Egoïste Logique Kant

n’a pas été une confrontation entre deux conceptions de l’Europe, l’une (libérale) contenue dans le projet de Constitution, et l’autre (plus progressiste) contenue dans le Traité de Nice. Car le Traité de Nice est totalement impuissant face à la logique des marchés et aux lobbies conservateurs. Quant au fameux « plan B » qu’on a avancé un moment comme alternative au projet de Constitution, il était aussi crédible que les cartes de l’Ile au Trésor qu’inventent les enfants de 5 ans quand ils jouent

contribution au malheur des autres ou à leurs angoisses. En d’autres termes cette satisfaction spirituelle ne doit pas se réaliser en dépit du bonheur des autres, elle doit provenir d’une pure volonté de bien pour l’homme dans sa globalité. D’après Kant, le progrès est l’expression de notre fin morale, des fruits de notre liberté, c’est une progression continue et irréversible, donc intimement liée à la notion de morale. L’existence du progrès moral réside dans la nature de l’homme comme étant le

Louis Marly TD5 Léo Strauss et la modernitéDans quelle mesure la pensée de Léo Strauss illustre un antimodernisme singulier?Léo Strauss est un penseur au cheminement intellectuel profondément marqué par la première moitié du XXème siècle. Né dans une famille de commerçants dans la ville de Kirchhain, en Allemagne en 1899, sa famille pratiquant « un judaïsme pieux» dont il se détache vite, il découvre la philosophie avec Friedrich Nietzsche dont il « croit alors tout ce qu’il disait ». Il entame

pessimisme 22 D. Transformer nos désirs : la sublimation 22 1. Platon 22 2. Nietzsche 23 3. Freud 24 V. Comment la raison peut-elle maîtriser les désirs ? 24 1. Les métaphores platoniciennes 25 2. Le lion de Kant : le respect 25 3. La tripartition freudienne 25 Annexes 26 A. Quelques idées supplémentaires 26 On désire toujours dans un contexte 26 La dimension antisociale du désir 26 L’impératif publicitaire : « tu dois désirer »

couts-bénéfices et d’autre part l’idée que le réel peut faire l’objet d’une lecture binaire, sous la forme de forces et faiblesses quantifiables et monétarisables. Ce qui est rarement le cas. L’utilitarisme n’est pas pour autant une philosophie égoïste. C’est une philosophie de « la charité de bien ordonner » (je m’occupe d’abord de mes intérêts propres et par agrégation, j’obtiens une situation collective). Cette philosophie est qualifiée de conséquentialiste ; cela signifie que le bien fondé d’une

peut jamais connaître dans sa totalité du monde. Les objets sont des ombres d'idées pure qui ne peut pas être connue du commun des mortels, si les hommes veulent comprendre les ombres ils doivent fuir les ombres de la caverne pour voir la réalité. Kant* la réalité du monde que donné sous forme de représentation, phénomène qui masque les chose en soit les numenes qui sont inaccessible. Tout deux constatent qu'il y a un réel. Le point de vue réaliste: il y a pas d'un coté des choses inaccessible

des faits indépendamment de toute interprétation, inclut la subjectivité de l’historien. Il n’y a donc pas de connaissance du passé sans un travail actif de mise en ordre, dans le tumulte des évènements, d’une causalité qui sait montrer les liens logiques d’antécédents à conséquents. Le passé vécu des hommes dépendrait-il alors de l’ingéniosité et de l’érudition d’un historien qui saurait combler les lacunes des documents ou trier, parmi la masse documentaire, ceux-là seuls qui rendent compréhensibles

séducteurs mais il ne s'en cache pas contrairement à d'autres, il ne veut pas que le lecteur soit nietzschéen. Une hypocrisie morale de l'individu. Pas d'intérêt dans l'action morale qui est désintéressé. le sujet en tant qu'individu n'existe plus. Kant est une sorte dhypocrite. N prend des exemples bien précis pour justifier son discours. Il cite spinoza avec son amour de la sagesse, forme mathématique que N critique (more geometrica) N dit qu'il faut laisser le lecteur penser un minimum pour

le pessimisme 4.Transformer nos désirs : la sublimation 1.L'analyse de la sublimation (Freud) 2.L'éloge de la sublimation (Platon, Nietzsche) 5.Comment maîtriser les désirs ? 1.Les métaphores platoniciennes : le lion et le cheval blanc 2.Kant : la notion de « respect » 3.Les trois instances freudiennes Annexes 1.Autres idées 2.Exemples, références, citations Introduction Le mot « désir » évoque les concepts suivants : besoin, volonté, envie, souhait, tendance, penchant, inclination

| | | |Bref, la fédération est utopique car seule la force pourrait faire converger intérêts égoïstes et | | | |intérêt général (cf. son rejet de l’idée de pouvoir partagé) | | |