Ddhc Morale

Le droit peut-il faire abstraction de la morale ? ® Il s’agit donc de s’interroger sur la fonction du droit, sur domaine d’application. Le « peut-il » doit s’entendre en deux sens coextensifs l’un à l’autre : d’abord il s’agit de la possibilité de fait (est-il possible qu’un droit soit indépendant de toute morale ?), mais aussi, et plus profondément, sur la possibilité de droit : un droit qui ferait abstraction de la morale serait-il légitime, c’est-à-dire serait-il encore un droit ? ® Il faut

Cambriolages : élucidés à 9%.  Vol à la tire : élucidés à 3%. Moralité : mesurer les crimes est donc absolument impossible. B – L’état dangereux. C’est une prédisposition à la délinquance, un symptôme d’infraction. Il n’y a pas de réprobation morale. C’est pourquoi la société impose des mesures de sureté (privation de liberté,…). Loi du 25 février 2008, loi qui ne sera jamais appliquée car contraire aux principes européens : instaure la rétention de sureté : pour les condamnés à au moins

1. Qu’est ce qu’une norme ? Une norme est la signification particulière donnée a un énoncé, elle a deux sens : - statut morale, religion - sens de l’énoncé ce qu’il raconte Ex : il est interdit de fumer dans l’amphi. Son statut est de commander une conduite humaine, il l’a prescrit : indice normatif. Son statut est de norme sociale, peut être morale mais on peut dire qu’il est surtout juridique car il existe une loi qui l’interdit depuis février 1993. Ici, il est dit qu’il est

Droit comme le bien (naturalisme). La notion d’Etat est importante, et notamment c’est un moyen d’opposer et de distinguer la règle de Droit et la règle morale ou encore la règle de courtoisie. En effet, ce sont toutes deux des règles de comportement qui établissent des obligations, cependant les sanctions sont différentes. Les règles de morale sont sanctionnées par la conscience tandis que les règles juridiques sont sanctionnées par l’Etat par l’intermédiaire du système juridictionnel et de la force

populaire, le plus médiatisé. Il est lié aussi au quotidien : violence routière, incivilités mineures. Le droit pénal pose les interdits fondamentaux de la société, ses règles constituent le fondement de toute vie en société. Le droit pénal hérite de la morale judéo-chrétienne et de la philosophie humaniste. Il est utile de poser la liste des interdits qui délimitent le champ de nos libertés. La réponse de la société se doit d’être exemplaire pour entretenir la force de l'interdit. (Le procès du personnel

influencé par différent facteur: - la moral: tjrs à peu près à toute époque et en tout lieu. En 2 temps  d'abord moral religieuse puis moral laïc. - idéaux sociaux: le droit doit répondre à des bsn sociaux fondamentaux. Notamment en assurant la sécurité des individus. - un idéal de justice: ojd la grande majorité des êtres humains souhaitent vivre ds une société juste qui va parfois influencer le contenue de la rgl de droit. I. DROIT RELIGION ET MORAL Toutes les sociétés ont connu au moins

utilisation imprécise ex: "j'ai le droit..." mais ne fait pas nécessairement du droit à ce moment là. "une mère n'a pas le droit d'abandonner son bébé" moralement interdit, mais légalement autorisé = Confusion entre ce que le droit permet, la morale etc. Utilisation abusive et imprécise! Dans la langue française, 2 sens au droit: - Le droit c'est un ensemble de règles de conduite qui gouverne les rapports sociaux entre les individus et dont le respect est assuré par l'autorité public (contrainte

droit objectif : comparaison avec d’autres notions A) Droit et morale Morale : ensemble des règles considérées comme bonne de façon absolue. Science du bien et du mal. Kant, Bentham : séparation nette entre dt et morale. Le dt décide et tranche, efficacité, produit des effets concret. But = se réaliser, se faire respecter, au besoin par la force. Il se manifeste dans l’extériorité. Légalité : conformité extérieure a la loi. La morale touche le fond de la conscience, l’intériorité. Le dt est indifférent

antinomies entre moi et l'autre, entre l'individu et la société » Benveniste. III) La conscience morale A) Tout homme a une conscience morale La conscience morale est simplement la capacité de tout homme à évaluer ses propres actes, ses propres désirs ainsi que les actes des autres ce qui lui permet de faire en permanence des choix tenant compte de cette évaluation. On peut supposer que la conscience morale remplace chez l'homme l'instinct de l'animal en lui indiquant ce qui est bon pour lui, ce qu'il

tous fils de Dieu et frère -> égalité en droit des pers. Bergson: " il a fallu attendre jusqu'au christianisme pour que l'idée de fraternité universelle, laquelle imple l'égalité des droits et l'inviolabilité de la personne devint agissante". La DDHC est la mm idée mais laïque. Il y a une égalité naturelle ( naissance ) des H, ex: on la retrouve dans la catastrophe et le dénuement -> pers ne vaut + que l'autre. Une vie = une autre vie --> convent° ou idée naturelle? · Le juste et l'injuste