Edit De Milan

car ils sont sages, ils connaissent le droit. Se caractérise également par le droit prétorien. Droit crée de toutes pièces par le préteur. Beaucoup plus souple que le droit civil des citoyens. Invente des solutions juridiques qui figure dans son édit ( programme d'action que le préteur rend public au début de son mandat, il y precise toutes les conditions sous lesquels il va délivrer des actions en justices ainsi que les nouvelles actions qu'il ouvre ) droit très évolutif car en fonction des besoin

romains un communiqué. Dans son édit, le préteur énumérait les cas dans lesquels il allait organiser un procès. Il va permettre aux citoyens de se présenter en justice. Il protégeait les citoyens et reconnaissait qu’une situation de fait, méritait d’être protégée par le droit. Il ne pouvait pas promulguer une règle de fond mais pouvait délivrer aux citoyens de nouveaux moyens de procédure. L’édit du préteur est une sorte de catalogue d’action. Il est appelé « édit perpétuel ». Si des nouvelles situations

religion de l’empire (édit de Thessalonique). La religion chrétienne veut affaiblir la famille romaine, païenne, et l’entre des évêque dans les plus hautes instances de l’empire va influence le droit matrimonial. La doctrine de l’Eglise connaît trois principes : 1° le mariage est monogame 2° le mariage est indissoluble (adultère : faute pour le mari comme pour la femme ; mais il y a le pardon) 3° le mariage est un sacrement Saint Ambroise (4e siècle) : archevêque de milan Saint Jérôme (4-5) : traducteur

C'est la théorie du pouvoir ministériel du prince, le titulaire du pouvoir est un ministre de Dieu. Constantin a établit un gouvernement monarchique absolut de droit: le Constantinisme, qui incarnera la tolérance religieuse. En 313, l'édit de Milan, édit de tolérance, amène une évolution de l'église chrétienne. Les biens sont restitués aux communautés chrétiennes, elles ont le bénéfice d'un patrimoine donc on reconnaît leur personnalité juridique. Avec cela le droit de recevoir des dons et des legs

la papauté. 212 : édit de Caracalla qui accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l’empire. Bas empire avec l’empereur Dioclétien qui fonde le dominat. 306 : Constantin le grand qui fondera la seconde Rome qui portera le nom de Constantino polis = Constantinople. Avec lui rupture car il devient chrétien. 313 : édit de Milan avec lequel Constantin considère que chacun pourra adorer la divinité de son choix : édit de tolérance religieuse. 380 avec Théodose : Edit de Thessalonique fait

cellule sociale de base. Société fortement militarisée.   Au départ, intégration de petits peuples dans l'empire romain → coexistence pacifique. En Gaule ce sont les Francs qui s'installent. Christianisme = religion d'état a partir de 313 ap JC (édit de Milan). Avant cela, persécutions. Dans l'empire oriental, pouvoir théocratique et l'empereur est comparé au christ. Dans l'occidentale auctoritas des évêques reconnue par le pouvoir impérial. L'église est soumise au pouvoir en place. Les hérésies contribuent

Constantin (Occident) et Licinius (Orient) se partagent l’Empire. (partage des tâches et non de l’Empire en lui-même). 313, conversion de Constantin. Il fait arrêter les persécutions des chrétiens par « l’édit de Milan » de 313 (le terme édit est impropre, car il ne s’agissait un édit au sens juridique) et instaure un régime de tolérance. Fin IVe siècle, persécutions cette fois-ci contre les païens. Nouvelles réformes institutionnelles, restaure l’unité de l’empire en 324 (Constantin seul empereur)

toutes les couches de la société. Contre cela, un édit de 250 rend obligatoire de sacrifier aux dieux de l’Empire. La dernière persécution, initiée par Dioclétien, est la plus sévère, elle dure de 303 à 311. En Gaule, est appliquée cependant de manière très modérée par Constance, le père de Constantin. B) Le christianisme autorisé Après la victoire du général romain Constantin contre Maxence en 312 (victoire du pont Milvius), l’édit de Milan est édité en 313, autorisant le christianisme dans

être diffusés dans l'Empire romain, va rencontrer la réalité du droit romain. C'est pourquoi les empereurs vont s'efforcer de trouver une cohérence, il suffit de reconnaître la chrétienté à coté des religions romaines : édit de Milan (313) reconnaît l'Eglise chrétienne. En 380 : édit de Thessalonique, reconnaissance du monopole de la religion chrétienne.   Il y a une reconnaissance accrue des unions qui peuvent se réaliser dans le cadre du mariage, des noces et du concubinage. Cette pratique est

Constantin (Occident) et Licinius (Orient) se partagent l’Empire. (partage des tâches et non de l’Empire en lui-même). 313, conversion de Constantin. Il fait arrêter les persécutions des chrétiens par « l’édit de Milan » de 313 (le terme édit est impropre, car il ne s’agissait un édit au sens juridique) et instaure un régime de tolérance. Fin IVe siècle, persécutions cette fois-ci contre les païens. Nouvelles réformes institutionnelles, restaure l’unité de l’empire en 324 (Constantin seul empereur)