Épicure

l'homme. Ensuite, nous étudierons les vrais besoins qui peuvent exister et nous verrons, pour finir, si ces vrais besoins peuvent être entièrement qualifiés de necessaires. Epicure, philosophe grec (né au environ de -342 avant J-C), différencie les vrais besoins des faux. En effet, dans son oeuvre Lettre à Ménécée, Epicure explique que pour lui, la satisfaction du besoin est un bien. Mais il explique aussi que si l'homme doit absolument trouver le bonheur, il ne doit pas pour autant en faire ses

l’évitement du déplaisir constituent l’objectif de l’existence humaine. Calliclés dit que vivre c’est satisfaire ses passions et en avoir le plus possible, c'est-à-dire cherché à avoir le plus de des sensations agréable a travers les sens, le corp. Mais Epicure dit aussi qu’il faut satisfaire des désirs mais pas n’importe lesquels, seulement les plaisirs naturels. Pour lui aussi le plaisir est le commencement (l’origine du bonheur) et la fin (l’aboutissement, le but), cela correspond a nous, a notre nature

sa hargne s'accumule dans des emportements lourds d'insultes. Face à la tyrannie de son maître, Sganarelle le critique très vivement, souvent lorsqu'il n'est pas là. Ainsi, il le qualifie, dés la scène 1 de l'acte I (p. 12), de « pourceau d' Epicure » (l. 6) « vrai Sardanapale » (l. 7), « hérétique » (l. 5)… Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n'est trop chaud ni trop froid pour lui ». Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu'il n'approuve pas

les désirs puisque l’homme est un être de désirs mais il faut convertir ces désirs en vue d’être heureux. Pour Epicure par exemple il ne faut satisfaire que les désirs naturels, c'est-à-dire les désirs que l’ont peut satisfaire, les besoins naturels. Il faut se limiter à se cadre de désirs, qui sont réalisables et dont la satisfaction apporte l’équilibre de l’âme et donc le bonheur. Epicure dénonce par exemple l’excès, qui conduit ensuite au manque et qui ne conduit donc pas au bonheur. L’épicurisme

: sa hargne s'accumule dans des emportements lourds d'insultes. Face à la tyrannie de son maître, Sganarelle le critique très vivement, souvent lorsqu'il n'est pas là. Ainsi, il le qualifie, dés la scène 1 de l'acte I (p. 12),  de « pourceau d' Epicure » (l. 6) « vrai Sardanapale » (l. 7), « hérétique » (l. 5)… Il présente son maître comme un libertin sans aucune morale : « rien n'est trop chaud ni trop froid pour lui ». Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu'il n'approuve pas

autres, alors que la prudence permet d'agir en dirigeant la volonté en vue du bonheur comme l'ataraxie. Dès lors, qu'est-ce que bien vivre ? Chaque personne a son opinion personnelle sur sa façon d'appréhender sa vie et de la vivre mais pour Epicure, bien vivre est le fait d'acquérir du plaisir et pouvoir parvenir au bonheur. Il défend sa thèse en parlant des désirs, et des plaisirs qui peuvent amener bonheur menant à l'ataraxie, l'absence de troubles. Mais aussi en disant qu'il y a des plaisirs

(l'épurisme et le stoïcisme) et deux critiques de la recherche du bonheur. L'épicurisme: une morale hédoniste Les fondements de la morale épicurienne Dès leur naissance, les Hommes recherchent spontanément le plaisir et fuient le malheur. Pour Epicure (341-270 av. J.C.), il est naturel de rechercher le plaisir car c'est vivre en conformité avec la Nature. Ce n'est ainsi pas le Bien idéal qui est le but et le sens de l'existence (contrairement à ce que pensait Platon) mais le bonheur. L'épicurisme

matérialiste et atomiste. Epicure reprend la physique atomiste de Démocrite (468-399) selon laquelle notre univers est exclusivement composé d’atomes et de vide. Selon la doctrine épicurienne, c’est le propre de la nature humaine de fuir la douleur et de rechercher le plaisir.

Il en conclut qu’il est inutile de redouter la mort puisque notre âme, elle aussi composée d’atomes, se désagrégera sans que nous en souffrions (la mort n’est qu’un "retour au néant"). 
Selon Epicure, la philosophie doit conduire

priver) Plan I. La croyance a pour origine une démission de la raison 1) Epicure fut à plusieurs reprises dénoncé pour son athéisme. Mais son position était plus subtile : les dieux existent peut-être, mais dans ce cas ils ne s’occupent pas de nous ; Donc une certaine distance à l’égard de la foi est une œuvre de la raison ; à l’inverse la foi est une forme de superstition, donc d’absence de raison. 2) Le même Epicure explique que la mort n’est rien pour nous, puisqu’elle est absence de sensation

le Stoïcisme et l'Épicurisme. Epicure Épicure, créateur de l’épicurisme, est un Grec qui vécut au IVe - IIIe siècle. Né en 341 à Samos (une île de la côte d'Asie mineure), il se fixe définitivement à Athènes en 306, jusqu'à sa mort en 270. Dans le fameux "Jardin", il vécut avec ses disciples une vie entièrement consacrée à l'enseignement philosophique et à l'amitié, une vie simple et frugale. Sa doctrine toutefois n'est pas entièrement originale. Ainsi Épicure fut profondément influencé par un