Épithète

beauté Pas de terme indiquant un refus, mais l'irréel du présent « je l'aimerais » accentué par l'adverbe modalisateur « volontiers » traduit bien l'impossibilité de la côtoyer, dans sa forme idéale, sacralisée, qu'il définit rapidement dans les épithètes détachées : déesse et immortelle (cf. La Beauté dans Les Fleurs du Mal) - l'idéal impur de l'homme : l'or (richesse et puissance) Force plus grande des sentiments par la reprise du verbe haïr. Comparaison très suggestive : elle confère une valeur

de son rôle et parler vrai : elle exprime son agacement et son mépris au spectateur, redoublant pour nous sa duplicité : « Voilà un vilain petit homme ». Arlequin était petit en effet (rôle tenu par Thomassin, de petite taille), mais surtout cette épithète le diminue encore socialement. Hélas Arlequin l’entend. Dernière erreur de Lisette : pleurer des larmes de crocodile (« J’ai du malheur de ce que je vous dis »), et révéler sa sensibilité aux apparences (« j’avoue qu’à vous voir seulement »), donc

messes... » Culte des saints tournés en dérision : les paroles des vaincus rappellent l'Iliade ou la Chanson de geste (avec une allusion à Les Quatre Fils Aymon), sauf que les saints évoqués par les mourants sont fantaisistes, de même que les épithètes prêtées à la Vierge Marie. 3. Un déni de religion Irrespect des rites : ni la confession ni les prières ne sont efficaces car il s’agit de conventions privées de leur sens originel. Malaise face au comportement des hommes d’Église : dilemme entre

l’auteur souligne qu’elle était profondément triste mais on ne voit encore aucune cause de sa tristesse: “Ses yeux bleus étaient humides et ses lèvres entrouvertes. Elle regardait sans voir et semblait perdue dans un rêve.” Dans ce texte on voit les épithètes par exemple “une idée affreuse”, “l’esprit fertile”, “une âme souillée”; les comparaisons qui depeignent des effets fantastiques par exemple “j’étais enclin de tout temps à prendre la vie comme un spectacle”; les métaphors qui créent des images surprenants

et d’Anticlée arrière petite fille d’Hermès messager et fils des dieux (de Zeus). Il est donc d’origine divine. Il est aussi qualifié par différents épothètes homériques tels que « divin Ulysse » ou « Ulysse égal aux dieux ». Homère utilise ces épithétes pour des raisons diverses. Dans le cas « d’Ulysse fils de Zeux », Homère veut soit le gratifier, le rendre plus important soit supposer qu’il est véritablement issu d’une lignée de Zeus qui est aussi le patriarche donc le père de tous les hommes

8/Je sais identifier les déterminants. Entoure les déterminants Mer mou moi mes ce Lui loi il à l’ Lourd leur près pour cerf Le lever les laver la 9/Je sais identifier les adjectifs. Dans les phrases suivantes souligne les adjectifs épithètes et encadre les adjectifs attributs. Lina a mis sa jolie robe rouge. Elle semble courte. Tous les élèves paraissent gentils. 10/ Je sais identifier les pronoms personnels. Dans les phrases suivantes, entoure les pronoms personnels.

interrogative et exclamative + interjection « Mon Dieu ! »L.4 De plus Candide s’adresse au nègre : «  Mon ami » : il l’apostrophe Il le tutoie : « où je te vois » Récit «  son nègre » : le possessif ne signifie pas une relation d’appartenance. Un épithète est différent d’un antéposée. « Ce pauvre homme » : opinion de Voltaire pauvre=adjectif : sens figuré L’effet que cela crée sur nous est très important. Cela donne envie de le protéger. « L’état horrible » : sentiment sincère de Candide. La force

Circonstanciel Un élève va au tableau. S + V + où ? de lieu Dès le matin, les élèves chantent . S + V + quand ? de temps Les élèves chantent avec entrain. S + V + comment ? de manière AUTOUR DU NOM : LES EXPANSIONS L’ adjectif qualificatif épithète Voici un livre intéressant. Nom + comment ? Complément du nom Voici un livre de géographie. Nom + Préposition + autres Proposition subordonnée relative Voici un livre que j’aime beaucoup. Nom + Pronom relatif + verbe conjugué + autres CONJUGAISON

sous les traits d'un être. allégorie représentation concrète d'un élément abstrait, comme une idée. « La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles », Baudelaire, Les Fleurs du Mal hypallage épithète constituant une métaphore par le décalage de la relation logique entre les éléments d'une phrase « Automne malade » Guillaume Apollinaire, Alcools Ici, c'est l'association de la saison à la mélancolie

protéger de ces rôdeurs qui n'hésitaient pas à déterrer les cadavres, que dès le début de l'ère pharaonique, les Égyptiens divinisèrent ces animaux pour s'attirer leurs bonnes grâces. Les différentes fonctions d'Anubis se retrouvent dans les quatre épithètes qui lui sont généralement associées : Tépy-djouf, « Celui qui est juché sur sa montagne » ; Khenty-seh-netjer, « Président du divin pavillon » (ou se déroule l'embaumement: Imy-out « celui qui est la bandelette » ; Néb-ta-djéser, « Seigneur de