De La Colère Sénèque

Ménélas et d'Hélène, orgueilleuse et jalouse d'Andromaque. Elle est d'abord fiancée à Oreste mais promise par son père à Pyrrhus dont elle est amoureuse. Elle est humiliée par le dédain et la félonie de Pyrrhus qu'elle aime naïvement. La violence de sa colère, à la mesure de son dépit, l'amène à manipuler Oreste pour arriver à ses fins. Pyrrhus : fils d'Achille et roi d'Epire, il est aussi l'assassin de la famille d'Andromaque. Il doit épouser Hermione, mais il est amoureux d'Andromaque et l'épousera

Phèdre Le destin tragique de Phèdre a inspiré un grand nombre d’écrivains depuis l’Antiquité (Euripide, Platon, Sénèque…). Jean Racine est un de ces auteurs, il a écrit Phèdre en 1677. Cette œuvre théâtrale tragique rend compte des caractéristiques du Classicisme. Ce mouvement artistique et littéraire se développe durant le règne de Louis XIV, « le Roi Soleil ». Le château de Versailles est l’instrument de la splendeur et de l’autorité de ce roi. Dans son enceinte, une multitude d’artistes évoluent

riumpha de loger des riumphal… Après un difficile manège, le Comte parvient à donner sa riump à Rosine, mais cela n’échappe pas à Bartholo. Le Comte sort. Bartholo veut récupérer le billet. Rosine riumph que c’est une riump de son cousin et le met en colère pour gagner du temps. Le tuteur va fermer sa porte pour éviter la fugue dont le menace Rosine. Juste le temps pour elle pour substituer la riump avec celle de son cousin. Rosine, sauvée, feint un évanouissement. Le tuteur tombe dans le piège et en

tentaient de trouver un rythme de vie calqué sur la totalité cosmique, libérée des passions négatives, qui deviennent des troubles et engendrent angoisse et colère. Ce détachement amène donc le stoïcien à considérer chaque évènement comme un moment nécessaire à la bonne marche de l'univers. D'après Philo-net, les plus célèbres Stoïciens : Sénèque, Epictère et Marc-Aurèle, pensent que l'ataraxie serait "la paix de l'âme, l'indifférence de l'esprit", que nous sommes maître de nos opinions, de nos pensées

tragédie antique grecque. Médée qui est une princesse et aussi une sorcière mariée à Jason, mais Jason ambitieux et lassé de sa princesse à prévu d’épouser à la fille de Créon, roi de Corinthe. L'abandon et la trahison de son époux déclenchent une colère sauvage de Médée. Créon craignant qu'elle ne se venge sur lui et sur sa fille, décrète aussitôt l'exil de Médée et de ses deux enfants. Médée elle parvient à empoisonner la fiancée de Jason et son père. Elle tue alors ses propres enfants, pour faire

Jason de mobiliser sa colère et son désir de vengeance est abruptement coupée par ces deux vers qui le ramènent à la réalité de son impuissance, et le poussent au renoncement. Cet abandon est motivé par la fatalité à laquelle il est confronté, et est annoncé dès les deux premiers vers : « ô dieux ! ce char volant, disparu dans la nue/ La dérobe à sa peine, aussi bien qu’à ma vue ». la constatation de son impuissance et l’abandon forcé de sa vengeance donnent lieu à la colère de Jason qui, si elle

vainqueur. Eschyle est le premier grand auteur des tragédies grecques, suivi de Sophocle et d’Euripide, instaurant les grandes règles du genre, avec des œuvres d’environ quinze cent vers. Les tragédies attiques (=athéniennes) seront reprises à Rome avec Sénèque, illustrant la plupart du temps la violence romaine, avant de disparaître au Moyen-Âge, jusqu’à l’époque classique. B) La tragédie classique La tragédie classique est caractérisée par une œuvre dramatique en vers et est soumise à des règles strictes

leva par avance ; et courant m'embrasser, Il m'écarta du trône où je m'allais placer. Depuis ce coup fatal le pouvoir d'Agrippine Vers sa chute à grands pas chaque jour s'achemine. L'ombre seule m'en reste ; et l'on n'implore plus Que le nom de Sénèque et l'appui de Burrhus. ACTE PREMIER 5 Britannicus ALBINE Ah ! si de ce soupçon votre âme est prévenue, Pourquoi nourrissez−vous le venin qui vous tue ? Allez avec César vous éclaircir du moins. AGRIPPINE César ne me voit plus,

leva par avance, et courant m’embrasser, Il m’écarta du trône où je m’allais placer. Depuis ce coup fatal, le pouvoir d’Agrippine Vers sa chute à grands pas chaque jour s’achemine. L’ombre seule m’en reste, et l’on n’implore plus Que le nom de Sénèque et l’appui de Burrhus. ALBINE Ah si de ce soupçon votre âme est prévenue, Pourquoi nourrissez-vous le venin qui vous tue Daignez avec César vous éclaircir du moins. AGRIPPINE César ne me voit plus, Albine, sans témoins. En public, à mon heure

trois personnages. Les masques servaient aussi comme amplificateur de voix. Sur les masques, les traits sont grossis pour permettre aux spectateurs de deviner aisément le statut du personnage (vieillard, esclave, roi, ...) ou ses émotions (haine, colère, pitié, ...). Pour les rôles importants, comme ceux de Roi ou de héros de la mythologie, les acteurs chaussaient des « cothurnes » : c’était des chaussures constituées d’une épaisse semelle en bois, qui leur permettaient de se donner un air majestueux