Ddhc Morale

distinguer les fondements substantiels et philosophiques du droit. SECTION 1 : Les fondements substantiels du droit Les normes juridiques se rapprochent et sont sous les dépendance de différents facteurs, elles peuvent s'inspirer de principes moraux, religieux, politiques ... PARAGRAPHE 1 : Le droit confronté aux autres règles de conduite A/ Le droit et la religion Dans l'histoire du droit, les règles religieuses ont pu être extrêmement liées voir même se confondre. Exemple : En France

toujours si on examine par exemple le droit et la morale. Il y a des liens certes ( débats contemporains sur l’éthique comme euthanasie) mais il y a des règles juridiques qui n'ont aucun lien avec la morale. Si le code de la route nous oblige a conduire a droite c'est pas plus morale ou plus immorale que de conduire à gauche. A l'inverse il y a des règles morales qui ne sont pas sanctionnées par le droit , comme par exemple le devoir moral d'aider autrui qui est dans le besoin. Si en sortant

Introduction au droit – Cours de J.-M. do Carmo Silva – Grenoble Ecole de Management - 2011/2012 2 Liste des principales abréviations Adde. AJDA Bull. civ. Cass. 1re civ. Cass. com. Cass. crim. Cass. soc. CE C. civ. C. com. CJA CJCE CJUE CPC D. DDHC JCP G s.-sect. Rec. TFUE UE V° Vis Voc. Addendum Actualité juridique Droit administratif Bulletin des arrêts de la Cour de cassation Cour de cassation, première Chambre civile Cour de cassation, Chambre commerciale Cour de cassation, Chambre criminelle

beaucoup de pays étrangers. Cette influence s'est vue doublée par le BGB, le Code Allemand qui influença par la suite les nouvelles codifications. PB : La loi, comme «expression de la volonté générale» selon la formule célèbre de l'article 6. de la Ddhc. a évolué avec le temps un peu partout dans le monde, dans le sens d'une remise en question profonde de sa valeur, et du rejet du légicentrisme à commencer par la France.  Justement, l'universalisation du débat ne tend-il pas à relativiser le problème

le droit de la notion de la morale, la justice, la religion. a) le droit est moral Parfois difficile de distinguer la morale du droit. Morale est considéré comme conforme à sa conception du bien par un groupe de personnes, c'est un idéal qui ne connaît pas d’exception. Possibilité de confondre avec la religion. Car règles morales cachent règles religieuses et vice versa. La morale a pu être définit comme ceux qui n'en ont pas. Carbonier pense que la morale est le masque dans la religion

Notion et source du droit Titre 1 : La définition du droit Droit : ensemble des règles étatiques destinées à organiser la vie en société. Quelle différence entre le droit et la morale ? Avec la morale on n'a pas les mêmes règles tandis que la règle de droit est la même pour tout le monde. La règle morale n'est pas édictée par l’État. Quelle différence entre les règles de droit et les règles de religion ? Dans la religion on peut faire un tri entre ce qu'on veut suivre et ce qu'on ne veut

coercitif. B – Règles de morale : Difficile de distinguer les deux mais ce n’est pas la même chose. La différence c’est que le droit vise à organiser la société tandis que la morale c’est le perfectionnement intérieur de chaque individu, de l’épanouissement de sa conscience. La règle de droit est différente de la règle de la morale par sa sanction. (Règle de droit = sanction étatique ; règle de la morale = sanction intérieure). =) Le droit peut contredire la morale : prescription extinctive :

inconvénients, il est cynique, trop réaliste voir fataliste. Il est complice de la barbarie et peut même la légitimer vu qu’il consiste à étudier le droit sans le juger. Le jusnaturalisme a aussi des inconvénients même si il semble être une garantie morale rassurante quoi que idéaliste. Mais il utilise pour juger un argument malléable, celui de la nature en disant que tel droit positif est contraire à la nature car nul ne détient la définition de la nature. La confusion entre droit et science du droit

cherche toujours à préciser son objet. C'est d'ailleurs tout à fait naturel, dans la mesure où les « libertés » sont étudiées de manière transverse, à travers des champs extrêmement diversifiés, approches religieuses ou théologiques, philosophiques, morales, historiques, sociologiques, juridiques etc... I - LA DIVERSITE DES TERMES REFLETE LA DIVERSITE DES APPROCHES Notre objet n'est évidemment pas d'affirmer que telle terminologie est meilleure que telle autre. Tout au plus tenterons de voir quels

 voudrait  le  berger  des  autres  sciences.       Selon   cette   approche   philosophique,   elle   est   indispensable   au   droit   pour   définir   ces   relations   avec  la  morale,  la  politique  et  l’économie.  En  d’autres  termes,  il  n’y  a  pas  de  droit  sans  philosophie  du   droit.  Dans  cet  aspect  philosophie,  tout  ordonnancement  juridique