Épicure

perception. C'est uniquement un souvenir. Une mémoire involontaire et sensible: une mémoire pur mais sucsinte qui a gardé l'émotion et la sensibilité du passé. Cette mémoire peut exister qu'après une phase d'oubli qui permet sa conservation intact. Epicure "lettre à Ménécée" La vigilance et la régulation de nos désir. Etre heureux: - Effacer les fausses conceptions a propos des Dieux qui sont des êtres immortels et bienheureux # de la religion Grecques où les Dieux ne sont pas bienheureux car

l’éthique Epicurienne suivie du plan de l’oeuvre : Dans cette œuvre Epicure tente de permettre à l'homme de parvenir au bonheur, de le libérer des craintes en montrant qu’elles ne sont pas fondées, sont sans objets, ou que leurs objets ne sont pas si redoutables. Epicure entreprend ici d’inculquer a son disciple Ménécée la méthode du bonheur, il s’agit donc ici d’un traité de la méthode. Pour mettre au point cette méthode, Epicure se pose la question suivante, A quoi tient l’absence du bonheur, et

désir qui les pousse à vivre de l’enfance jusqu’à la mort. C’est le moteur de leurs motivations, c’est le vecteur de leur volonté, c’est ce qui détermine toutes leurs aspirations. Une personne sans aucun désir témoigne d’une dépression profonde . Épicure pense que le bonheur est possible pour l'Homme. Mais pour cela, ses désirs doivent être à sa portée. Pour cela, il redéfinit le bonheur de façon plus modeste : le bonheur consisterai alors à ne pas être entièrement satisfait mais seulement à ne pas

provisoirement le bonheur comme un etat de satisfaction complète et durable. En quoi consiste cette satisfaction ? Pour Epicure, on ne peut la définir autrement que par le plaisir,cette conception s'appelle l'hédonisme ( hédoné = plaisir, bonheur=plaisir= souverain bien). Le plaisir qui dépend des sensations est le critère même du bonheur, le signe qu'on est en accord avec la nature. Epicure souligne d'ailleurs que tout les êtres vivants recherchent spontanément le plaisir dès la naissance ( argument des

Pour Socrate, cette vie selon la tyrannie du désir est tragique, voire absurde. C’est une fausse vie, dont on ne peut combler TOUS les désirs. B. Désir, raison, et bonheur : 1. Séparer : Pour Epicure, les Hommes sont malades, ils souffrent. Notre existence est troublée. Chez Epicure, il y a 4 principes de souffrances : * La crainte de Dieu * La terreur de la mort * L’illimitation des désirs * L’incapacité à supporter la souffrance Le philosophe se pose comme médecin

la vie la meilleure, la plus adéquate à notre nature d’homme. Mais déjà à l’époque Epicure revendiquait que la vérité ne valait pas pour elle-même mais « pour ses suites ». On peut rechercher la vérité pour elle-même mais le fait-on ? L’intérêt se réduit-il à l’utilitaire ? Et ce qui nous intéresse à l’utile ? Cela pose-t-il vraiment problème que l’on cherche la vérité par intérêt ? Auteurs en référence : Epicure, Popper, Russell, Comte, Kant, Alain Le plan proposé : I. Il est possible qu’elle

consommation, qui doivent sans cesse renouveler l'offre et sont en définitive des sociétés du déchet. C'est pourquoi la sagesse antique consiste le plus souvent à réduire le désir pour y trouver la source du bonheur. Ainsi, le philosophe Epicure propose un hédonisme paradoxal : ce n'est pas en multipliant les désirs que l'on trouvera le plaisir, mais au contraire en le limitant. Trouvera la satisfaction, et en particulier ce plaisir suprême qu'est la quiétude de l'âme, l'ataraxie, celui qui

croit en quelqu’un de transcendant. Antiquité : Epicure (-341 -270) Pourquoi avoir peur des Dieu ? Essaie de rassurer les gens, de les amener à un état de sérénité parfaite (ataraxie) Hédonisme et épicurisme : Deux termes qui qualifient le plaisir, le fait de profiter mais il faut rester maître. Hiérarchie entre les plaisirs (Selon Epicure) Utiles et non-nécessaire Utiles et nécessaire (Conseillé selon Epicure) Non utiles et non nécessaires. Epicure en Grèce et parfois traité d’athée. Lucrèce

Corrigé de l’étude des § 6 et 7 de la Lettre à Ménécée (à coller dans le cahier) Introduction Après nous avoir enjoint, dans les paragraphes 4 et 5, à ne pas craindre les dieux, Epicure en vient maintenant, dans la Lettre à Ménécée, à examiner la seconde connaissance claire à acquérir qui en découle, et le deuxième principe à suivre pour construire notre bonheur. Il s’agit, en effet, de savoir ce qu’est la mort, afin de relativiser la crainte -parfois paralysante- que nous en avons. Car c’est

la fois. Ainsi, ce à quoi on peut aspirer, ce n'est pas au bonheur, mais à l'oubli du malheur. Autrement dit, tout se passe comme si l'homme n'était pas fait pour être heureux, comme si sa tendance universelle au bonheur n'avait pas d'objet. II EPICURE, LETTRE A MENECEE : L'ATARAXIE - LE BONHEUR EST POSSIBLE A L'HOMME Il s'agit dans cette lettre de conseils pour parvenir au bonheur. Plus précisément, de chercher un bonheur qui soit à la portée de l'homme. Pour cela, redéfinition (négative