Devoir N2

commémorations portent souvent sur des évènements heureux, comme la fin d'une guerre, l'abolition de l'esclavage, les prouesses d'un inventeur ou d'un héros. La tradition politique des commémorations et des fêtes joyeuses tend à être redirigée vers celle du « devoir de mémoire » qui porte sur des évènements malheureux. Qu’il soit heureux ou malheureux, l’événement du passé a souvent été célébré de manière agréable voire nettement festive. D’une part, afin de ne pas oublier les moments passés, les sociétés

Du fait que le texte est bref, coupé, haché, on dirait que l’auteur règle ses comptes. Seulement, le coté pathétique se retrouve à la fin su texte. Pour lui, à quoi ça servirait d’émouvoir le lecteur ? Le coté instruire est très important : Le devoir de mémoire.

analyser car elles sont le révélateur du rapport que la société dans son ensemble entretient avec son histoire et donc de l’image qu’elle a d’elle-même. Il n'existe pas pour l'historien de « devoir de mémoire » cristallisé dans des revendications catégorielles ou communautaristes, mais bien un devoir d'histoire, un devoir d'intelligence. La seconde guerre mondiale et la shoah sont sur ce plan des exemples achevés. Le problème est donc de savoir comment a évolué l’image des années de guerre chez les

vivons dans un temps qui attache une grande importance à l’enseignement de l'histoire. Il nous semble en effet que l’histoire est une discipline indispensable à la formation des citoyens dans l'Etat. Les historiens nous rappelle toute l'importance du devoir de mémoire à l'égard de ce passé barbare que nous ayons traversé. Garder mémoire en n’oubliant pas le passé, c’est demeurer vigilant et être capable de déceler ce qui dans notre temps risquerait de s’avérer une répétition sinistre du passé. Il paraît

la journée de commémoration de la déportation des lycéennes de ce lycée. « Ceux qui ne peuvent se rappeler le passé sont condamnés à le répéter » disait George Santayana. Et c’est en ce sens que nous sommes aujourd’hui réunis pour effectuer ce devoir de mémoire. Cette commémoration est un acte collectif et une affaire publique ; cela est donc normal qu’elle soit réalisée par nous, élèves du lycée Hélène Boucher, comme l’étaient ses jeunes filles juives déportées. La mémoire est indispensable pour

semaines me fait dire qu'il y a peut-être erreur à "trop en faire". Je ne vois plus le but finalement, culpabiliser, sensibiliser la différence est maintenant difficile à retrouver. En réalité, à trop faire on en oublie l'essentiel. Ce n'est plus un devoir de mémoire c'est devenu par le biais des films une banalisation de la mémoire. Les jeunes ne se trouvent plus sensibiliser par ces crimes nazis ou pas assez reconnaissons-le, seulement ces films ou autres documentaires à intervalles trop réguliers

«levant le ton malgré elle», «le coupant», «Hélène cirant»… Exaspération marqué par des répétitions «Fallait refuser ! Fallait refuser !». Elle prend la défense de S. III. Les problèmes de la survie. Le devoir de Mémoire. Importance du verbe «se souvenir» x4 et aussi le verbe «savoir». Ce devoir de Mémoire concerne bien sur les enfants. Le tabou de Drancy. Dénoncé et qualifié de mensonge par Hélène. On refuse de parles des circonstances de la mort. Critique de la bureaucratie. Démarches intempestives

| |Dénomination sociale | | |de l’entreprise |Compagnons du devoir | | | | |

vécue comme une épopée (affirmation de la puissance militaire/ 2ème DB) -lieux mystiques : discours à l’Etoile le 8 mai 45=liesse populaire -11nov 45 cercueils de soldats amenés à l’Arc de Triomphe autour de la tombe du soldat inconnu/commémoration, devoir de mémoire -Notre Dame de Paris/lieu de culte/chant du Te Deum=prière III-Paris et les divisions L’évolution de l’image de Paris suit la structure de l’ouvrage. Après le chapitre « La victoire », Paris devient le lieu de la « désunion » -Paris

responsabilité des fonctionnaires, les limites du devoir d'obéissance et la notion de "crime de bureau"" aura pu avancer. Le procès aura ainsi permis de juger la responsabilité des fonctionnaires et collaborateurs durant la seconde guerre mondiale, et aura, pour ainsi dire, permis à certains de tourner la page, même si la mémoire de la seconde guerre mondiale poursuit en réalité, aujourd'hui encore son évolution. La France a fait de la mémoire un devoir, des dates sont réservées chaque année à