Experience Esthétique

de la création et parvient à manifester dans le domaine vivant de la sensibilité la dimension spirituelle de l’humain La puissance d’expression d’une œuvre d’art est essentiellement esthétique. (Texte) L’art se caractérise par la recherche de la production d’une valeur esthétique. Il est estimé pour sa valeur esthétique. L’art nous procure des œuvres dont la seule justification est d’abord le plaisir que l’on à les voir, à les écouter, à les lire. L’utilité de l’objet n’est pas son premier motif. C’est

sensible, sa première source d’inspiration. Ici, le poète ouvre dans la méditation sur la Nature une nouvelle voie de connaissance en même temps qu’il invente ou plutôt affine les expressions novatrices qui lui permettront de rendre compte de cette expérience mystique. Le poète livre une méthode, celle des synesthésies, c’est-à-dire des équivalences sensorielles. Les outils littéraires aptes à rendre compte de cette démarche sont essentiellement les figures d’images : comparaisons etmétaphores. Le sonnet

à augmenter la qualité perçue du produit et à créer une relation intime entre le produit et le consommateur. Les consommateurs n’achètent plus un produit, une marque ou un logo, mais de plus en plus une sensation. Ils veulent désormais vivre une expérience unique et personnelle. Pour séduire les consommateurs, les marques n’hésitent plus à créer des produits aux attraits sensoriels irrésistibles : Post-it parfumés aux fruits rouges ou au lilas, collants «Dim Cosmétiq» hydratants et tonifiants, portières

l’œuvre qui finit bien, comme il y a des topoï de l’œuvre qui finit mal, notamment pour l’aventure amoureuse (Roméo et Juliette, Tristan et Iseult). L’œuvre finit « bien » d’un point de vue moral ? D’un point de vue esthétique (une « fin en beauté » comme la transfiguration notamment esthétique de Manon par sa mort) ? Il y a certes des fins positives au niveau de l’intrigue, des personnages. Mais une œuvre qui finit bien n’est-elle pas celle qui finit « bien » pour le lecteur ? De laquelle il retire quelque

C’est en 1841, durant son fameux voyage à destination des Indes1, imposé par son beau-père, le commandant Aupick, que Charles Baudelaire, quittant le navire débarque à La Réunion (L’île Bourbon) où il découvre les charmes de l’exotisme. Cette courte expérience marque définitivement son inspiration : on la retrouvera dans nombre de poèmes des Fleurs du Mal. Mais l’un des textes les plus achevés, dans ce domaine, est sans conteste un poème en prose où l’auteur met en scène une superbe jeune femme des îles

l'attention ce n'est pas une epidemie maison les prescrit aux gens par mode medical pr que ces enfants soient plus actif en cours et plus concentré ( sjt de cours ) --> épidemie fictive , les arts sont les victimes de cette mentalité ( experience esthetique sens fonctionne pleinement , ..) anéstésie : extinction de nos sens alors qu'il faudrai faire le contraire les reveiller , reveler ce qu'ils ont en eux anesthésie : extinction de nos sens ( effet de certain de ses médoc ) --> il faudra

qualifie d’activité artistique... Que les femmes et les hommes aiment à se coiffer, se maquiller, se peindre, se tatouer, se vêtir, se parer montre suffisamment leur attrait spontané pour la beauté, attrait qu’ils manifestent d’abord dans le rapport esthétique qu’ils entretiennent à leur propre corps. Il ne semblerait donc pas absurde de dire que l’intérêt humain pour le beau trouve sa source dans le phénomène du plaisir. Mais le sentiment du beau est-il tout entier, et strictement, identifiable comme

matière :« Ne nous protège pas de la confusion et de la discussion »– pourquoi ?Conseil de lecture : « l’œuvre de l’art (livre) » – On va parler de l’art mais pas des arts L’art on sait à peu près ce que c’est ce à quoi ça prétend : dimension ethnique, esthétique * Nous traiterons principalement des arts plastiques laissant de côté les arts du langage et du son Restriction du domaine : On traitera principalement des art plastiques = > les beaux-arts (le dessin, l’architecture, peinture etc…) et

de la fierté et cela nous réjouit. Exemple : Ludovic Passamonti fait le tour du monde est ce n’est pas quand il le finit qu’il est le plus heureux, sinon quand il est entrain de le vivre qu’il crée son bonheur, ainsi il raconte ses meilleures expériences : « Au niveau humain, la visite des townships (bidonvilles) de Cape Town fut poignante, la rencontre avec une tribu Himba en Namibie impressionnante. Au niveau nature, les 10 jours en Antarctique me semblent encore faire partie d'un rêve. Je ne

Une esthétique du quotidien Marine Rouit Mémoire de fin d’études sous la direction de Renaud Ego Ensci - Les Ateliers Mars 2008 Table des matières • Prologue (p.10) I • Qu’est-ce que le quotidien ? • Un espace aux contours flous · Le quotidien c’est le cadre de vie · Les habitudes : l’emploi du temps ordinaire · Les menus plaisirs • Un lieu de l’effacement · Anesthésie et dévaluation · L’ambivalence