De Gaulle Monarque

légitimistes (favorables au retour des Bourbons) et les orléanistes. Ensuite venaient les républicains et enfin les bonapartistes. La volonté de l'assemblée de rétablir la monarchie semblait au départ évidente mais il fallait s'entendre sur le monarque: Comte de Chambor pour les légitimistes Comte de Paris pour les orléanistes Un concenssus fut établi au profit du Comte de Chambor mais ses exigences ne lui permirent pas de prendre le pouvoir. A défaut de souverain, l'assemblée décida

repose sur le charisme d’un Homme c'est-à-dire son charme, par exemple De Gaulle. * Légitimité démocratique : On obéit aux gouvernants car ils ont été démocratiquement élus. 1962, le général de Gaulle échappe à un attentat et il se dit « j’ai faillit mourir » donc de Gaulle peut mourir mais ces successeur seront pour lui plus médiocre et ils n’auront pas la légitimité charismatique comme lui donc il en faut une autre. De Gaulle aurait même pensé à revenir à la monarchie mais il s’est dit qu’à cette

1er cours, le 24 Janvier 3 parties : L’origine de la Ve repu L’évolution du régime Le fonctionnement du régime Première partie : L’origine de la Vème République La pratique est extrêmement marquée par son origine, notamment avec De Gaulle. Décalage net entre le texte adopté et la pratique des institutions. Il ne donne aucun pouvoir au Président concernant la gestion du gouvernement. L’habitude est prise, le président est la parole du peuple, donc est légitime et a de l’importance.

l’aristocratie britannique impose aux monarques un texte fondamental qui est la Grande Charte. Ce texte a été rédigé pour limiter le pouvoir du roi d’Angleterre de lever l’impôt. De même, en France, la Constitution de 1791 a été adoptée afin d’encadrer les pouvoirs de Louis XVI : on passe ainsi d’une monarchie absolue à une monarchie constitutionnelle. - L’importance de la pratique en droit constitutionnel : « une Constitution, un esprit, une pratique » dit le général de Gaulle. En effet, il y a un texte

il faut remonter à la guerre de 100 Ans où pour la première fois, il est fait mention de cette expression par Jean de Terrevermeille, « caput regni ». Au XVIIe siècle, le Prince est définit comme un « nom de dignité; il se dit d'un Souverain ou Monarque ou Chef d'un Pays, d'un Etat ». Cette définition issue du Dictionnaire de Furetière met en évidence le fait que l'expression renvoi à un pouvoir sans partage, un monopole. Or, c'est contre cette vision du pouvoir exécutif que la Révolution se construit

faire par force, menace, dissuasion, éco, psychologique, etc. Légitimité et contraintes st très distincts mais souvent proches. Il faut souvent la légitimité pr exercer la contrainte. Régime de Vichy régime légal mais était-il légitime ? De Gaulle a mis sa légitimité contre la légalité de Pétain. Domination : capacité à obtenir obéissance sans avoir à utiliser la force. Il n’y a domination que si dominé consent à l’obéissance. Il n’y adonc domination que lorsque le dominant est légitime

les chefs militaires qui étaient déjà en contact avec le Général de Gaulle. Mais l’arrivée de Pflimlin ne suffit pas à mettre fin à la révolte algéroise qui aspirait à son indépendance totale, le gouvernement Pflimlin était lui-même divisé et ne peut plus compter ni sur l’armée, ni sur la police noyautées par l’extrême droit. A cette époque, la France était au bord de la Guerre civile. Désordre donc et le recours au Général de Gaulle, apparait à beaucoup comme « un moindre mal ». Celui-ci profitant

politiques britanniques. En pratique, le monarque britannique n’exerce aucun pouvoir véritable (« Le Roi règne, mais ne gouverne pas ») ; il a une simple autorité morale. Cela étant, la Couronne est un facteur important de continuité et de stabilité dans la vie du pays. C’est pourquoi, la Reine, qui est le symbole de l’unité nationale, assume à la fois un rôle de représentation et un rôle de magistrature morale. Cette influence personnelle vient du fait que le monarque est un personnage très renseigné.

acquiert en effet une position de supériorité par rapport à celui dont il rit : il le domine. Rire du roi ou de Dieu, équivaut à s’en libérer. Louis XV, voulant mettre à l’épreuve un de ses courtisans, lui ordonna de faire un mot d’esprit sur lui, le monarque. À quoi le courtisan répondit : « Le roi n’est pas un sujet. » Cette pirouette pleine d’humour lui donne la victoire dans le combat inégal qui l’opposait au roi, lequel dut s’avouer vaincu. 3. Le rire est une arme, une marque de courage Le philosophe

par ex, a la mort d’Alexandre le grand, il y a fallu partager le territoire et autre, cela a été très compliqué de partager. Autre ex, les monarchies du golfe au proche orient, le Koweït, le Qatar, ils n’ont pas d’institution représentative, c le monarque chef de la famille régnante qui est source de tout pouvoir politique. La pouvoir est individuel mais pas forcément arbitraire. Il n’y a pas d’état de droit, pas de barrière juridique, mais il y a une conscience morale et une conscience religieuse