Dois Je Respecter Autrui

nécessité d’accomplir une action par respect pour la loi » Le respect ne peut être suscité par l’objet, conçu comme effet de l’action et non comme volonté, ni pour une inclination en général, qu’elle soit mienne ou d’un autre, que l’on peut tout au plus approuver, c’est-à-dire considérer comme favorable à mon intérêt propre. « Il n’y a que ce qui est lié à ma volonté uniquement comme principe et jamais comme effet, […] qui puisse être un objet de respect et par conséquent être un commandement

très polyvalent. Il démontre avec son essai  Comme un roman  duquel est tirée la citation, que la lecture a plusieurs façons d'être appréhendée, et qu'il n'est pas si simple de lire correctement, juste, de façon soutenue, ou même de donner goût à autrui de lire. Intéressons-nous d'abord à la citation en elle-même. Daniel Pennac avance comme premier terme le mot « vertu » qui donne immédiatement le ton : il ne s'agit pas là d'une critique négative de la lecture, mais positive. Une vertu est puissante

premièrement morale, et suppose des règles d’éthique à respecter que nous nous sommes imposées mentalement. Puis, elle est aussi juridique et implique des lois universelles que nous nous devons d’obéir sous peine de sanctions réelles et définies par l’autorité. En définitif, la conscience est une notion propre à l’homme qui lui permet de prendre connaissance de son existence dans un monde extérieur à son entité. Il doit, en l’occurrence, en respecter les règles en tant qu’être responsable au niveau

Transformer nos désirs : la sublimation 1.L'analyse de la sublimation (Freud) 2.L'éloge de la sublimation (Platon, Nietzsche) 5.Comment maîtriser les désirs ? 1.Les métaphores platoniciennes : le lion et le cheval blanc 2.Kant : la notion de « respect » 3.Les trois instances freudiennes Annexes 1.Autres idées 2.Exemples, références, citations Introduction Le mot « désir » évoque les concepts suivants : besoin, volonté, envie, souhait, tendance, penchant, inclination, velléité, fantasme

sur ce que nous employons comme une évidence : « la normalité ». La philosophie peut effectivement être dérangeante dans notre confort de pensée puisque Socrate a été condamné à boire la cigüe en 399 avant J-C. 2°) L’amitié et la relation avec autrui au sein de l’institution : L’auteur évoque plusieurs amitiés au cours de son récit. Une parole anodine pouvait témoigner une complexité vitale comme le dit l’auteur : « Par un : « Comment ça va ? » nous entrions dans l’existence de l’autre, prenions

nos désirs : la sublimation D.1. L'analyse de la sublimation (Freud) D.2. L'éloge de la sublimation (Platon, Nietzsche) V. Comment maîtriser les désirs ? A. Les métaphores platoniciennes : le lion et le cheval blanc B. Kant : la notion de « respect » C. Les trois instances freudiennes Annexes A. Autres idées B. Exemples, références, citations Introduction Le mot « désir » évoque les concepts suivants : besoin, volonté, envie, souhait, tendance, penchant, inclination, velléité, fantasme

retrouve en complétion et subordination de la morale car lorsqu’on agit par amour, on agit bien plus que par devoir. Lorsqu’une mère allaite son enfant, elle agit bien plus par amour que par devoir. Elle ne dira jamais « je le fais parce que je le dois » mais « je le fais parce que je l’aime ». Pr. F. DE SMET Philosophie et Ethique du Management de l’action sociale Année Académique 2011-2012 Page | 4 DEOM Emilie La Responsabilité éthique Ici et maintenant, ubiquité et éternité MIAS 1

spécialisés.En accord avec mon référent je mets en place un atelier pâtisserie avec le groupe d’enfant qui est restés dans l’unité. Celui-ci m’accompagne dans la mise en place de l’atelier. Nous avons un groupe de sept enfants. Après quelques minutes, je dois me rendre dans la cuisine pour chercher des ustensiles. Je laisse donc mon référent avec le groupe. Afin, de me rendre dans la cuisine je passe dans un couloir qui donne sur les différentes unités et lieux de prise en charge des enfants. Selon les

autres ? Et quel sens donner à cette extension ? c. Eudémonisme. Il y a 2 solutions, qui amènent l’eudémonisme. • La 1ère est psychologique : (cf. P. Janet, La morale, liv II,5 : division des devoirs). C’est par l’effet d’un raisonnement inductif. Je dois viser mon perfectionnement et ce qui est un bien pour moi l’est aussi pour les autres. On vise son perfectionnement et l’objet n’est plus seulement pour nous mais pour tous. Je passe du bien pour les autres au bien pour tout autre (il doit le souhaiter

classique de la moralité, qui serait qu’il y a d’abord une conscience morale. C’est l’idée même que la conscience jouerait sa partie seule dans les relations. Il faut savoir si cette conscience elle-même ne s’acquiert pas dans le vif de la relation à autrui. La première partie doit prendre le lecteur et le problème là où ils en sont aujourd’hui. La première partie, c’est l’entrée contemporaine sur la question, c’est forcément les sciences humaines. on se retrouve dans une sorte d’inversion chronologique