Distribution Chez Chanel

STRATEGIE Monographie d’entreprise ESCP-EAP SOMMAIRE I) LE MARCHE DE LA DISTRIBUTION SELECTIVE DE LA PARFUMERIE. 1 Définition de la distribution sélective 1 Analyse du marché de la distribution sélective des parfums et cosmétiques. 1 Taille et évolution du marché 6 II) LE CAS SEPHORA : EXPOSE DES FAITS 11 A l’origine, un homme et un concept original 11 Le rachat de Sephora par LVMH 12 La conquête mondiale à marche forcée 13 La diversification du concept d’origine :

consommation l’achat de ses produits. Car si elle ne saisit pas cette opportunité de croissance, Sephora se fera devancer par son principal concurrent Marionnaud. L’enjeu pour Sephora est donc de faire connaître sa gamme de produit Bio et ancrer chez le consommateur des habitudes de consommation tournées vers ses produits. 51,4% des Français ne savent pas où acheter des produits bio ou responsables. 78% des Français n'achètent pas de produits biologiques pour des raisons de coûts trop élevés

Ketchup.[1] Il existe à leur actuelle plusieurs marques de Ketchup, même si comme on l’a dit, Heinz est la plus connue chez nous : H.J. Heinz company, Hunt’s (USA), Amora, Maille (notre marché). La marque elle même est américaine et a été fondée en 1869. C’est Heinz qui sera le premier à commercialiser le Ketchup en 1876. Néanmoins, même si cette marque est connue chez nous essentiellement pour ce produit, le groupe est connu comme étant « la marque au 57 gouts », commercialisant au départ

rendement est important, au détriment des salariés qui ont de mauvaises conditions de travail et un salaire au rendement. Alors que, si l’entreprise organise sa production en fonction de son activité comme les 3x8 et les groupes de travail comme chez Renault par exemple, mais surtout en fonction de ses salariés, celle-ci est largement avantagée car les salariés se sentent écouter ce qui les motive, et ont envi de s’impliquer beaucoup plus pour leur entreprise. Les taux de rotation des postes sont

boutique évoluera pour revenir vers le commerce traditionnel de parfumeries et les formats de proximité. Les enseignes préfèrent se développer en marque, et vendre, comme Sephora, leurs propres produits et non plus ceux des marques de luxe (Dior, Chanel...) Le secteur cherche en termes de recrutement, à consolider son parc avant de concrétiser des projets d’agrandissement. Essor des cosmétiques bio Le bio est aujourd’hui en plein essor sur le marché des cosmétiques, ce qui favorise le développement

En effet un parfumeur de chez Dior ne cherche pas dans ses parfums à être meilleur que X ou Y, ni même différent. Il cherche d’abord à proposer un univers qui reflète ses choix et sa personnalité. Prix pour 100 ml : 72€ environ * Produit : au de parfum de luxe * Distribution : Dans le domaine du luxe une trop grande diffusion nuit à l’image du produit, en le privant d’un élément essentiel de sa valeur, sa rareté. C’est pourquoi Dior a choisi une distribution sélective, en résistant le

labels qui le cautionnent, par le design, le packaging, les actions de communication qui l’accompagnent ... On cherche des actions de synergie entre le produit et la marque. C’est le cas d’un produit emblématique d’une marque (polo Lacoste, tailleur Chanel ...), des produits ambassadeurs d’une marque (parfums des maisons de luxe). De même les produits nouveaux enrichissent l’image de marque (ex. la Toyota Prius), et héritent de traits d’image existants. I. LA MARQUE, SYNERGIE AVEC LE PRODUIT

2000 grâce à de brillants placements de produits et un nouveau design pour le modèle Wayfarer en 2001. En 1999, Luxottica rachète la prestigieuse ligne Ray-Ban. Ce groupe italien, crée en 1961, est le numéro un mondial de la fabrication et de la distribution de lunettes (Rapport XERFI 2008). Avec un chiffre d’affaire consolidé de 4 966,1 millions d’euros en 2007 (+6,2% par rapport à 2006), Luxottica est également le numéro 1 mondial dans le luxe et voit son chiffre d’affaire augmenter depuis 2003 ne

2000 grâce à de brillants placements de produits et un nouveau design pour le modèle Wayfarer en 2001. En 1999, Luxottica rachète la prestigieuse ligne Ray-Ban. Ce groupe italien, crée en 1961, est le numéro un mondial de la fabrication et de la distribution de lunettes (Rapport XERFI 2008). Avec un chiffre d’affaire consolidé de 4 966,1 millions d’euros en 2007 (+6,2% par rapport à 2006), Luxottica est également le numéro 1 mondial dans le luxe et voit son chiffre d’affaire augmenter depuis 2003 ne

proposent plus de 1 300 produits. L’entreprise a obtenu en 2006 le trophée de l’entreprise citoyenne, qui crédibilise la marque dans son marché. Elle est indépendante, elle n’est pas ralliée à d’autres grands groupes. Elle a de nombreux points de distribution : grandes surfaces, magasins de marque, pharmacies et parapharmacies. 60% des produits sont fabriqués dans l’entreprise (dont 90% matières premières) Elle a une forte croissance économique : 11% par an, jusqu’à 32% entre 1999 et 2008. 65% des