Efficacité X De Leibenstein

ainsi que les politiques sociales et fiscales conditionnent les modes et les niveaux de rémunération. Au sein de l’organisation, définir une politique de rémunération est une préoccupation centrale de la gestion des ressources humaines et de son efficacité. Elle intéresse à la fois les problématiques de coûts, la recherche de performance et le développement du capital humain. D’un point de vue strictement quantitatif et financier, les rémunérations se traduisent par les frais de personnel, c’est-à-dire

être réuni au sein d'une seule entreprise –ce qui conduirait à éliminer tous les marchés intermédiaires – car la coordination hiérarchique induit ses propres coûts. Lorsque la firme croît et se complexifie, la coordination hiérarchique perd de son efficacité en raison des capacités limitées des dirigeants et des coûts de la bureaucratie. Oliver Williamson1 (1975, 1985) propose d'analyser l'activité économique à partir de la notion centrale de transaction, dont la firme, le marché et les différents hybrides2

ajustements qui régit l‟économie néo-classique. Ces conclusions nous autorisaient même à rapprocher SRAFFA et KEYNES dans notre dernier travail purement économiste (R7 ; Thierry Levy, Keynes and Sraffa reconcilied, Archives of Economic History, Vol. X, N°1-2, 1999, pp. 7-20). En montrant formellement qu‟une connection était envisageable entre l‟approche keynésienne de la demande effective et le système sraffaien des prix de production, nous montrions surtout que les deux auteurs plaçaient les conflits

monopole. Un autre exemple de protection est lié aux externalités d'apprentissage. L'ouverture internationale peut amener un pays à se spécialiser dans un secteur dont la productivité est supérieure à celle observée ailleurs. Toutefois, cette efficacité peut être de court terme et ne pas tenir compte de l'efficacité dynamique, c'est-à-dire incluant les externalités d'apprentissage gage d'une croissance élevée à long terme. Une fois entré dans cette spécialisation, le pays connaîtra une faible

de saturation ne s'observe pas seulement pour l'alimentation, mais aussi dans d'autres domaines comme l'habillement ou l'électroménager. Chloé Mirau, Alternatives économiques, n° 164. 124 Retenons l'essentiel Sectio n2: ns et bie x de nau ernatio ssor des int anges Rete Sec ices ux de nges s écha or de serv ens et bi intern nnais sent tion évolu et une ique les économ co ies lution ques libéra en ices liti r l’évo

sont stockés : c’est la variation de stock (VS, qui peut représenter aussi un déstockage qui est dans ce cas une ressource supplémentaire) ils sont exportés : ce sont les exportations (X) L’équilibre sur le marché des biens et services entre ressources et emplois se traduit ainsi : P + M = CI + CF + FBCF + VS + X. A partir du marché des biens et services on peut schématiser l’ensemble du fonctionnement de l’économie par une représentation en circuit qui aide à comprendre les rouages principaux :

relation entre la consommation de facteurs de production (capital et travail) et l quantité de production. La fonction de Cobb Douglass a l'avantage (1) d'être d'une forme mathématique simple (production = quantité du capital utilisé élevé à la puissanceα x quantité de travail utilisé élevée à la puissance (1- (2) d'être une fonction α); à rendements d'échelle constants (si la quantité de tous les facteurs double, la production double) ; (3) de se prêter facilement à des calculs d'accroissement ainsi qu'à

consommateur, Becker, Schultz, Hirschleiffer,… théorie de l’offre, comportement du contribuable, Laffer, Lepage,… théorie de la recherche d’emploi, comportement du chômeur, Stigler,… théorie de l’efficience, comportement individuel, von Mises, von Hayek, Leibenstein,… théorie de la décision, comportement du joueur, Morgenstern, von Neumann, Nash, Debreu, Zadeh, Ponsard,… = hypothèses réalistes (imperfection de l’information + études socio-psychologiques) + analyses économiques originales (mariage, vote, crime…)

L’idée de maximiser la rentabilité financière a été illustré par la notion d’EVA (Economic Value Added) = maximisation du ROE relativement à un rendement d’équilibre des fonds propres. Soit k le rendement d’équilibre des fonds propres : EVA = (ROE – k) x fons propres Le rendement d’équilibre est calculé ex post. On demande à l’entreprise de maximiser la différence entre le ROE et k. On lui demande d’avoir un rendement plus important que le rendement d’équilibre à un moment donné (rendement si les fonds

ou tel bien, avec telle méthode plutôt que telle autre ; consommer plus ou moins de telle ou telle marchandise maintenant ou plus tard. Aucun autre mécanisme, et particulièrement aucune planification, ne pourrait produire ce résultat avec la même efficacité. Car il s'agit de millions de décisions et de gestes fondés sur des connaissances pratiques diffuses et dispersées entre autant d'individus. On le voit, le terme de "marché", comme du reste celui d'"économie", recèle des ambiguïtés, et renvoie