Dissertation Métaphore Filée

è Molière se moque de l’intolérance de l’époque(ex : ‘turc’-> quelqu’un pense Ø) è Dom Juan -> héros peu sympa -> séducteur / débauché / impie II - Rapports maître – valet : - plein d’exagérations - Sganarelle Se prend pour un artiste -> métaphore filée grossière/comique - Souhaits de Sganarelle Rapport avec fin du texte - Sganarelle se plaint -> mais grandeur Dom Juan le soumet -> (trois phrases) rythme ternaire -> gradation -> impuissance, lâcheté, hypocrisie -> Dom Juan > volonté humaine

acceptation d’Octave : - La sollicitude inquiète de Coelio : - apparition du champ lexical de la mort : III : Deux autoportraits, comme deux parenthèses dans l’action. 1) Octave : a- structure de la tirade. - la métaphore initiale : -la métaphore filée : -conclusion b- le sens de la métaphore. Compléter les relevés pour faire apparaître trois aspects de l’autoportrait Page 5Danseur de corde vieilles petites figures phrases redondantes    appétit de vivre figures du malheur conformisme la vie d’Octave

l’irréel) ; récit d’une rencontre manquée et d’une disparition 5 C’est peut-être la seule au monde Côté unique de la jf 6 Dont le cœur au mien répondrait Métaphore : leur cœur se parle  métonymie ; hypothèse cf condi présent ; id. verbe v. 8 7 Qui venant dans ma nuit profonde Métaphore : poète désespéré 8 D’un seul regard l’éclaircirait ! … Métaphore filée de la jf porteuse de lumière 3e quatrain : le poète est de nouveau seul dans ce quatrain ; // avec le titre : une allée // s’en aller = partir Les tirets

qualifier, caractériser ou préciser le comparé. - pour créer une image insolite, inhabituelle. - pour donner du réel une représentation personnelle, particulière. La métaphore consiste à rapprocher, à associer ou à assimiler deux éléments, deux termes sans outil comparatif. idem La métaphore filée consiste à prolonger la métaphore au moyen de termes appartenant au même champ lexical. La personnification donne des caractéristiques humaines à un objet, un animal. pour le rendre vivant et donc rassurant

forte luminosité brillante et étincelante. Le mouvement est aussi présent dans cette strophe, lorsque le Soleil « Monté au faite du ciel »(vers 2), mais aussi « au galop »(vers 1) qui nous montre la vitesse. Nous avons aussi la présence d'une métaphore filée du Soleil qui nous montre son importance dans cette strophe, et une allégorie de celui-ci qui nous montre sa puissance «La Terre sent la flamme ardre ses flancs. »(vers 4). Dans cette strophe, Artèmis déesse de la chasse dans la mythologie grecque

Premier paragraphe : métaphore de la guerre en maladie, opposition Guerre/Paix : a)Début du texte : guerre présentée comme une maladie : - l 1 : « c’est une maladie convulsive » - Cette métaphore a pour but d’insister sur le fait que la guerre est mauvaise pour l’Homme. - Métaphore complétée par le champ lexical de la maladie et de la santé : « corps », « santé », « vigueur », « membres », « plaies profondes », « guérir ». C’est donc une métaphore filée qui permet d’insister

d'étoiles", "entrer aux cavernes profondes", "fuyant", "ses noirs chevaux chasasit". On remarque la reprise du thème de l'animal ("troupeau de chevaux") et la présence de verbes d'action qui font référence à l'acitivité de berger. Le poète fait une métaphore filée (la nuit est considérée comme un personnage auquel on attribue des qualités humaines) il s'agit plus précisement d'une personnification. Les élémentes métaphoriques situent le moment de la scène: les cavernes profondes sont des la mythologie

caractérise par une métaphore du subconscient «vaisseau» (v.10) et par une métaphore des troubles qui lui sont lié «bon vent», «tempêtes» et «convulsions» (v.11). Chez ces deux auteurs, le rôle de la musique est celui d'une catharsis. Dans Spleen et idéal, Charles Baudelaire voit la musique comme un moyen d'évasion. Ce poème se construit par le biais d'une métaphore filée comparant la musique à la mer. L'auteur utilise le champs lexical du domaine maritime pour développer sa métaphore «mer» (v.1)

-> il raconte une histoire. II_ => métaphore amenée doucement par glissement. * Dire «oui» est une sorte d'acceptation ; une métonymie (= 'leit motiv'* de la pièce). Sur la scène il y avait une porte du «oui» et une porte du «non». C'est une métonymie qui va glissée à une métaphore par un parallélisme. « Mener la barque » => avoir le pouvoir A partir de là on a une série de comparé facilement identifié même s'il ne sont pas cités (= métaphore filée in absentia). Créon est emporté par son

« ténébreux orage ; tonnerre ; pluie ; brillants soleils », [pic] le champ lexical du jardin : « jardin ; fruits ; pelle ; râteaux ; terres ; fleurs ; sol ». Et c’est en utilisant ces deux champs lexicaux que Baudelaire va construire une métaphore filée sur les saisons et le climat qui va occuper les trois premières strophes. On note parmi les termes importants : « orage ; soleil ; tonnerre ; pluie ; jardin ; fruits ; automne ; terres ; fleurs ». 2. Dans ce sonnet, le temps devient le « Temps »