Divertir Pour Instruire

tout haut de son idéal d'humanité. Le conteur explique que, pour les « Agrages », peuple indolent, ignorant toute notion de commerce et de profit, « s'aimer entre eux, se griser d'eau et de brise, rêvasser, se laisser dériver au fil du temps ou se divertir paraissaient leurs uniques préoccupations ». On voit par là que l'utopie moderne est porteuse d'un message pacifiste, à une époque où la barbarie humaine a franchi l'impensable. Certains écrivains, cependant, vont plus loin dans l'exploitation du

est malgré tout un moindre mal, car ce système évite les coups d'État, toujours néfastes à la population (87)? Et s'il inspire le respect, comme "les grands" (75), le roi n'en reste pas moins un homme aussi malheureux que les autres s'il n'est pas "diverti" : "un roi sans divertissement est un homme plein de misère" (127). Au bas de l'échelle, le peuple, qui, sans le savoir, fait preuve d'opinions "saines" (87 et 88), donc d'une certaine sagesse, car il ne conteste rien pourvu que les choses lui semblent

l’amour est donc mis en arrière car tomber amoureux n’est pas un choix et donc, l’amour ne peut être libre. D’autres (tel Laclos) trouvent que le libertinage tue la société. Les Lumières n’écrivent pas pour divertir mais pour instruire, pour apporter un changement et bâtir la société qu’ils qualifient d’idéale. Cette société idéale est caractérisée par une favorisation de la raison plutôt que de la religion et des pouvoirs de monarques absolus. Une société idéale implique

leur conter chaque nuit une fabuleuse histoire qu’elle interrompait au lever du jour et reprenait …………… ………………………………………. C’est ainsi que durant …………………………….. nuits elle conta les aventures de personnages imaginaires. Ayant su distraire, captiver et instruire le roi son époux, Shahrazade obtint ……………………………… . Correction : Déçu de l’infidélité de son épouse, le roi Schahriar décida de prendre chaque nuit une nouvelle épouse qu’il tuait au matin. Après trois longues années, il ne restait plus guère

inspiré de deux tragi-comédies portant un titre identique : Le Festin de Pierre ou le Fils criminel de Dorimond et Villiers. Or ces deux pièces avaient pour modèle la pièce de Molina. Les Comédies-ballets Dans le cadre des commandes destinées à divertir le roi et la cour, Molière invente la comédie-ballet qui mêle le chant, la musique et la danse à l’action dramatique (Le Bourgeois gentilhomme, Le Malade Imaginaire) La mort de Molière Véritablement malade quand il interprète le rôle-titre

le Dauphin - l. 3 Avoir une morale - Lier « amusement » (l. 9) et « réflexion » (l. 11) + (l. 17-18) - l. 22-25 : apprend à se connaître sans s’en rendre compte l. 2 S’inspire d’Esope l. 5 Mise en vers l. 64 : insiste surtout sur le désir de divertir - Soumission et flatterie du Roi, de sa famille par ex l. 33, l. 55-56 - culte de l’Antiquité - volonté de plaire et d’instruire b. Préface de 1668 - l. 9 brièveté - l. 95-101 : gaieté, charme - l. 103 : utilité - l. 106- 121 : « si divin

de caractère, à ses penchants. Cette description en mouvement rend compte de l'art du portrait en tant qu' « agréable amusement » : le but affiché du portraitiste est de plaire, de divertir les lecteurs. Et en même temps en tant qu' « affaire laborieuse » pour reprendre les mots de l'auteur, car il faut instruire, éduquer son auditoire, son public. Extraire le vrai de portraits non vraisemblables, voilà le but de toute satire sociale digne de ce nom. I ] Le portrait d'un personnage hypocrite

Dauphin - l. 3 Avoir une morale - Lier « amusement » (l. 9) et « réflexion » (l. 11) + (l. 17-18) - l. 22-25 : apprend à se connaître sans s’en rendre compte l. 2 S’inspire d’Esope l. 5 Mise en vers l. 64 : insiste surtout sur le désir de divertir - Soumission et flatterie du Roi, de sa famille par ex l. 33, l. 55-56 - culte de l’Antiquité - volonté de plaire et d’instruire b. Préface de 1668 - l. 9 brièveté - l. 95-101 : gaieté, charme - l. 103 : utilité - l. 106- 121 : « si divin » ;

vilains, ils se caractérisent par leur grossièreté et leur malpropreté. Le monde du fabliau, même s’il a toutes les apparences de la réalité la plus matérielle, reste un monde fondamentalement irréel, un monde de l’illusion que ni vise en fait qu’à divertir. Le cadre urbain reste, cependant, le lieu privilégié de l’action des fabliaux. Les aventures, les intrigues, les rencontres galantes se produisent tout naturellement en ville. 5. Auteurs et publics Divers indices déterminent

entre le lecteur et l’auteur) avec ses lecteurs. LE RIRE - « Rire est le propre de l’homme » : cette formule d’Aristote dans le dizain liminaire est intimement liée à Rabelais. Il en va de même pour le but qu’Horace assigne à la littérature : « Instruire et plaire ». I] Le rire est très présent A/ Au rit du début à la fin - Il est question du rire dans le dizain : « Il est vrai qu’ici peu de perfection / Vous apprendrez, si n’êtes enclins à rire » - Le rire clôt le roman : le décalage