Antigone la colère de créon
-> il y a 2 didascalies intéressantes ( page 64 et 99 ) qui soulignent la solitude des deux personnages.
La tirade de Créon survient au deux tiers de cette scène et vient briser cette solitude.
=> Ce texte est un plaidoyé, une justification, un moment d'éloquence persuasive où Créon tente de faire entendre raison à Antigone. Pb: Quels armes utilise-t-il ? Comment les mets-ils en oeuvre ? I_ Moyens réthorique utilisé par Créon pr touché Antigone
-> syllepse, contacts physique, émouvoir
II_ Les ressorts de l'argumentation elle même
III_ Les raisons de l'échec annoncé
-> Pq n'arrive-t-il pas à la convaincre ? I_ rqe_ démontrer c'est s'appué sur la science persuader c'est faire appel aux sentiments convaincre c'est faire appel à des exemples
Il va persuader Antigone ; pour être sincère il faut que Créon soit hors de lui, il va s'expliqué. Il ne cesse de faire appel à elle «TU» au milieu, au début et à la fin. Son discours s'adresse à Antigone. Il lui propose un échange de rôle => ampathie. Il faut qu'elle essaie de le comprendre. Créon utilise la ressource des pronoms pr obligé Antigone à changée de rôle. Le plus important c'est qu'il métaphorise son entreprise -> il raconte une histoire. II_ => métaphore amenée doucement par glissement.
* Dire «oui» est une sorte d'acceptation ; une métonymie (= 'leit motiv'* de la pièce).
Sur la scène il y avait une porte du «oui» et une porte du «non». C'est une métonymie qui va glissée à une métaphore par un parallélisme.
« Mener la barque » => avoir le pouvoir
A partir de là on a une série de comparé facilement identifié même s'il ne sont pas cités (= métaphore filée in absentia).
Créon est emporté par son récit, le récit est un pouvoir de persuasion. Simultanément il utilise des moyens réthorique = énumération.
Polysyndète =