Dangers De La Rhétorique

expression au présent gnomique (de vérité générale) qui souligne le danger (possible) de l’attitude d’Œdipe. - L.28-32 => piste d’analyse : analyse de l’impératif « prends garde » + usages entremêlé du futur et du présent + sémantisme des verbes « découvrir », « risquer », « regretter ». L’insistance de Jocaste répond à l’entêtement d’Œdipe qui souhaite, à tout prix, connaître la vérité ; entêtement qui le pousse à minimiser le danger qui le guette, comme il le dit aux lignes 12-14 (=> piste

Pouvoir des médias, atout ou danger de la démocratie ? Comme vous le savez, le mot "démocratie" désigne un régime politique dans lequel le pouvoir appartient au peuple, c’est-à-dire dans lequel le peuple est souverain. Et actuellement, nous vivons dans un monde démocratique saturé d’information. Nous sommes en effet sans cesse assaillis par toutes sortes d’informations à travers les médias, tels que la télévision, la radio... Mais alors, jusqu’où peut aller le pouvoir des médias ? Représentent-ils

l’extrait : LETTRE 33 Auteur : Choderlos De Laclos Biographie : Carrière militaire. Auteur du 18e siècle, il n’écrit que les liaisons dangereuses en termes d’œuvre littéraire. Dans sa préface, il dit avoir écrit ce roman pour prévenir ses filles des dangers de la mondanité. Œuvres : - 1785, de l'éducation des femmes - 1795, de la guerre et de la paix Le libertinage : Notion née au 17e siècle et qui s'est étendu au 18e, le libertin est celui qui s’affranchit par la raison du mode

Julie. Les questions rhétoriques « Qui n'a pas ses désespoirs ? » « que serions nous devenus » servent au narrateur de justifier sa participation à la moquerie collective faite sur Julie et d'expliquer que « jouer la comédie » en riant est le seul moyen d'atténuer le trouble qu'apportait Julie comme l’affirme la métaphore « le rire était la façon la plus simple de mouiller la brûlure et de l'étendre d'eau » donc en contraste d'éteindre le feu. Julie représente donc un danger car elle met à nu son

donc de lancer une épouvantable tempête apocalyptique que nous pourrions comparer a la fin du monde contre Ulysse. Nous allons donc étudier…. La mer est le seul moyen pour Ulysse de parvenir à Ithaque mais elle est aussi l’endroit de tous les dangers pour lui, car elle est le domaine de Poséidon le « puissant Ebranleur des terres » qui s’oppose au retour de notre héro auquel il promet des mésaventures (vers 289). Le périple d’Ulysse est donc perturbé par la haine d’un Dieu qui souhaite venger

vient du grec « pathos » qui signifie « souffrance ». Les textes pathétiques présentent des personnages susceptibles de toucher le lecteur (enfant, vieillard…), une situation douloureuse qui fait naître la tristesse et la pitié : misère, maladie, danger, accident mortel…Procédés : supplication, lamentation, interrogations et exclamations, lexique de l’émotion, l’hyperbole, l’énumération.- Registre comique : Le comique repose toujours sur un décalage amusant, qui s’exprime par des moyens différents

l'histoire. Elle obéit aux normes de l'orthographe et de la grammaire, mais aussi de la rhétorique, de la poétique. L'écrivain utilise des techniques d'écriture, outils de langages qui lui permettent de se façonner un style, de manière à appuyer son discours, à rendre esthétique sa prose. C'est ainsi qu'il se différencie et devient artiste. C’est ainsi que l’écriture parle à la sensibilité du lecteur, par la rhétorique, l’ironie, ou encore l’argumentation indirecte. L’écriture littéraire parle donc

− Didascalie présente Figaro comme un saltimbanque, un personnage insouciant : « chantonne gaiement » − Le Comte a l'air plus sérieux pourtant il fait preuve d'autodérision (l.5) et s'amuse de sa situation d'amoureux transi (l.6, questions rhétoriques). 2) Théâtre et chanson − accessoire de Figaro = guitare − didascalie « chantonne gaiement » explique les vers qui suivent. L'alternance vers / prose indique ce qui est chanté et parlé. Cela rappelle les comédies ballets de Molière au XVIIe

(1694-1778) est la figure qui incarne dans sa plénitude le siècle des Lumières. Appelé également « siècle de Voltaire », le XVIIIe siècle tient un génie capable d’être à la fois poète, philosophe, essayiste, historien et dramaturge. Élève brillant en rhétorique et en philosophie au collège de Clermont (Louis-le-Grand), il suivit également un enseignement auprès des Jansénistes, qu’il récusera, d’ailleurs, par la suite. Coup de plume piquant et animé d’une touche sans égale, quelques sceptiques dont Friedrich

déclenchant une mise en route, péripéties formatrices, situation finale dont la mise en perspective avec le début permet de tirer une sagesse. La fable, au XVIIe siècle, est un genre pédagogique : l’élève doit mémoriser la morale, apprendre la rhétorique en composant à son tour des récits illustratifs accompagnés de leur moralité conséquente. C’est La Fontaine qui porte le genre à son apogée par : • la maîtrise de l’écriture en vers irréguliers ; l’art du récit qui varie les rythmes, crée