De La Certitude Wittgenstein

l’environnement. Doc. 4, p. 145 1. L’auteur du texte commence par insister sur la difficulté que l’on rencontre pour évaluer précisément le montant des ressources naturelles. Il existe des réserves prouvées, découvertes et récupérables avec une certitude raisonnable, qui sont celles auxquelles on songe immédiatement ; mais il faut également tenir compte des réserves probables, découvertes mais non exploitées, des réserves présumées (non découvertes) et enfin des réserves spéculatives. 115 ©Hatier

l’environnement. Doc. 4, p. 145 1. L’auteur du texte commence par insister sur la difficulté que l’on rencontre pour évaluer précisément le montant des ressources naturelles. Il existe des réserves prouvées, découvertes et récupérables avec une certitude raisonnable, qui sont celles auxquelles on songe immédiatement ; mais il faut également tenir compte des réserves probables, découvertes mais non exploitées, des réserves présumées (non découvertes) et enfin des réserves spéculatives. 115 ©Hatier

laissée à ses ratiocinations spéculatives, et au milieu la philosophie critique, gardienne des frontières. D’une certaine manière l’empirisme logique et la philosophie analytique sont les continuateurs de ce grand partage – la philosophie pour Wittgenstein n’est-elle pas la surveillante des jeux de langage, et sa tâche spécifique le tri des problèmes sensés et des problèmes absurdes ? Si donc il semble acquis dans la norme intellectuelle d’aujourd’hui que la philosophie n’ait plus rien à dire sur

apprend par les journaux est peut-ˆetre faux (en particulier si le journal est dat´e du 1er avril) ou tout simplement d´ej`a plus vrai du fait de la p´eriodicit´e du journal. De mˆeme, les lois et les r´esultats scientifiques, images mˆeme de la certitude doivent ˆetre consid´er´ees comme des croyances ad´equates reposant sur des propositions scientifiques, c’est-`a-dire r´efutables, qui pourront ˆetre remises en question le moment venu (Popper 1963). A la notion de croyance est associ´ee celle

différentes. Cette étude, en revanche, ne présente un intérêt didactique que si l’on admet que la nature des relations qui se construisent entre P et As a une incidence sur les processus d’enseignement-apprentissage. Ceci constitue pour nous une certitude (cf. les conclusions de notre DEA évoquées en introduction et qui ont fait émerger notre problématique de thèse), étayée par certaines analyses didactiques comme celle de Besse présentée en 4.2.3. Si ce postulat devait être remis en cause, notre