Experience Esthétique

 Objectivité  et  méthode  scientifique…………………………………………………………….p32     A.  Le  recours  à  la  méthode  comme  fondation  de  l’objectivité  scientifique…………..p32     B.  Observation,  expérience  et  objectivité…………………………………………………………………..p35     C.  Théorie  et  objectivité…………………………………………………………………………………..…………....p44         III.  Objectivité  et  communauté  scientifique………………………………………………

vers des questions dont l'art constitue le pôle majeur1. Que ses travaux, dès lors, aient considérablement renouvelé le champ des questions esthétiques, c'est l'évidence; peut-être s'en rend-on même mieux compte aujourd'hui2. Ceux qui en ont initialement saisi la portée y ont trouvé la possibilité d'aborder au moyen d'instruments neufs les phénomènes esthétiques et de reconsidérer les attendus d'une tradition que l'art lui-même avait amplement commencé à miner. Le mouvement qui a conduit Goodman à

la spécificité de l’image qui se présente comme un simple ornement, un lieu de création, prise entre son aspect esthétique et relationnel. Dans la deuxième partie, on exposera le défi et l’audace lançait par l’artiste pour donner un caractère interactive a ses productions artistiques, et adopte un nouveau rôle qui sera désormais un travail d’hybridation entre ce qu’est esthétique et technique, pour présenter par après une analyse de quelles que œuvres qui dévoilent toute un système stratégique

fois simple et puissante. Cette philosophie est aujourd'hui devenue la clef de voûte de notre société et des produits que nous fabriquons. Chacune de nos générations de produits est le fruit d'une mûre réflexion, laquelle prend en compte la riche expérience acquise au fil des années. En 1907, Peter Behrens publie « L'art dans la technologie », ouvrage qui deviendra par la suite la base de « Mariage parfait du design et de la fonctionnalité ». Il est appelé dans les rangs d'AEG et devient désormais

dans le mot français art, qui peut tout autant désigner une technique (l’art du jardinier, l’art du médecin, les arts martiaux) que ce qui relève des beaux-arts. Progressivement, on prendra l’habitude de réserver le mot art pour les productions esthétiques (pour les oeuvres belles), et le mot technique pour les productions utilitaires. Cette ancienne complicité entre l’art et la technique nous rappelle : - qu’il n’y a pas d’art sans technique. Même l’artiste le plus génial doit d’abord travailler

XXème siècle, la critique se veut l’égale de l’œuvre d’art. Celle-ci a éclaté et l’interprétation devient une partie du texte. Les textes appartiennent à la critique plus qu’à l’écrivain. Les critiques sont souvent des écrivains qui expriment leur esthétique, ou qui révèlent d’autres auteurs méconnus (Malraux avec Faulkner). La critique des artistes est une œuvre d’art, elle est sensible. La critique appartient à l’œuvre qu’elle prolonge, elle est un espace de résonance. La critique parlée (des journalistes)

critiquer le sensible ... ) ¤ Le beau : Vision objective du beau , avec le goût et le jugement esthétique , le Beau n'a pas besoin d'être démontré , juger par apport qq chose que l'on sent , pour avoir un jugement il faut un sujet , " ceci est beau ' , c'est à dire par apport à mon experience . Le jugement esthétique naît avec l'idée du sujet ( 17e / 18e ) , le sujet d'affirmant dans le domaine esthétique . Chez les grecs , il n'y avait aucune conception de la beuté , pas d'idée du sujet , pas d'esthétique

d’accord : argument scientifique : les fleurs sont bleux car .. pourtant science une verité vraie jusqu’à preuve du contraire : qu’est ce qui nous dit que cette science est exacte ? Ex : changement de paradigme en géographie ; Ms science pure par expérience montre que vraie : Descartes : méditations métaphysique. Argument universel est un argument irréfutable de par l’expérience qui le prouve donc c’est un argument universel : cet argument peut-il être utilisé pour juger l’œuvre d’art ? Partir de

technique. En revanche, ce sont les œuvres d’art qui étant soumises à l’appréciation révèlent la difficulté du jugement culturel, car a priori, les œuvres d’art n’ont pas d’autre destination que de procurer un plaisir esthétique ? Une œuvre sera jugée belle ou non selon ce plaisir esthétique, qui devient alors critère de valeur. Mais comment fonder un jugement sur un plaisir qui, par définition, ne peut être que subjectif, relatif et singulier ? De sorte que le jugement de beauté ne pourrait prétendre

A la lecture de cette approche esthétique du baroque et du classicisme, d’après deux métaphores de la peinture et du roman, il apparait nettement avec le ‘en revanche’ une opposition tres nette entre les deux styles, qui n’est pas des moins usuelles. On aurait en effet tendance à avoir en tete deux visions du monde contradictoires: d’un côté, la liberté des formes, l’exubérance du langage baroque; de l’autre la mesure et l’ordre du classicisme. Or ,la définition de Fubini a de cela de subtil, qu’elle