Dois Je Respecter Autrui

énoncés suivants :a) Sommes-nous vraiment souverains de nous-mêmes? Ne sommes-nous pas influencés par les autres sur certaines décisions qui nous concerne?b) Certes, la générosité envers les autres est importante, mais est-ce la plus importante? Le respect des autres, l’illégalité des êtres ne sont-ils pas les plus importants dans la vie?c) Est-ce que la moralité peut s’accorder avec la raison? Dans certains cas, probablement que oui, si le principe de la morale est en harmonie avec notre jugement.

DROIT PRIVE Droit : ensemble des règles qui gouvernent les rapports des membres d’1 société donnée et dont le respect est assuré par l’autorité publique règles religieuses peuvent s’imposer comme règles juridiques (droit canonique) Justification du droit : - organisation sociale - projet politique : ++ modèles pr organiser société (Fr : libertés individuelles) - organisation éco (propriété individuelle)

la réputation d’autrui (dans ce cas, je porte atteinte à la réputation de mon superviseur ainsi que de la haute direction du supermarché en dénonçant leur nouvelle pratique), ne nuit pas à autrui dans son développement (je nuis au développement des profits du supermarché de mon employeur) et ne trompe pas autrui (je trompe mon superviseur ainsi que la haute direction en dénonçant leur nouvelle pratique à l’organisme MAPAQ). Ensuite, quelques règles du principe de la bienveillance sont protégées :

désobéir peut-il être un devoir? Dans un premier temps, nous devons nous interroger sur la signification du « devoir ». Nous avons, par exemple, le devoir de respecter la vie d'autrui, mais qu'est-ce que cela signifie ? D'abord, le devoir n'est pas une nécessité. Alors qu'il n'est pas possible de ne pas respirer, il est possible de ne pas respecter la vie d'autrui : il y a bel et bien des assassins. Ensuite, le devoir ne se fonde pas sur mes envies ou mon désir, il peut même fortement les contrarier

d'égalité ou un partage. Chez les Stoiciens : il y a 3 tendances de l'être humain -se nourir : instinct de conservation du vouloi-vivre qui présente un aspect appropriatif comme un aspect familial. -ne pas nuir à autrui : instinct de ne pas léser autrui concept de la responsabilité. -respecter sa parole : instinct de la responsabilité contractuelle ( tendance à l'infidélité ). Grotius parle du sujet comme une autorité transcendante et reconstruit le concept du droit à travers ces 3 préceptes des Stoiciens

maintenir debout pour les enfiler. Madame met une protection légère en cas de fuites urinaires. Elle a un appareil auditif et dentaire. Nous sommes le lundi 8 octobre et il est 8h du matin, je prends tout juste mon service. L’aide-soignant avec qui je dois effectuer ma tournée du matin m’attends en salle de soin. Nous allons tout d’abord aux transmissions de nuit et partons à la suite de celles-ci faire la toilette de Messieurs Y. Nous n’allons pas faire la toilette de madame X tout de suite car nous

temps" : Henri Bergson « C'est la perception des rapports qui a donné lieu à l'invention du terme beau » : Diderot "Toute conscience pose son objet, mais chacune à sa manière. La perception, par exemple, pose son objet comme existant" : Sartre "Autrui joue toujours dans la vie de l’individu le rôle d’un modèle, d’un objet, d’un associé ou d’un adversaire" : Sigmund Freud 3) L’INCONSCIENT « Qu'une chose se passe dans ton âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose »

temps" : Henri Bergson « C'est la perception des rapports qui a donné lieu à l'invention du terme beau » : Diderot "Toute conscience pose son objet, mais chacune à sa manière. La perception, par exemple, pose son objet comme existant" : Sartre "Autrui joue toujours dans la vie de l’individu le rôle d’un modèle, d’un objet, d’un associé ou d’un adversaire" : Sigmund Freud 3) L’INCONSCIENT « Qu'une chose se passe dans ton âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose

sympathie permet-elle de connaître autrui ?Analyse du sujet :1) Définitions- sympathie : du grec « sum », avec, et « pathos », sentiment, souffrance→ attrait spontané d'une personne vers une autre, concordance, accord de mêmes affinités, goûts, etc.→ synonyme de compassion (mot d'origine latine, même construction étymologique que celui d'origine grec) : partager les souffrances, les sentiments de quelqu'un – éprouver ensemble→ processus d'identification à autrui (on reconnaît ce que l'on a déjà vécu

l’est-il pour tous ? Ceci nous amène à nous poser la question essentielle : à quel critère peut-on apprécier un acte ? *** Dans Ethique à Nicomaque (V, 1, §17) Aristote posait comme principe que «Dans la mesure où elle a un rapport avec autrui, (la justice) est justice ; dans la mesure où elle est une disposition acquise, elle est vertu. » Notre rapport à la justice et à la vertu est très simple et influencé par notre position en tant qu’individu ou membre d’une société. Ainsi, Platon,