Demande De Monnaie Chez Les Classiques

la valeur, à quel niveau cela se détermine (=> comment on valorise les choses), la nature de la monnaie, et enfin sur le prêt avec intérêt. Philosophes grecs gèrent leurs cités, on est sur une économie domestique. Au Moyen Age, on a une morale chrétienne avec intérêt collectif, on observe un enrichissement du clergé au niveau local => CITE IDEALE, c'est le rôle et la circulation de la monnaie. Plus tard, avec le courant scolastique interviendra la notion de propriété privée et publique =>

néoclassiques et affirme : • d’une part, qu’il n’existe pas de marché du travail ; • d’autre part, le chômage est principalement involontaire car il reflète l’insuffisance de la demande effective • situation de sous-emploi Plan du chapitre • Section 1 : Une pensée et une méthode d’analyse révolutionnaires • Section 2 : Demande effective et circuit keynésien l’équilibre macroéconomique keynésien • Section 3 : Le diagramme à 45° et Proposition d’une approche théorique innovante et des prescriptions

majeur En matière démographique, l’Etat doit encourager la croissance de la population pour avoir une population abondante. On parle de populationnisme : « il n’est de richesses ni de forces que d’Hommes » cf. J. BODIN. L’afflux de métaux et de monnaie créé de l’inflation dans un pays. Une conception belliqueuse du commerce international Le mercantilisme suppose une puissance militaire importante pour pouvoir favoriser le protectionnisme des Etats => domination économique qui passe par la domination

et non à l’économie dans sa globalité. Ce n’est qu’avec les classiques qu’on va avoir à la fois des analyses des crises, fluctuations, croissance… II) KEYNES La théorie générale de Keynes a) Introduction : J.M. Keynes (1883-1946)  Keynes est très impliqué dans la vie économique et politique de son pays : Ex : Bretton Woods  Keynes le théoricien : Traité sur la monnaie, 1930, Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt de la monnaie, 1936  Keynes le spéculateur : une partie de sa fortune

J F Hochet Introduction……………………………………………………………………………………………………p2 -L’analyse néo- classique -La révolution marginaliste -Vision différentes des classiques -3 grandes écoles Chapitre 1. L’offre et la demande………………………………………………………………………p5 I. La fonction demande II. la fonction d’offre Chapitre 2. Les équilibres de marché et la théorie des prix en concurrence pure et parfaite.p9 I. Les hypothèses de la concurrence pure et parfaite II. Détermination du prix d’équilibre en concurrence

établit des passerelles entre la production et la consommation de la dépense donc de passerelles entre l’offre (production) et la demande. L’analyse de la répartition occupe une place centrale dans l’explication des mécanismes économiques. Ceci à cause des interdépendances qu’elle contient. Cette position privilégiée occupe l’analyse de la répartition entre l’offre et la demande, entre la production et la dépense explique pourquoi l’analyse conditionne la plupart des mécanismes écoq fondamentaux. Par

Approche néo-classique, approche keynésienne Auteurs : B. Dirou, et JP.Testenoire Approche néo-classique Approche keynésienne L’approche est micro économique : Les néo-classiques étudient le comportement des agents économiques individuels rationnels (consommateurs, producteurs). Héritière de l’école marginaliste, « elle envahit de plus en plus la macro économie dans le cadre de la recherche sur les fondements micro économique » - B. Guerrien, Dictionnaire d’analyse économique- Repères-

1 PROBLÉMATIQUE RÉELLE ET ANALYSE MONÉTAIRE CHEZ FRANÇOIS QUESNAY Edwin Le Heron Maître de conférences à Sciences Po – Bordeaux La théorie de François Quesnay est un des premiers essais de constitution d’un système cohérent d’économie politique1, où les rapports entre la problématique, l’analyse et la politique sont menés. Si sa problématique de l’ordre naturel providentiel et du produit net tombe rapidement en désuétude entraînant dans l’oubli la physiocratie, son analyse monétaire de

 V. Repères dans un dédale : la pensée économique depuis Keynes Oeuvre de Kaynes ambigue et multiforme = controverse chez ses hértiers. Années 1950-60 : guerre des deux Cambridge : - keynésiens outre Atlantique = synthèse avec la pensée néo-classique - disciples anglais = défenseurs de l'orthodoxie de Keynes Parrallèlement, ertains libéraux (Friedman) réfutent tte conciliation avec les keynésiens. Echo particulier ans les années 1970-80. De plus, deps 1945, ++ hétérodoxies (marxisme/institutionnalisme)

théories monétaires dominantes perçoivent le rôle de la monnaie dans l’activité économique et comment elles fournissent un cadre théorique aux pratiques monétaires. Le choix se porte arbitrairement sur les principaux courants de pensée économiques (classique, keynésien, néoclassique, et marxiste), sachant qu’une stylisation et même une simplification est nécessaire. Section I – La théorie classique (18è siècle à 1936) Pour les classiques, la monnaie est un voile, en ce sens que les forces monétaires