Dissertation Métaphore Filée

pourrait penser que Mme Tim est la représentation de Déméter qui est la déesse de la terre, de l'agriculture et de l'abondance. L'auteur utilise plusieurs figures de style pour décrire Mme Tim telle que la déification, la métaphore et des énumérations. La déification et les métaphore nous incite à admirer le personnage que représente Mme Tim tandis que les énumérations permettent d'insister sur l'abondance qui règne au château. Il sera aussi judicieux de s'intéresser au regard que porte le narrateur

l'Espoir du renouveau, d'un nouveau printemps pour son inspiration mais anéanti par la mort plus forte que tout. I ] Passé : A ) Une jeunesse tumultueuse : La jeunesse est comparée à un été bouleversé par les vicissitudes du temps. Métaphore filée tout au long du premier quatrain. On devine l'auteur âgé de par la présence du passé irrémédiable, "fut" au passé simple et donc sans lien avec le présent. Celui-ci conserve un souvenir négatif de sa jeunesse, on remarque ceci par l'ouverture

ailleurs, elle invite le poète à un voyage des sens, tout ses sens sont sollicités : « que j'aime voir » « âcres parfum » « vin de bohême » « chevelure profonde » « glacier grondant ». 2. Le voyage du poète Le poème est traversé par une métaphore filée de la mer et des liquides qui connote l'évasion, le voyage. Grâce à Jeanne, le poète s'évade: « Comme un navire qui s'éveille au vent du matin ». La destination est indéfinie. Dans ce poème lyrique où le poète fait un hymne à la femme aimée

Frédéric se penchèrent sur la rampe » l.1) que est considéré comme un ensemble indifférencié et uniforme.  L’importance de cette foule est soulignée par le terme « masse grouillante » l.4. La notion de mouvement ininterrompu est traduite par une métaphore filée qui compare le peuple à de l’eau agitée : « flots vertigineux » l2, l'image d'une eau « impétueuse » l.4, « un fleuve refoulé par une marée d'équinoxe ». Le désordre règne dans cet extrait, le palais des Tuileries est mis à sac. L’énumération

jeunesse » et la métaphore « ténébreux orage » qui marque une période insouciante, immature, une jeunesse tumultueuse. -Fugacité du bonheur vécu de manière éphémère : les expressions « ça et là » et « brillants soleils » -L’image du « tonnerre », de la « pluie » renvoie symboliquement au temps matériel qui agit sur le poète -Prolongement dans le quatrain de la métaphore filée du temps -Effet d’insistance avec « tel ravage » pour marquer l’importance des dégâts du temps. -La métaphore du « jardin

A)      Projet de réussite Discours indirect rapporté : « Il réussirait avec cette figure….esprit » : conditionnel qui correspond à un futur et qui marque l’incertitude de l’avenir. Chp lexical de la réussite : « réussirait, arriver » + métaphore filée de l’escalier Images de dynamisme, d’ascension, d’enthousiasme Sonorités sifflantes (l16/18) : serpent animal froid et hypocrite Duroy est passé d’acteur à metteur en scène organisant son propre jeu, il devient ainsi l’artisan de son propre

non seulement cette femme lui inspire un amour extatique, mais elle fait jaillir en lui un désir. Ceci est perceptible par le mouvement et le caractère animal de la chevelure. La femme est associé à un monde animale et sauvage à travers une métaphore filée : « Ô toison, moutonnant jusqu’à l’encolure ». Cette animalité accentue la sensualité de la femme et amplifie l’amour béat que le poète lui voue. Il veut la sentir, s’en approcher, sentir la proximité, se fondre en elle : « Longtemps! toujours

« teint » à association femme/rose b) Eloge de la beauté de la femme Comparaison Parallélisme à la rime entre « pareil »v6 et « soleil »v3 Mise en valeur de la beauté Apostrophe « mignonne » à expression charmante, flatteuse mais enfantine Métaphore filée v14-15 à femme comparée à la rose Méditation sur l’aspect éphémère de la rose II/ Une invitation à méditer a) découverte de la mort de la rose Expression du temps: temps verbaux « avait déclose » v2 plus-que-parfait, « a point perdu »

énonciation 2. Les chefs d’accusation 3. L’argumentation de sa propre défense Conclusion « dîtes quelle loi… oiseau ? » III. Le désir de liberté 1. Sujet principal (champs lexicaux, souhait de Sigismond…) 2. Le désir illustré par les métaphores 3. La liberté est-elle illusoire ? (incontournable, songe, éléments, réflexion philosophique sur l’homme libre, jusqu’où va le libre arbitre ? Les autres peuvent –ils décider pour autrui ? ... * Double énonciation : parle à lui-même et à

langage imagé Le langage imagé est emprunté à la nature Sartre utilise des métaphores archaïsantes permettant de mieux comprendre. Elles sont accompagnées de comparaison et sont filées. - (l 7) « passeur » Ücomparaison avec un passeur d’eau Oreste est le passeur d’eau et l’eau est l’espace dangereux à franchir(franchissement du Styx fleuve des enfers Ü il assume le double meurtre jusqu’à sa mort) Cette métaphore connote l’errance, l’ignorance. multiplicité des chemins ¹ unicité du chemin choisit