Dissertation Métaphore Filée

Correction des deux questions portant sur 3 poèmes de Ronsard (sujet d’examen) Question 1 Les poèmes B, « Sonnet 5» et C, « Ode à Cassandre » de Ronsard reposent sur une métaphore filée, métaphore qui a la particularité de se développer sur plusieurs vers voire même strophes. Par l’intermédiaire de celle-ci Ronsard compare la beauté de la femme à celle d’une fleur qui suit et subit le cycle du temps. On peut donc relever le champ lexical de la nature, de la fleur sous ses différents aspects

afait fortune. Elle attrape la petite vérole en soignant son fils. Le "grand hotel" varéunir tous les personnages principaux du roman afin de l'achever. Il y a une exposition du cadavre de Nana, traitement esthétique de l'horreur, qui est une métaphore filée du roman pour la décomposition de l'empire. Comment cet excipit signe-t-il la fin de Nana, de l'Empire et du roman? I) Fin de Nana : Cet extrait signe la fin de Nana par la description du cadavre qui s'inscrit dans une description réaliste

Molière se moque de l’intolérance de l’époque(ex : ‘turc’-> quelqu’un pense Ø) Dom Juan -> héros peu sympa -> séducteur / débauché / impie II - Rapports maître – valet : - plein d’exagérations
- Sganarelle Se prend pour un artiste -> métaphore filée grossière/comique
- Souhaits de Sganarelle Rapport avec fin du texte
- Sganarelle se plaint -> mais grandeur Dom Juan le soumet -> (trois phrases) rythme ternaire -> gradation -> impuissance, lâcheté, hypocrisie -> Dom Juan > volonté humaine
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→La nature lui fournit les clés d’accès au monde de la Muse Soumission à la Muse * Réf. A l’inspiration poétique : Muse (v.3), la lyre (v.13) * Une place de choix : place centrale de « rimes » v.7+rejet * La poésie est un guide : métaphore filée du petit poucet v.6 et 7. L’auteur met en parallèle des cailloux et des vers. →Au propre comme au figuré, l’auteur entreprend une quête du verbe. Une quête poétique * Introduction de nouveautés dans une forme classique, le sonnet : insertion

monde connait. Ce procédé nous permet de visualiser l’Irlande, pas celle vue seulement par Jacques Réda mais bien ces clichés, ces images que tout le monde a. On peut noter aussi la présence d’une métaphore filée, celle de l’horloge, qui est mise en relation avec la description de la ville. Cette métaphore passe d’abord par l’utilisation d’un champ lexical spécifique avec au vers 4 « horlogerie » puis « rouage » au vers 6. En Autre élément fondamentale du sonnet, la rencontre qui est présente tout

Tout d’abord, le titre « Un hémisphère dans une chevelure » traduit explicitement une métaphore cosmique.De plus la préposition « dans » signifie qu’il se passe quelque chose à l’intérieur même de la chevelure, et en l’occurrence qu’il y a de la vie en son sein, puisque l’hémisphère représente une partie du monde terrestre, qui est vivant et qui porte la vie. Le poème débute par une prière : « Laisse-moi » ; le locuteur semble demander une permission à son allocutaire, d’entrer en contact avec ses

image qui évoque les Amazones (réel --> mythe) -champ lexical autour du sang : "rouge", "boucher", "tuerie" - Violence s'inscrit par le caractère dépréciatif (univers terreux, fangeux) qui va peu à peu déshumaniser ces mineurs. Finit par une métaphore filée de l'animalisation, de la bestialisation : "troupeaux, bêtes fauves", "mugissement", "claquement des sabots", "galoper", "machoir de bêtes fauves" : cheval (folie), bêtes (fauves, férocité). - Violence par les hyperboles : "gorges gonflées de

tu es triste !"; Acte IV, scène 8, ligne 39 "Pauvre Florence ! pauvre Florence ! " etc..). C'est pourquoi je dirais que Florence est pour moi l'un des personnages les plus marquants de l'histoire. • Les images de Florence dans Lorenzaccio. La métaphore est m’expression de tous les personnages. On s’aperçoit que se dvt ds l’ensemble des discours tout un imaginaire de Florence qui va accéder au rang de personnage a part entière. I. La personnification de la ville en figure féminine ambiguë : un

recueil de poèmes les Fleurs du Mal. Ce dernier, privé des six pièces condamnées pour immoralité, paraît en 1861 et le titre  programmatique révèle  déjà les projets poétiques  de Baudelaire : fondé  sur un oxymore, Baudelaire y  associe les Fleurs, métaphore de la beauté, au mal, autrement dit ,Baudelaire lie l’idéal poétique au mal-être  et pense qu’il faut extraire le mal de la poésie pour en cultiver quelque chose de bien. Ainsi Baudelaire est –il partagé dans ce recueil, entre le spleen et l’idéal

Voyage: Dans les strophes 3, 7 et 8, la figure de style qui est présente est une métaphore filée ( métaphore où on relève d'autres métaphores sur un même thème). Le champ lexical de l'eau et de la mer: «mer»(v7), «flots bleus et bruns»(v8), «un navire»(v9), «vent du matin»(v10), «vaisseau»(v26), «bord sur bord et plonge»(v27), «l'eau»(v28,31), «flot»(v29), «glacier»(v30), «bord»(v32) et «boire»(v33) . La métaphore filée connote le voyage, l'évasion. Au vers 35: «un ciel liquide», montre la différence