Ddhc 1789 Et P

hiérarchie des normes PARAGRAPHE 1 : HANS KELSEN ET LA THEORIE PURE DU DROIT Donc Hans Kelsen (1881-1973), va chercher à présenter le droit sans référence à des aspects moraux ou idéologiques. Avant, c'était pour des raisons religieuses ,puis morales (DDHC). La constitution, de 1791 doit respecter ces principes, approche naturaliste du droit, ça fait partie de l'homme que d'avoir une liberté une égalité ... on se fonde pas sur un Dieu, mais là on sort de la vision théologique du droit, et on dit ça fait

toujours à partir de la Révolution française. En fait, il y a trois mouvements. 1er mouvement : _ J’y reviendrai : c’est la phase même de la reconnaissance par l’Etat des libertés. Tout commence avec la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789, puis avec d’autres textes. Mais là, c’est seulement un problème politique : posséder ou pas une charte qui reconnaît les droits de l’homme. 2ème mouvement : _ C’est la prise de conscience que ces proclamations ne peuvent pas uniquement restées des

bien cession. Ex : France avant qu’il y ait état, disons qu’il né à partir de 1789, avant il y avait un état mais assez différent que celui qu’on connaît aujourd’hui, au Moyen-âge, on parlait d’un système féodal ou pas assez harmonisé, le système français très disloqué… Historiquement, on doit retenir que l’état français s’est construit progressivement, il commence à s’organiser vers le 12ième siècle notamment avec P. August qui est un roi qui va se doter d’une administration centrale. Il va s’entourer

C° Comme son nom l'indique, une constitution est 1 acte « constitutif » du pouvoir étatique. Cet acte qui constitue le pouvoir de l'Etat limite tt éventuel abus du pouv. Comment? Parceque cet acte constitutif va réglementer le pouvoir po. R° en 1789 et le mvmt constitutionaliste au 18eme => la séparation définitive du roi et de l'Etat. On ne pourra plus dire « L'Etat c'est moi » (Louis 14). Au 18 ème siècle, avec l'écriture d'une C°, on a établie 1 ordre stable de l'Etat. Cet ordre stable est

mais aussi par certains aspects du droit civil comme le droit des personnes… la matière relève de la philosophie politique par le rappel des doctrines classiques mais aussi de l’histoire du droit avec l’étude de la genèse et de la portée de la DDHC du 26 aout 1789. Toutes ces matières se recoupent en ce que chacune d’elle concoure à l’aménagement et à la protection des libertés. Le droit des libertés publiques permet de découvrir l’unité profonde de notre système juridique car ce système repose sur un

Doc. 1 : Articles 6, 13 & 14 de la DDHC. Doc. 2 : Article 34 de la Constitution du 4 octobre 1958. Doc. 3 : CC, 27 déc. 1973, Taxation d’office (extraits) Doc. 4 : CC, 29 déc. 1998, Loi de finances pour 1999 (extraits) Doc. 5 : CC, 29 déc. 2009, Loi de finances pour 2010 (extraits) Doc. 6 : CC, 18 juin 2010, SNC Kimberly Clark (QPC) (extraits) Doc. 7 : CC, n° 2010-622 DC, 28 déc. 2010, Loi de finances pour 2011 (extraits) Doc. 8 : CC, n° 2012-662 DC, 29 décembre 2012, Loi de finances pour

essentielle. La communication politique s’intéresse aux institutions. La communication se confond avec l’intérêt général car un message public à cette fonction : accompagne une décision. La libre communication de ces messages est reconnu par la DDHC de 1789 : droit à l’expression + les I° doivent rendre compte de leur décision. Le MP doit aider à garantir le débat. II. La diversité des I° publiques émettrices La loi sur la décentralisation de 1982 a vu émerger une autre forme de communication

la révolution, Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Eric Bournazel, Jacqueline Thibault-Payen (puf) histoire des institutions publiques depuis la révolution française Gérard Sautel et Jean-Louis Harouel (dalloz) histoire des institutions avant 1789: francois saint bonnet et yves sassier (3éme édition Montchrestien) histoire contemporaine politique et sociale de guy antonetti (PUF) histoire constitutionnelle et politique de la france , marcel morabiro et daniel bourmaud (montchrestien)

précisée par l’article 34 de la Constitution et par la jurisprudence du CC. La jurisprudence élaborée par ce dernier est fondée sur le désir de redonner une plus grande vigueur au principe du consentement à l’impôt consacré par l’article 14 de la DDHC de 1789 et repris par l’article 34 de la Constitution. L’idée est de mettre un terme à la multiplication des prélèvements obligatoires opérés par voie réglementaire. Cette volonté se manifeste par des définitions restrictives des prélèvements autres que

servanda : les règles qui lient les Etats doivent être suivies. Et le jus cogen qui sont des règles qu’on ne peut pas enfreindre même si ce n’est pas signé. * Conventionnel : qui ne lie que les Etats qui ont signés. L’art 54 dispose que le PR, 1m, P des 2 assemblées, 60 députés/sénateurs peuvent saisir le COCO avant l’entrée en vigueur d’un traité pour contrôler sa conformité. Il est dit dans cet article que si le traité est contraire à la CO, il faudra réviser la CO pour pouvoir faire rentrer le