Demande De Monnaie Chez Les Classiques


siècle
et
la
pensée
physiocrate
: ............................................................................................... 6
 Chapitre
2
:
La
révolution
industrielle,................................................................................ 8
 la
pensée
classique
et
socialiste ......................................................................................... 8
 I.
Les
éléments
déterminants
: ...........................................................................................................

Chapitre 3 : Les classiques et le marché autorégulateur Introduction Les classiques sont des économistes qui tentent de répondre à plusieurs types de questions relatives au système économique, notamment s'intéresser à l'évolution des rentes, des salaires et des profits, des questions concernant l'accroissement économique (distribution des richesses). Ils sont relativement pessimistes sur l'avenir du système économique. Plusieurs d'entre eux font l'hypothèse que le système économique arrivera à

assure l’équilibre de l’offre et de la demande sur tous les marchés. L’échec de ce discours libéral jeta le discrédit sur la théorie néoclassique et contribua à expliquer la réorientation de la recherche économique et l’émergence d’analyses nouvelles comme celle de Keynes (1883-1946). Les analyses de Keynes sont principalement contenues dans deux de ses nombreux ouvrages : Traité sur la monnaie (1930) et Théorie générale de l’Emploi, de l’Intérêt et de la Monnaie (1936). Dans ce second ouvrage, Keynes

le cycle. Hayek s’est opposé à Keynes dans l’analyse de la crise des 1930s, car pour lui elle repose sur une insuffisance de l’épargne, alors que Keynes met au contraire l’accent sur l’excès d’épargne. I) Une filiation marquée par rapport aux classiques dans sa vision de la crise… A) L’adhésion à la loi des débouchés de Say et à la main invisible de Smith… Hayek s’inscrit dans la tradition libérale : celle de l’ordre spontané, de la main invisible d’Adam Smith. Dans la grande société, des individus

Le profit chez Marx et Ricardo. INTRODUCTION : Accroche : L’article publié en octobre 12 « de l’exploitation à la loi de baisse du taux de profit » montre que les théories de Marx sont encore à l’ordre du jour. Mais il faut pour cela la comprendre. Définition du profit : revenu proportionnel à la valeur du capital et dépend du taux de profit (Ricardo) OU plus value sur le capital avancé (Marx). Ricardo, économiste du 18 éme siècle et Marx du 19 éme qui ne se côtoient donc pas.( parler de leur livre)

................................................................................................ 16 LES CATEGORIES ECONOMIQUES : CIRCUITS ET EXCEDENT FINAL ................................................................................. 18 LA MONNAIE CHEZ LES MERCANTILISTES ..................................................................................................................... 19 LOCKE ET LA BALANCE DU COMMERCE .......................................................................

l'économie va dans le même sens que la démocratie et le droit. Jacques Généreux explique l'économie à tout le monde. Histoire de la pensée économique et principaux concepts Les mercantilistes, les physiocrates, l'école classique anglaise, les écoles de la théorie néo-classique, les développements de la science économique depuis 1930. Les mercantilistes Comprendre les enjeux de cette époque Il se développe à la fin du 15ème début 16ème, période de 1450-1750 mise en avant d'un état autonome face

économiques Chapitre 5 : Les Classiques Il existait une réflexion sur l'économie au cours du moyen âge : st Thomas d'Aquin, st Thomas d'Aresnes. Et également dans l'antiquité avec Platon, Aristote. On étudiera l'économie comme savoir singulier de la société s'autonomisant de la théologie de la morale et de la philosophie politique. Cette autonomisation interviendra au XVIIIème siècle avec les physiocrates, puis avec Adam Smith (1823 – 1890), considéré comme le premier classique. Les physiocrates

libéral (1937) “La «Théorie générale» de M. Keynes” Un document produit en version numérique par Serge D’Agostino, bénévole, professeur de sciences économiques et sociales Courriel : Sergedago@aol.com Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" Site web : http ://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web : http ://bibliotheque.uqac

ou circuits inflationnistes). Ainsi définie, comment l’inflation peut-elle s’expliquer ? L’analyse classique, inspirée par la théorie quantitative de la monnaie, explique l’inflation par une augmentation des moyens de paiement plus forte que la croissance de la production. John Maynard Keynes, quant à lui, envisage l’inflation comme le résultat d’une inadéquation entre l’offre et la demande. Une troisième approche considère que l’inflation ne se déclenchera que s’il se produit une hausse des