Dois Je Respecter Autrui

Suite du cours sur le devoir moral : qui peut me dire ce que je dois faire ?B) le devoir et la société.La thèse du texte d’Émile Durkheim : le fondement de la morale, des règles morales est la société. Celle-ci nous impose ses règles via l’éducation et que nous intériorisons. C’est pourquoi nous ressentons les exigences morales comme des principes internes qui viennent de nous, alors qu’ils sont à l’origine externe.Question 1 : entourer les connecteurs logiques : « par conséquent » (ligne

essentielles. 6 - Je ne respecte mes planning et mes délais que sous la pression d'une échéance : il y a toujours un imprévu qui est survenu entre temps,. 7 - J'ai trop de papiers sur mon bureau ; le courrier prend trop de temps. L'aspect de mon bureau n'est pas particulièrement ordonné. 8 - La communication est insuffisante. L'information tardive, les malentendus ou même les tiraillements sont monnaie courante. 9 - La délégation des tâches se fait rarement à bon escient et je dois régler des affaires

soi ». Grâce à cette conscience de soi ou conscience réfléchie, le sujet peut avoir une image de lui-même comme s’il se regardait dans un miroir. « Réfléchir » c’est étymologiquement « voir son reflet ». Je peux en effet me décrire comme le ferait autrui. Ce n’est pas un problème d’objectivité mais d’honnêteté intellectuelle. Je sais très bien qui je suis mais il est en mon pouvoir de mentir sur ma réalité. Est objectif ce qui est valable universellement et non pour moi seul. Kant soutient

 Les salutations…dans la société française Le mot « salutation » a pris son origine de «  saluer ». « Saluer » du latin « salutare, le salut » signifie donner à quelqu’un une marque extérieure de civilité, de respect, quand on se trouve en sa présence ou quand on le quitte(1). La salutation est une forme de politesse, qui elle-même est régie par les règles de bons usages, de valeurs, d’ensemble d’actions qui dictent notre savoir-vivre en communauté. Bien que les salutations peuvent varier

philosophes des lumières du XVIIIème siècle luttaient contre l’intolérance religieuse, l’injustice et les inégalités, comme les privilèges, l’esclavage ou encore les droits des femmes. D’après Diderot, il faut se faire ses propres opinions et ne pas suivre autrui. Les humanistes se battent pour la liberté, la liberté de penser, de tolérance, mais aussi d’engagement. De plus, les philosophes des Lumières sont à la recherche d’une société et une vie idéale. L’Utopie de Thomas More reflète bien la recherche

discussion (sa réponse n'est plus du tout évidente). C'est le bon sens qui nous guide encore mais -il s'approfondit, s'élargit prenant acte de l'impossibilité de trancher à sens unique cette question. Argument Exemple Référence Transition Si moralement je dois toujours dire la vérité (1 ère partie), en revanche nous avons vu que pour des raisons psychologiques (2éme partie) je pouvais être amené à dissimuler parfois la vérité. Le problème à résoudre est de savoir si le droit de mentir peut être autorisé

présentée comme une qualité. En effet, celui qui n'est pas sincère est celui qui dissimule, qui ment, qui cache. Il faut que vous montriez en quoi ces attitudes sont condamnables moralement. Vous pouvez remarquer que le sujet commence par la question "dois-je". Il s'agit donc de déterminer si la sincérité est un devoir. La question est donc avant tout une question morale. Dès lors, il faut se demander en quoi l'absence de sincérité est condamnable moralement. Il semble bien que ce soit au nom d'une valeur

quant au devoir. Que celui-ci soit une obligation signifie négativement qu’il n’est pas une contrainte. Si tel était le cas, il serait impossible de ne pas accomplir le devoir ; il serait impossible d’agir contre lui et même de lui résister ; Dire « je dois » reviendrait à dire « je fais » (contre ma volonté). Le devoir ne pourrait plus être source d’évaluation des actions. 1/ La question du bien : « Rien n'empêche, même si les plaisirs sont parfois mauvais qu'un plaisir soit le souverain bien; de même

mais dont le sens n’est pas toujours bien appréhendé par chacun. Exemple : Si je shoote maladroitement sur un ballon qui dévie de la trajectoire dans laquelle je souhaitais qu’il aille, et qui aboutit dans la vitrine d’un commerçant voisin, dois-je payer la vitre brisée ? Certains me diront OUI, d’autres me répondront NON puisque le dommage n’est pas intentionnel. Vous-même, quel avis me donnerez-vous ? 1. 2. DEFINITION Étymologiquement, le mot responsabilité vient de «res »

fausse route. M. G a beaucoup de rituels que nous devons respecter, il porte une sacoche, un album d'images découpées dans les magazines féminins, son porte-monnaie, il ne quitte pratiquement jamais ces objets. Il frappe souvent les murs avec le dos de la mains, je pense que son produit le rassure, il est aussi sensible à tout changement dans son environnement quotidien. Ces troubles du langage rendent difficiles les relations avec autrui, ce qui angoisse très souvent M. G, lorsque nous lui demandons