De La Colère Sénèque

Œnone. De cette tragédie grecque, Racine se démarquera en transformant la mort de son héroïne en un moyen d’innocenter Hippolyte alors que, par elle, Euripide signait la condamnation de son héros. Sénèque À la détresse tragique et impuissante de la Phèdre d’Euripide succède chez le dramaturge latin Sénèque (4 av. J.-C.-65 apr. J.-C.) la peinture furieuse d’une inclination pleinement assumée. La crainte de la toute-puissance divine qui imprégnait la pièce grecque a laissé place chez celui qui fut le

pardonné. Ainsi, ors du procès d’Oreste, Athéna annonça que son vote irait en sa faveur et que dans ce cas il serait acquitté, si les votes étaient égaux. C’est ce qui se produisit. Les Érinyes furent peu satisfaites, et menacèrent de déverser leur colère sur Athènes en apportant sur la cité malheurs et épidémies. Athéna décida de leur offrir l’hospitalité, tout en les convainquant de devenir des déesses bienveillantes au lieu d’être les symboles de la vengeance. En échange elles se verraient honorer

l’auteur grec Euripide, et Phèdre, de l’auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l’intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit. Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru la calomnie d’Oenone, confidente de Phèdre, contre son fils, Hippolyte, et, sous l’effet de la colère, sans écouter ses protestations d’innocence de son

l’auteur grec Euripide, et Phèdre, de l’auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l’intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit.  Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru la calomnie d’Oenone, confidente de Phèdre, contre son fils, Hippolyte, et, sous l’effet de la colère, sans écouter ses protestations d’innocence de son fils

ces Anciens ont atteint la perfection dans l’art, et qu’il faut les imiter pour produire des œuvres de qualité. Phèdre est ainsi la réécriture d’un mythe antique. Racine évoque d’ailleurs ses sources dans sa préface : les tragédies d’Euripide et de Sénèque. Plaire et instruire Les œuvres classiques ont une double ambition : plaire et instruire. Racine rappelle d’ailleurs dans la préface de Phèdre la portée didactique de la tragédie : « les passions n’y sont présentées aux yeux que pour montrer tout

des grecs et des latins continue donc de nous servir de référence dans notre façon de coucher l’homme sur le papier. 3) Une morale et un art de vivre : par le pragmatisme de leur philosophie, de grands esprits tels que Socrate Plutarque, Sénèque (De la colère, De la vie heureuse) et Horace (latin), dont les poésies et les traités philosophiques furent en vogue à la Renaissance, ont conduit la conscience européenne vers une philosophie profane affranchie de l’idéalisme transcendant chrétien, donc

contenu affectif. En vivant nous nous ouvrons à l’expérience passionnelle, nous la recherchons même ou cherchons à la conserver. Mais quand la passion se transforme et devient insupportable, quand l’amour devient une croix, quand l’affection se mue en colère, alors nous nous demandons pourquoi nous les avons accueillis ou voulus. Est-ce que la passion nous dévoile alors son propre visage ? Ce n’est pas sûr : elle peut aussi bien n’être destructrice que par accident, dans la mesure où nous n’avons su vivre

correspondait secrètement avec Troyens et recevait en échange de l’argent. On découvrit,en effet,des missives et des pièces de monnaie contrefaites par Ulysse et placées dans la tente de Palamède pour le perdre. Pala mède fut lapidé par les Grec en colère. Lors du sac de Troie,il ordonna un massacre générale et il tua le jeune Astyanax; Après le sac de la ville,Ulysse reçut Hécube,la veuve de Priam,en partage et c'est lui qui lui jeta la première pierre,lorsque la malheureuse fut lapidée pour

l'auteur grec Euripide, et Phèdre, de l'auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l'intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit. Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l'acte III, le retour de Thésée a accéléré l'action. Le roi a cru la calomnie d'Oenone, confidente de Phèdre, contre son fils, Hippolyte, et, sous l'effet de la colère, sans écouter ses protestations d'innocence de son

humiliée. Cléone l'incite à bien recevoir le jeune prince et à partir avec lui. Elle refuse, espérant que Pyrrhus lui reviendra. Scène 2 : Oreste déclare son amour à Hermione et lui annonce que Pyrrhus refuse de livrer Astyanax. Elle manifeste de la colère, mais atteste sa fidélité au roi. Puis elle prie Oreste de faire une dernière tentative. Scène 3 : Sûr de la réponse du roi, Oreste se réjouit. Scène 4 : Pyrrhus annonce son revirement : il livre Astyanax et épouse Hermione. Scène 5 : Fier de sa