Edit De Milan

créer le mouvement français des Troubadours : une peinture historique, détaillée et documentée à l’extrême (François ier nommant son petit-fils François ii chevalier), se concentrant sur des épisodes tragiques, pathétiques de l’Histoire (Valentine de Milan pleurant la mort de son époux Louis d’Orléans, assassiné en 1407 par Jean Sans Peur). Les titres très riches explicitent la situation et laissent à l’artiste la possibilité de se concentrer sur les émotions des protagonistes. Cet intérêt pour une Histoire

politique et religieux . A) Les pouvoirs impériaux . Le premier est l'Autoritas, il s'agit de la volonté de l'empereur qui à force de droit, l'empereur est source du droit, il peut légiférer . La pensée de l'empereur s'exprime dans : - un édit, c'est une loi impériale qui doit être appliqué dans tout l'empire . - L'empereur peut rendre un décret, c'est un jugement à propos d'un litiges, il s'agit de la jurisprudence de l'empereur . - Sa volonté peut se traduire dans un Rescrit

comportent 3 éléments : les magistrats, les assemblées de citoyens, le Sénat A) Les magistrats 1) Les pouvoirs des magistrats (2 types) la potestas (autorité) : appartient à tous les magistrats. Droit de créer des règles au nom de la cité (un édit). Cet édit est valable pendant la durée du magistrat. Pouvoir de contrainte mineur (condamner a une amende ou gages). l’imperium : seuls titulaires, les magistrats supérieurs. Ils reçoivent par une loi spéciale l’imperium. Pouvoir de commandement militaire

supplices Romains , notamment dans la crique, champ de course en ellipse où Néron organisait des courses de nuit en faisant brûler des Chrétiens enduits de résine et attachés sur des poteaux de bois. Trajan (98-138) publie une lettre, le "rescrit" (un édit qui est réponse). C'est une réponse à une lettre de Pline, gouverneur de Bythinie, qui lui demandait conseil sur l'attitude à adopter vis-à-vis des Chrétiens. Il demande de s'abstenir de dénonciation. Il accorde le pardon à ceux qui renoncent à leur

entre les personnes. Un terme revient chez Aristote, concernant l'obligation, c'est celui de « synallagma » (Aristote, Ethique à Nicomaque, 1131, a, 1, sq. ; v. Alberto Maffi, « Synallagma e obligazioni in Aristote », Atti II° Seminario gardesano, Milan, 1990, pp. 11-35). Aristote l'utilise pour désigner un lien né d'une convention (« ekousia synallagma » = vente, prêt, engagement, etc.) ou d'un délit (« akousia synallagma » = vol, empoisonnement, adultère, violence, homicide, etc.). Mais son emploi

de Soissons). Les évêques sont associés avec les rois dans l’exercice du pouvoir. Les rois mérovingiens choisissent leurs évêques. En 614, Clotaire II prend un édit et précise que l’élection de l’évêque doit se faire par le clergé et par le peuple du diocèse. Si un diocèse est vacant, il faut élire le clergé. Clotaire II évoque dans cet édit que l’évêque sera ordonné « par l’ordre du prince ». Les rois mérovingiens décident donc de valider les élections épiscopales. Les rois ont besoin des évêques

On constate 2points importante : Lutte contre la féodalité Charles VII, est victorieux des ennemis externes mais pas des ennemis de l’intérieur. C’est d’abord un pouvoir religieux trop élever. Il va donc prendre la « pragmatique sanction », un édit ou le roi est le responsable temporel du bien de l’Eglise. Il veut faire comprend que les décisions romaine ne sont pas applicable dans le royaume de France. C’est la laïcité. Les seigneurs sont aussi un ennemi. Il faut les cantonner dans un pouvoir

Fontaine 3. Politique.  L’art « dégénéré » 4. Sexe. Un défi aux convenances : Manet, Olympia et Courbet, L’Origine du monde C Questions sur le scandale -A Charlotte Laubard, Historienne d’art, Commissaire d’exposition à Paris, Milan et Melbourne et directrice du CAPC (musée d’art contemporain) de Bordeaux depuis 2006. D Conclusions personnelles Avant propos : Nous avons choisi de traiter les arts plastiques, et de nous orienter sur des artistes et des

Bernardino et du Splügen. Dans un premier temps le Gothard n’était pas aménagé. Son ouverture (vers la fin du 13ème) permet de passer des territoires de milan à ceux des Waldstaetten puis ensuite vers l’Est ou l’Ouest. Principalement des bergers, les Waldstaetten vont utiliser cette nouvelle voie pour aller vendre leurs produits au duché de milan et ainsi dynamiser leur activité économique. Cela sans compter les retombées économiques du col lui-même soit l’aménagement de voies, de guides, de relais

terrestres et fluviaux, au cœur d’une région agricole bordée et irriguée par la Seine. Les réseaux terrestres se développent entre le Nord et le Sud, ainsi, la future capitale française se voit reliée à de grandes mégapoles Européennes de l’époque : Milan, Grenade, Constantinople, Florence et Gênes par exemple. Grâce à sa position privilégiée sur les routes commerciales, c’est l’activité marchande qui offre à la ville un essor considérable. La Seine, au centre de Paris, est géographiquement l’axe central