Épithète

sans doute ce "plus soûlaud que [lui]" qui ne vend peut-être pas sa femme pour seulement se payer un verre. Car lui, du moins, a pu l'acheter... [contact auteur : Dominique Chailley] 02Ivrogne, immonde, infâme, Euphonie L'effet de ces trois épithètes successifs en "i", soulignés par la phraséologie de la musique, est d'un effet "pesant" très remarquable, à comparer aux derniers vers de L'épave : "... mais ma langue honteuse / retombe lourdement dans ma bouche pâteuse". [contact auteur : Dominique

une femme pleure son époux en l'étreignant » Ulysse pleure Mémoire importante Chant V et VIII« l'aube aux doigts de roses » « l'aurore aux doigts de roses » répétition Chant V vers 11Peur de l'oubli « nul n'a gardé le souvenir d'Ulysse » Épithète Calypso« la bienheureuse ou merveilleuse Calypso » Hermès«  Le messager éblouissant » Poséidon« L'ébranleur des terres » Ulysse Chant V vers 214« L'ingénieux Ulysse » génie, habilité extraordinaire, doué de la parole Chant V vers 235« Le

Souligne l’attribut du sujet. /5 Mon chien s’appelle Caramel. Il ressemble à son maître. Il est resté un grand enfant. Ce chien paraissait gentil. Son passe-temps était de jouer à la balle. 9. Complète les groupes nominaux avec deux épithètes. /10 Ex : un lézard un gros lézard vert Un film un joli film afro-américain Un homme un jeune homme timide Une île une magnifique ile paradisiaque Une vache une grosse vache poilu Une rue une grande rue commerciale Un commerçant

visée satirique 1) une critique de Versailles a travers une satire politique et religieuse * la religion omniprésente : adj. Dépréciatif « vétillard, ignorant » -> portrait péjoratif du Muphti * imitation condamnation sans appel avec cascade d’adj. Épithète qui se suivre «L44 L45 : malsonnant… » *répétition de « Hérétique sentant l’hérésie » : humour de Voltaire * explication du Muphti après condamnation : renforce la condamnation *Les 2 points perdent toute logique : ridiculise jugement arbitraire

le trône. Achille (en grec ancien Ἀχιλλεύς / Akhilleús) est un héros légendaire de la guerre de Troie, fils de Pélée, roi de Phthie en Thessalie, et de Thétis, une Néréide (nymphe marine). Il est fréquemment appelé « Péléide1 » ou « Éacide », épithètes qui rappellent son ascendance. Sa mère le plonge dans le Styx, l'un des fleuves des Enfers, pour qu'il devienne invulnérable ; son talon, par lequel le tient Thétis, n'est pas trempé dans le fleuve et reste donc mortel. Il est éduqué par le centaure Chiron qui

divinité. L’imagination des grecs du IXème siècle leur faisait voir dans les phénomènes de la nature des forces divines en action. Zeus (Jupiter) tonnait en haut de l’Olympe ; Poséidon (Neptune) ébranlait la mer et la calmait tour à tour ; Phébus [épithète d’Apollon signifiant « pur » ou « lumineux »] éclairait le monde ; les grands dieux se partageaient le gouvernement suprême de la nature. Une infinité de nymphes, de satyres, de divinités secondaires peuplaient les eaux et les bois. Toutes ces

des moyens variés : propositions subordonnées relatives ( ¼"où il avait peint¼" l.11 ¼"qui comptait sur le peintre pour¼" l.14), compléments prépositionnels à valeur adverbiale (¼"bruissaient [¼] de couleurs éclatantes et tendres" l.16), adjectifs épithètes et appositions ("un autre jardin de tulipes, orgueil et joie d'un pacha¼" l.13). Des verbes variés animent les sujets d'une vie pleine et riche : "palpitaient et bruissaient" (l.15) "chantait" (l.16), "perçaient" (l.17). En variant les procédés d'écriture

particularité d'être membre à part entière de l’oikos (cellule familiale, maisonnée) : Laërte boit et mange avec ses serviteurs20 et en hiver, il dort à leurs côtés21. Le terme dmôs n’est pas péjoratif et Eumée, le « divin » porcher, bénéficie des mêmes épithètes homériques que les héros grecs. Malgré tout, l’esclavage reste une déchéance. Eumée lui-même déclare que « Zeus l'Assourdissant prend la moitié de sa valeur / à l'homme, dès le jour où on le livre à l'esclavage22. » À l'âge archaïque, il est difficile

v.3 « au détour d’un sentier » C.C. Lieu. Idée du détour, idée détournée, inhabituelle. « au détour d’un sentier une charogne infâme » Césure à l’hémistiche Le sentier guide le lecteur, tourne le regard. « une charogne infâme » Adjectif épithète Amplification Vision terrible, difficile à tolérer. V.4 « lit semé de cailloux » Antithèse Idée d’inconfort, charogne qui gâche la balade. Le lecteur est dans une posture inconfortable. V.5-6 « Jambes en l’air », « femme lubrique », « brûlante »

Impression que le rêve s’efface progressivement, la lumière disparait, les images s’écoulent, s’évanouissent. Le rêve se termine... “les torches s’étaient éteintes” Personnification Incompréhension du poète, effacement du rêve « débordés et rapides » Epithètes de ruisseaux … mais le poète n’est pas apaisé ,- et je Ponctuation, rupture + pronom personnel première personne Rejet poétique, le narrateur redevient celui qui rêve.