Épithète

cloche », annonciatrice de la mort, et le comparant « vieux soldat », image concrète de l’usure de la vie, révèlent que la mort est liée évidemment à l’état humain. Le motif du cadavre est repris au vers 10 avec l’adjectif épithète « froid » et au vers 11 avec l’adjectif épithète « affaiblie » qui souligne l’imminence de la mort. Ensuite, une deuxième comparaison vient développer l’analogie du mourant de la première en introduisant des détails qui relèvent de l’image du macabre. Aux vers 11 et 12

étrangères. Ainsi l'Antiquité confondait-elle tout ce qui ne participait pas de la culture grecque (puis gréco-romaine) sous le même nom de barbare ; la civilisation occidentale a ensuite utilisé le terme de sauvage dans le même sens. Or derrière ces épithètes se dissimule un même jugement : il est probable que le mot barbare se réfère étymologiquement à la confusion et à l'inarticulation du chant des oiseaux, opposées à la valeur signifiante du langage humain ; et sauvage, qui veut dire « de la forêt

et de douleur le monstre bondissant/ Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, / Se roule, et leur présente une gueule enflammée,/ Qui les couvre de feu, de sang et de fumée » V. 17-20. Enfin Hippolyte est qualifié d’ « intrépide » (V.28), épithète homérique du héros qui ne connaît pas la peur. Le spectateur de l’époque, nourri de christianisme, fait un lien entre ce héros qui combat un « monstre » ressemblant à un « dragon » « Qui les couvre de sang et de fumée » et Saint Georges qui combat

Beckett écrit un essai intitulé Proust, où il s’intéresse au thème du temps et de la mort chez l’auteur de la Recherche mais aussi à l’expérience de la création littéraire qu’il rapproche d’« une expérience religieuse au seul sens intelligible de cette épithète, tout à la fois assomption et annonciation ». Entre 1926 et 1932, il écrit aussi des poèmes et se nourrit de la grande poésie européenne, de Dante à Leopardi, de Shakespeare à Keats. Viennent ensuite ses premiers romans, Murphy, 1938, où Murphy est

exclamatives, des questions rhétoriques, citations. L’èspace-l’avenue des Champs-Elysees. Le temps—la soirée. 11. Tropes Personification : • les arbres a peine vetus de feuilles, • la legion des etoiles semait sur le ciel noir une poudre d'or (epithete), • un sourire qui dit : “Oui” Comparaison : • ...dans ces étoiles que voilà, jetées comme une graine de feu à travers l’espace • Nous nous aimons les uns les autres comme si nous étions enchaînés • Tiens, nous sommes tous comme cette pierre

elle le vouvoie. Dans l’attitude distante de celui-ci, le mépris semble évident. Alors Hermione éclate. Elle revient brusquement au tutoiement : " Vous ne répondez point ? / Perfide [...] tu comptes les moments que tu perds avec moi ! "(21). Cet épithète (" perfide ") marque la colère d’Hermione consternée du double jeu de celui qu’elle aime. Prise d’une fureur froide, elle finit par menacer celui qu’elle appelait " Maître " quelques instants avant. Cette fois, elle parle d’elle à la troisième personne

nature et la fonction des mots soulignés (1pt) La petite chèvre savante mettait ses pieds sur de supports en verre « Savante » N ………………….. F ………..……..... « En verre » N………….……… F ………..………… 2- Remplace la subordonnée relative par un adjectif épithète de même sens. (2pts) -Le clown qui fait preuve de maladresse est applaudi par les spectateurs. …………………………………………………………………………………………………. -La face du pierrot qui est pleine de rides se glissa entre les rideaux. …………………………………………………………………………………………………

Adverbe (l.69) « pied à pied »  caractère anticipé, calculé, machiavélique de la stratégie de conquête amoureuse du libertin Adverbe (l.71) « doucement »  fonction de CCManière  sens aïgu de la psychologie féminine chez DJ Adjectif épithète (l.66) « petits »  valeur modératrice  DJ prend son temps pour conquérir les femmes; donne l'illusion du sentiment amoureux. I Ici, la patience est une ruse tout comme l'était la flatterie, laquelle constitue la première étape de la stratégie

un répertoire connu de son public. C'est ainsi qu'au VIIIe siècle avant notre ère, celui que les Anciens appellent Homère réunit des chants épiques en un seul poème : l'épopée. De la tradition orale, le Poète conserve le style, rythmé par des épithètes et des formules, ainsi que la forme, codifiée dans un vers à six pieds, l'hexamètre. Une forme immuable qui permettra la transmission de l'épopée jusqu'à la fixation du texte au VIe siècle avant notre ère. Avec l'Iliade, Homère crée une œuvre originale

Pierrot est candide et a une certaine dose de bon sens. Son vêtement est blanc. Dans ce poème, Pierrot saute avec légèreté l'obstacle, peut-être => la dentale [d] qui lui donne de l'élan. - Au contraire, Léandre, semble, => alourdit par son épithète homérique, Léandre le sot => type même du jeune amoureux enrubanné (Il est sot car l'amour rend bête) -> Pierrot et Léandre sont caractérisés par des mots de la même sonorité "sot" et "saut" donnant de la légèreté pour l'un, alourdissant l'autre