROCHES DE L’EVOLUTION DES ORGANISATIONS 3.1 – LA CHAINE DE VALEUR 3.2 – LES PARTIES PRENANTES 3.3 – LES DEFIS CONTEMPORAINS DU MANAGEMENT 3.4 – LA RESPONSABILITE SOCIETALE DE L’ENTREPRISE 4.1 – LES STRUCTURES TYPES DE L’ORGANISATION 4

Proximus, Colruyt et Mobistar. « Les nouvelles marques-cultes » : Interbrand montre que la valeur financière des marques les plus fortes s’effrite au profit des labels nés du boom des nouvelles technologies. Bien que toujours leader devant Microsoft et IBM, Coca-Cola perd 4% ($67 mrd), Ford, Nintendo et Kodak reculent également. Par contre, Apple, Amazon et Yahoo ! font partie de la nouvelle génération des marques cultes et voient leur valeur financière exploser. “The 100 Top Brands”: