Droits des minorités

Athènes reconnaît aux citoyens un ensemble de droit politiques fondamentaux. Chaque citoyens adultes et de sexes masculins possède des droits politiques fondamentaux : i) le droit de participer aux réunions de l’assemblée du peuple. On a don une démocratie directe. ii) Le droit de devenir un jour où l’autre membre du conseil des 500 cents. iii) Le droit d’exercer une magistrature iv) Le droit de siéger dans les jurys (au tribunal de l’Héliée. v) Le droit à l’indemnité lors de la participation à

autorités étatiques qui n'ont pas de limites précises, cas de l’Égypte et de la Perse. Le 3ème modèle : état cité comme toutes les cités grecques. Puis le cycle moderne qui met en présence deux types d’états : le 1er : l’état princier  légitimité de droit divin. Le 2nd type : apparaît fin 18ème l’état nation  principe selon lequel la légitimité n’est plus divine mais nationale. Aujourd'hui on constate qu’il y a eu une généralisation de l’état à partir de la fin du 18ème siècle avec les premières décolonisations

Qu’est-ce que les Lumières ? Traduction Jean Mondot Publications de l’Université de Saint Etienne Les Lumières, c’est pour l’homme sortir d’une minorité qui n’est imputable qu’à lui. La minorité, c’est l’incapacité de se servir de son entendement sans la tutelle d’un autre. C’est à lui seul qu’est imputable cette minorité, dès lors qu’elle ne procède pas du manque d’entendement, mais du manque de résolution et de courage nécessaires pour se servir de son entendement sans la tutelle

SOCCORO DORIANDISSERTATION TD5 DROIT CONSTITUTIONNEL « Un bon mode de scrutin c'est un mode de scrutin qui dégage une majorité de gouvernement, mais qui, en même temps, donne la parole aux minorités » Cette citation est une déclaration d’Alain Juppé remontant au 8 septembre 1996 dans le journal « Le Figaro ». Un scrutin est un procédé technique visant à aménager l’exercice du vote pour une élection donnée. Le scrutin permet de répartir les sièges ou le rôle à attribuer en fonction des suffrages exprimés

des minorités. Celles-ci sont exclues de l’exercice d’un certain nombre de droits qui leurs sont en théorie reconnus. Ces minorités peuvent être nationales, ethniques, sexuelles ou religieuses. Le terme de minorité peut créer une difficulté car il laisse entendre que celle-ci sont effectivement minoritaires (caractérisation quantitative). Mais cela n’est pas nécessairement une minorité quantitative (ex : les femmes). Cela n’empêche pas que ces groupes soient considérés comme des minorités. Ce

Français :   La démocratie n'est pas la loi de la majorité, mais le respect des minorités. Albert Camus               Cette formule d’Abraham Lincoln, ancien président des états Unis : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » illustre très bien le système politique qui s’est opposé et a succédé à la monarchie. Il s’agit de la démocratie. Et qu'en est-il des majorités et des minorités d'un même pays ?                 Le fondement de la démocratie est l’écoute et le respect

en favorisant un groupe ethnique ou racial par rapport aux autres, quitte à transgresser de façon plus ou moins temporaire le premier article de la déclaration des droits de l'Homme: « Tous les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ». Née aux Etats-Unis dans les années 60 et 70 pour favoriser l’intégration des minorités noires et hispaniques, elle donne la priorité à ces derniers par rapport aux blancs par un système de quotas ou de places réservées. En France, il existe des mesures

amélioré. Cette nouvelle politique a ensuite été généralisée à l’ensemble de la ville avec des résultats comparables. Néanmoins, des critiques ont été émises, car cette politique semble stigmatiser les minorités raciales, dont certains membres ont fait l’objet de graves violations de leurs droits fondamentaux.La politique de lutte contre la criminalité de la ville de New York Parfois caractérisée comme étant une politique de "tolérance zéro", cette politique s’appuyait sur la théorie de la "vitre

fondamental des droits de l’homme, celui de l’égalité de dignité. La discrimination consiste à priver un individu de la pleine jouissance de ses droits et libertés politiques, civiques, économiques, sociaux et culturels. La discrimination va à l’encontre d’un principe fondamental des droits de l’homme : tous les individus sont égaux en dignité et peuvent prétendre aux mêmes droits fondamentaux. Ce principe est d’ailleurs repris par l’ensemble des instruments fondamentaux en matière de droits de l’homme

multiculturelles et paradoxalement traversées par des mouvements xénophobes et une persistance des pratiques discriminantes. La diversité de ces sociétés renvoie au passé colonial, aux possessions d’outre-mer et à l’immigration. Les aspirations de ces minorités dépendent des générations et des origines : respect de leurs différences et de leurs spécificités, égalité de traitement, oubli de leur différence… Constatant que le modèle républicain ne parvenait pas à répondre à ces demandes, cette théorie considère