Épicure

son nom à son fondateur, le philosophe grec Epicure. Epicure qui a vécu au IVe siècle av. J-C (341-270) enseignait à Athènes dans l’école du Jardin. Sa philosophie entrait en concurrence avec l'autre grand courant de pensée de l'époque, le stoïcisme. Arguments L'épicurisme est une doctrine matérialiste et atomiste. Pour lui est inutile de redouter la mort puisque notre âme est composée d’atomes, se désagrégera sans que nous en souffrions Selon Epicure, la philosophie doit conduire les hommes à

cette doctrine selon laquelle toutes choses seraient déterminées à l’avance. En d’autres termes la cause éternelle des choses en vertu de laquelle les faits passés sont arrivés, les présents arrivent et les futurs doivent arriver. En effet, pour Epicure tout ce qui arrive à l’homme ne pourrait dépendre extrêmement ou totalement d’une divinité naturelle. Il affirme qu’il y’a des choses qui relèvent de l’être humain dans l’optique ou il est considéré comme maitre de son destin. Une fois libéré du

Présentation: * a) Dans la lettre à Ménécée, Epicure relie, par le principe de causalité l'acte de philosopher et le bonheur: pour être heureux il faut pulvériser (réduire en poudre, atomisme) les opinions vaines qui, comme des fantômes nous font souffrir.   * b) Dans le préambule il insiste sur la nécessité d'accomplir l'acte de philosopher à tous les âges de la vie. Mouvement:  * Le texte commence par une affirmation et relie philosophie et santé de l'âme (1ère partie).  * La 2ème

Fin de l’étude de La lettre à Ménécée d’Epicure Le hasard et la fortune : Le sage selon Epicure se dresse face à la Tyché comme un combattant contre les coups du sort, il est décidé à ne pas se laisser abattre par les circonstances, il doit transmuter, changer le mal en bien, et il doit choisir de tirer le meilleur parti de tout ce qui lui arrive. Grâce à l’usage de la raison, la Fortune a peu de prise sur le sage. Le sage peut être malchanceux mais mieux avoir sa raison et pas de chance qu’avoir

Aristote et Epicure. On parle même à l’époque de la prudence comme du concept philosophique par excellence. Ces derniers pensent que c’est une vertu qui agit sur la raison, le fait d’être raisonnable car elle unifie toutes les qualités morales. Cette vertu chez Epicure valorise le plaisir. Cela signifie que les vertus n’existent que par le plaisir qu’elles procurent. Ce sont des moyens nécessaires pour être heureux dans la mesure où elles contribuent à atteindre le bonheur. Epicure fait la distinction

thèse précise d’un auteur sur un problème qui met en jeu la notion. Pour la notion de bonheur, je prendrai un texte de Pascal, extrait des Pensées et le texte de la Lettre à Ménécée du philosophe Epicure. Pascal définit le bonheur comme un état de repos. Qu’est-ce que cela veut dire ? Epicure, lui, a cette définition très simple : le bonheur est, pour le corps, une absence de douleur, et, pour la pensée, une absence de trouble. A) Pascal, Les Pensées. Selon Pascal, la condition de

A travers cette lettre, Epicure s’interroge sur la question du bonheur. Car pour lui, quand on est heureux, on a tout. 2. Philosopher est un acte qui implique n’importe quelle génération. En effet, le fait de philosopher doit être continu. Philosopher implique le jeune car c’est une de ses conditions pour mieux vieillir. Il sera un jour vieillard à son tour. Cela implique également le vieillard car il pourra transmettre son expérience aux jeunes. 3. Selon Epicure, les dieux ne sont pas comme

thèse. Nous allons séparer cette étude en deux parties. Premièrement nous allons nous interroger sur la notion de bonheur et en second temps sur la notion d’argent. I Le bonheur L’épicurisme : Epicure : philosophe grec. Il crée une école de philosophie surnommée « le jardin » Epicure fonde une sagesse du plaisir basée non sur la jouissance, mais sur les plaisirs naturels et nécessaires, la maîtrise des passions, l'absence de souffrance pour le corps et l'absence de "trouble" pour l'âme

la réalité, d'après eux. Voyons donc maintenant par quel moyen c'est possible. Epicure, dans la Lettre à Ménécée, nous propose un moyen pour que le désir ne se satisfasse que de la réalité. Tout d'abord, il faut savoir se contenter de peu pour mieux apprécier l'opulence de manière ponctuelle. Il faut également philosopher. Ensuite vient le tetrapharmakon, qui est constitué des quatre remèdes pour, selon Epicure, accéder au bonheur, qui est le commencement et la fin de toute vie heureuse. Ces quatre

réalisation d’une autre fin. Epicure, dans la même optique, soutient la thèse que le bonheur réside dans le plaisir. Pour atteindre ce bonheur, il faut se débarrasser des préjugés et des superstitions, notamment religieuses (sources d’angoisses empêchant souvent les individus d’agir comme bon leur semble), qui constituent des obstacles à l’atteinte du bonheur. Afin de se détacher de ces idées reçues, il est nécessaire de comprendre le fonctionnement du monde. Epicure propose donc 1 Julie BOURGET