Ddhc 1789 Et P

ne veut plus de l'institution des EG. En 1648, régence d'Anne d'Autriche, on imagine (on sort de la fronde) à réunir les EG. On organise des élections, les députés sont élus en 1649, jamais les EG n'ont été appelés. La réunion suivante est celle de 1789, on se trouve en présence d'une vieille institution qui a fait faillite. Les assemblées de notables sont des assemblées restreintes, le roi va appeler autour de lui un conseil provenant du peuple, la différence c'est que les notables sont convoqués

conseil constitutionnel. La loi n’est pas là pour énoncer une idée vague ou un objectif. RQ : il y a des exceptions car il y a des règles de droit qui exprime des valeurs sans forcement avoir un contenu normatif donc directement définissable. EX : La DDHC fait référence au mot « dignité » qui n’a pas de valeur normative précise. Il existe un juge (Conseil d’Etat) qui à donné une valeur a ce mot. Le 27 Octobre 1995 le maire de Morsang-sur-Orge décide d’interdire un spectacle pour atteinte a l’ordre

supposent ensuite de s'interroger sur l'existence d'une définition jurisprudentielle de l'impôt. Section 1: La recherche d'une définition ds les textes juridiques Les textes en droit français ne donnent a priori pas de définition de l'impôt La DDHC de 1789 qui constitue la principale source constitutionnelle du droit fiscal ne définie pas l'impôt mais utilise un vocable voisin, celui de contribution. En vertu de l'art 13 de cette déclaration, « pr l'entretient de la force publique et les dépenses

général Tome 1 (juste pour voir la bibliographie + ce qui concerne le droit adm avant 2001) JL Autin et C. Ribot – Droit administratif général (Litec) dernière édition 2009 (pas un ouvrage de base, mais avec des réflexions très intéressantes) P Chrétien et N Chifflot – Droit administratif (Dalloz Siret) dernière édition 2012, ouvrage historique, son contenu dépasse le contenu de ce qui est demandé, clair et pédagogique Frier et J Petit – Droit administratif, chez montchrétien, 2012, ouvrage

Droit des biens Bibliographie : * C. Atias, droit civil. Les biens, 10ème édition, Litec, 2009 * F. Terré, P. Simler, Les biens, PUF, collection « Thémis », 2006 Introduction : Le droit des biens est la branche du droit privé consacré à la détermination des biens à leur classification ainsi qu’à la définition de leur régime juridique. Cette branche va donc définir les règles relatives à l’appropriation des biens par un sujet de droit ainsi que les différentes modalités permettant

sur le droit français. Ce qui fait le lien matrimonial est le consentement des époux, on ne peut pas forcé quelqu'un a avoir un sacrement religieux. Le divorce est interdit jusqu'à la révolution française. Dans le droit de l'ancien régime jusque 1789, le mariage est perçu comme une possibilité d'enrichissement ou une possibilité d'union politique. Théoriquement ce qui fait le mariage c'est le consentement des époux mais parfois celui la n'est pas le même que celui des parents, ce qui amena à l'apparition

conciliation. Section 2: les politiques criminelles Paragraphe 1: la notion 18ème: réflexion sur le phénomène criminel afin de répondre aux comportements de délinquance et de déviance. Toutes les instances de la société : -l'Etat donc le G et le P, -la société civile (les assos) Stratégie étatique qui sera soumise aux changements de majorité politique car tout va se jouer avec les choix politiques de base. Paragraphe 2: l'application des politiques criminelles Chaque institution a sa politique

En effet, depuis J.J. Rousseau, la loi est considérée comme l'expression de la volonté générale. En conséquence, on considère que la loi est protectrice des libertés publiques. C'est toute la philosophie de la déclaration des droits de l'homme de 1789, de la défense des libertés publiques par la loi. La notion de liberté publique est conditionnée par la loi. On ne fait confiance qu'au législateur pour défendre les libertés publiques. D. Les droits et libertés fondamentales 1) La gestation

été demandé que les 3 ordres soit séparés = refus du clerc et de la noblesse. 17 juin 1789 : l’état français c’est nous. Abbeys seyes. Doter la France de nouvelles instituions. Pouvoir constituant originaire c’est le peuple. C’est l’idée developper à cette époque. Dans ces rév, il y aussi, les droits fondamentaux qui ont été développés. Pour qu’une personne ait certains droit que l’état doit protéger. La DDHC se ratache aux droits naturels. A cette époque on estimait que tout être humain doit être

il ne tire pas son autorité de qq’un d’autre, c’est en cela que c’esrt révolutionnaire. Sieyès a fait parler la nation. Ex :classique de le nation pendant la révolution (les états généraux s’auto proclamenet assemblée constituante, auteur de la DDHC et de la 1ère constit française). C’est dc un pvr originaire qui n’est pas fondé en droit, pas d’acte juridique qui dit à la nation vs etes titulaire de la nation. 2ème idée, ce pvr constituant a la particularité de disparaitre une fois qu’il a accompli