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Thème : Investissement, capital et progrès technique Épreuve : dissertation Comment le partage de la valeur ajoutée influence-t-il le niveau de l'investissement des entreprises? Document 1 [Un] facteur inquiétant pour les entreprises, mais aussi pour la société dans son ensemble : la stagnation à un niveau historiquement bas des investissements. 15,9 % de la valeur ajoutée en 1996 : un niveau jamais atteint. Ni en 1973, en plein choc pétrolier, ni en 1983 dans la tourmente politique et économique

des valeurs ajoutées des entreprises. Le produit intérieur brut correspond à la somme des valeurs ajoutées des agents opérant sur le territoire national. Le partage de la valeur ajoutée dans l’entreprise et ses enjeux La valeur ajoutée se répartit entre tous les agents économiques qui ont contribué à la production. Le partage de la valeur ajoutée est un enjeu social, politique et économique majeur. Il dépend du rapport de force qui existe entre les salariés et les employeurs. Par exemple

révolution du travail de Bernard Cassen extrait de Le Monde diplomatique de mars 1993 présente les obstacles au partage du travail mais a contrario, dans l’essai de Dan Bechmann et Richard Berteil Bénévolat et nouvelles solidarités extrait de Sciences Humaines nous présente les catégories bénéficiaires des aides des associations, avec les missions de celles-ci on voit un véritable partage. Dans l’entretien avec Roger Sue Vers le temps libéré… extrait de Sciences Humaines, on nous expose les chiffres

Figure 3.3 : Excédent brut d'exploitation, épargne et investissement des sociétés non financières Ces données sont celles qui ont été utilisées dans le rapport sur le partage de la valeur ajoutée, le partage des profits et les écarts de rémunérations en France, publié le 13 mai 2009. Le 15 mai 2009, les comptes nationaux pour 2006 et 2007 ont été révisés et un compte annuel provisoire a été publié pour 2008.

deux grandes composantes du partage de la valeur ajoutée sont : - Les rémunérations des salariés qui comprend la somme des salaires et des charges sociales. - L’excédent brut d’exploitation qui est les profits primaires des entreprises. 2. L’effet provoqué par une réduction de la part des profits dans la valeur ajoutée peut être une diminution des investissement car avec moins de profit l’entreprise aura une capacité d’investissement moins importante. 3. Un partage de la valeur ajoutée de plus

Introduction Accroche : En matière de profit, l’année 2005 semble être portée de nouveau à la douce euphorie. Logique somme toute quand on sait que les bénéfices nets de 2005 se sont envolés de plus de moitié par rapport à 2004, une année déjà exceptionnelle, soit 86 milliards d’euros, contre 57 milliards précédemment. Problématique : Certaines voix (P.Artus par exemple) s’élèvent alors pour dénoncer ces niveaux de profits jamais atteints, qui en contractant la part des salaires dans la valeur

approprié à la question, en organisant le développement sous la forme d’un plan cohérent qui ménage l’équilibre des parties. Il sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l’expression et du soin apporté à la présentation. SUJET En quoi le partage de la valeur ajoutée influe-t-il sur l'investissement ? DOCUMENT 1 L'analyse économique tient la répartition du revenu pour l'un des déterminants majeurs de l'activité, tant intérieure qu'extérieure. La part des salaires dans la valeur ajoutée

au lycée qu’en apprentissage, serait un facteur de chômage. •Notons encore les explications du chômage par le **progrès technique**. **Chômage et répartition de la valeur ajoutée ** **L’argumentation libérale ** •Pour les libéraux, un partage de la valeur ajoutée trop **favorable aux salaires est nuisible pour l’emploi**. En effet, une hausse des salaires et des charges sociales (en particulier, si elle excède celle de la productivité) entraîne une hausse des coûts de production. •En

statuts et les conditions d’emploi demeurent globalement très défavorables pour les femmes. - L’inégal partage du travail domestique Que les femmes aient ou non un emploi, elles sont toujours les « championnes » du travail domestique, comparé aux hommes. En moyenne, les femmes consacrent 3h26 par jour aux tâches domestiques contre 2h01 pour les hommes. Avec l’arrivée d’un enfant, ce partage inégal perdure, voire se creuse. En Europe, les hommes consacrent entre 30 et 70 % de temps en moins que

qui créerait du chômage. Tous ces éléments entraineraient donc un chômage structurel permanant qui ne pourrait être résolu que par des changements profonds sur l’offre de travail. Les éléments de lutte contre le chômage Mesures relatives au partage du travail : Réduction du temps de travail Diminution de l’âge de la retraite, les pré retraites Recherches d’un nouvel équilibre sur le marché du travail : Flexibilité accrue du marché du travail Facilitation des licenciements Baisse du salaire