Ddhc Morale

matière juridique. Les Sophistes, les Epicuriens, les Cyniques ont mis en évidence cet individualisme. Des siècles plus tard, LOCKE l’introduit dans sa doctrine, et en fait un véritable système. Le triomphe de cet individualisme va s’imposer dans la DDHC. Cette doctrine va dominer tout le XIX° siècle, et se retrouver dans notre système juridique actuel. Les idées de base sont celles ou la société est faite pour l’homme et non l’homme pour la société. La liberté s’impose donc comme valeur première

avec son temps. Par ces deux exemples on a donc vu l'aspect abstrait du droit ( gestation, rôle des juges, pression sociale, les arguments pour ou contre, les rôles des pouvoirs publiques, rôle de l'Europe, pression économique, influence de la morale). Pour comprendre le droit il faut avoir a l'esprit l'opposition entre le droit positif et le droit naturel. le positivisme ou philosophie du droit positif Pour comprendre la charnière qui structure l'approche philosophique du droit qui

impersonnelle, elle est la même pour tous et s’applique à tous. Principe récent qui n’est pas universel. Ce principe existe depuis la révolution français, elle est présente à partir de la DDHC (28/08/1789) « les hommes naissent libre et égaux en dignité et en droit ». C’est dans la salle du jeu de paume, avant la DDHC, qu’est proclamé l’abolition des privilèges, c'est-à-dire la loi privée. En effet, il existait 3 ordres : noblesse, clergé, tiers état, qui avait chacun leur propre loi. On voit de plus

éthiques : • L'éthique à Nicomaque • L'éthique à Eudène • La grande éthique ou la grande morale             Il n'y a pas de distinction entre culture et nature chez les grecs, alors que les modernes la font.            Morale pour les grecs: Ensemble de principes qui existent dès la naissance de la cité et reflète les valeurs de la société, qui ne sont pas figés.           Le droit reflète les principes moraux qui régissent la société. Il y a des lois fondamentales, le droit positif concrétise le

valeurs qui fondent notre République ? » Introduction Les valeurs qui fondent notre République se retrouvent essentiellement dans le préambule de notre Constitution, et plus particulièrement dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyens (DDHC). Plus que la liste de ces valeurs, qui en elles-mêmes font pratiquement consensus, ce qui semble important c’est de découvrir ou redécouvrir leurs origines. A partir du contexte de leur naissance, on pourra ensuite se pencher sur la façon de mieux

conséquence est donc le rejet d’un pouvoir divin détenu par une seule personne. En ce sens Constant rejette l’immixtion de la religion dans les affaires publiques en exigeant un pouvoir neutre. Cette idée est directement issue de l’article 10 de la DDHC de 1789 Le libéralisme économique La nouvelle conception de la liberté a conduit une nouvelle forme de recherche du bonheur que Bentham et J. Stuart Mill ont nommé utilitarisme, à savoir que le but de l’action individuelle et de la société est

vertu de la volonté de Dieu et chacun doit obéissance au calife choisi par Dieu. « O vous qui croyez, obéissez à Allah ! Obéissez l’Apôtre et à ceux d’entre vous qui détiennent l’autorité », en retour les titulaire du pouvoir possèdent l’obligation morale de consulter les croyant avant de prendre des décisions politique. A. Les constructions catholiques Théorie qui fait aussi de Dieu la source de tout pouvoir. Origine divine du pouvoir Vision catholique qui fait de Dieu le seul titulaire

------------------------------------------------- La loi est une règle de droit Doc 1 / Art 5 DDHC : La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Cet article proclame les limites du droit de la loi. La loi n’a plus tous les droits comme c'était le cas dans l'ancien régime ; il ne suffit plus qu’elle se manifeste pour qu’elle soit automatiquement moralement et légalement respectable. La DDHC un droit positif ("droit positif" désigne l'ensemble des règles de droit effectivement

l'énoncé prescriptif, c'est la cas concernant l'exemple ci dessus, mais parfois la sanctions n'est pas prévue, elle est implicite mais ça ne veut pas qu'elle n'existe pas. La sanction peut être de différentes formes, elle ne peut être qu'une réprobation morale ou sociale de la part de celui qui a permis l'ordre, l'interdiction, la permission. Mais au delà il peut y avoir une sanction juridique, c'est-a dire l'intervention de l'état pour réprimer le comportement en cause. Si on part du principe que le droit

cité. La liberté des anciens c’est celle de participer la vie politique contrairement à la liberté des modernes. L’individu à Athènes n’existe pas. Il n’existe » qu’à travers la cité. Il ne songe pas à réclamer à la cité des droits. A l’inverse la DDHC garantie des droits l’individu contre le pouvoir. On fait très souvent remonter la naissance du droit naturel à Athènes. Il s’agit d’un droit extérieur à la cité, à la volonté humaine mais pour autant il doit être respecté car il est supérieur. On