Dialogue Avec Un Sauvage

Commentaire d’un poème de Ronsard Les villes et les bourgs me sont si odieux, Que je meurs si je vois quelque tracette humaine; Seulet dedans les bois, pensif je me promène, Et rien ne m’est plaisant que les sauvages lieux. Il n’y a dans ces bois sangliers si furieux, Ni roc si endurci, ni ruisseau, ni fontaine, Ni arbre tant soit sourd qui ne sache ma peine, Et qui ne soit marri de mon mal ennuyeux. Un penser qui renaît d’un autre, m’accompaigne Avec un pleur amer qui tout le

l'auteur. Thomas More, dans Utopie, critique ainsi le fanatisme religieux et l'absence de liberté religieuse, par le biais de la description d'un lieu imaginaire idéal. Le procédé du regard éloigné est également utilisé par Lahontan dans Dialogues avec un sauvage. L'auteur place ainsi ses idées dans la bouche d'un indien, Adario, qui argumente mieux que le personnage européen et incite donc le lecteur à la réflexion et à porter un regard critique sur sa société. De plus, l'auteur peut attribuer à

Supplément au voyage de Bougainville, qui remet en cause certaines affirmations du navigateur français. Deux récits (fictifs, puisqu'ils sont écrits par Diderot) tirés du Supplément s'intègrent au dialogue de A et B: Les adieux du vieillard et Entretien de l'aumônier et d'Orou. Au fil des récits et du dialogue, A et B vont progressivement réfléchir et débattre sur les moeurs et la société européenne en général, qui sont très différentes des coutumes Otaïtiennes dont il est question dans les récits. Ce

a reçu dans son enfance « son éducation sauvage »« le mot « car » ligne 3 est une seconde cause.« la trempe de son âme » le mot « âme » fait référence ici à sa valeur en tant qu’être humain et il y a une référence à la contreverse de Valladolid dans laquelle, les côlons justifiaient l’esclavage en affirmant que les indiens et les africains n’avaient pas d’âme comme tout être humain.Ligne 3 et 4 il y a une antithése soulignée avec le mot sauvage (ce qui est inné ) et le mot « préjugé »

nous suivons : “un loup” puis “ce loup” - description physique bref qui s’appuie sur un contexte familier de l'époque : “un loup n’avait que les os et la peau/tant les chiens faisaient bonne garde” →oppose les loups qui appartiennent à un milieu sauvage aux chiens qui vivent avec les hommes - la fable est hétérométrique ( = les vers sont de longueurs différentes ) mais la plus longue est attribuée au loup, il est dominé par le monde pluriel “les chiens” => le présent de narration donne de la vivacité

1 : Intro (À scanner) Problématique : Quel est l’intérêt du texte ? Plan choisi : I) Un récit pittoresque et animé A) Composition et rythme du récit B) Choix et présentation des personnages II) Un dialogue vif et surtout argumentatif A) L’argumentation du chien B) La vivacité du dialogue III) Visée didactique A) Comment est-elle préparée ? B) La teneur de la morale I) Un récit pittoresque et animé A) Composition et rythme du récit : La situation est rapidement mise en place en 4 lignes

théologie Jean de Léry. Le texte à étudier est tiré du chapitre XIII. Il s’agit d’un dialogue entre l’auteur et un vieil indien Tupinamba. Ce texte remplit des fonctions explicatives et argumentatives. L’échange qu’il rapporte relève du discours épidictique. Il appartient au registre oratoire. L’extrait est censé satisfaire notre curiosité pour ces populations lointaines et développer notre connaissance d’une culture « sauvage ». En quoi est-il donc un texte représentatif de l’humanisme de la Renaissance 

développement Point de vue : Non les sauvages ne sont pas présentés similairement. Argument principal 1 On peut voir une petite similitude des sauvages. Les deux vivent dans la pauvreté et ils sont inférieurs aux Français. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans la présentation de Louis-Armand de Lom d’Arce de Lahontan, le sauvage mène une vie inférieure au Français. Dans l’extrait de Voyages en Nouvelle-France, de Jacques Cartier, le sauvage n’a pas de bien matériel et il est

1578, dans cet extrait, l’auteur nous fait part d’une conversation qu’il a entretenu avec un indigène qui critiquait les mœurs des Français. Le dernier extrait vient des Essai de Montaigne, de 1593, dans ce texte Montaigne défend la cause des « sauvages » du Nouveau Monde. Nous verrons dans une première partie les aspects positifs des trois textes, ensuite nous étudierons les aspects négatifs des textes. Et pour finir, nous verrons comment les auteurs ont voulu éclaire le peuple Français. Nous

l'émeut. Questions possibles Quel portrait l'auteur fait-il de l'Ingénu Quels sont les objectifs de ce texte ? Analyse But majeur de la scène : décrire l’Ingénu et sa découverte de la lecture Construction du texte : progression ++ ; aucun dialogue, uniquement description. Utilisation des temps : 1er paragraphe à imparfait qui a une valeur descriptive ; 2e paragraphe à imparfait utilisé pour les actions de second plan Champ lexical du végétal : arbre, sol, racine, branche, transplanter, terrain