Dangers De La Rhétorique

fontaine nous fait remarquer  les valeurs fondamentales qui sont la liberté et le consentement du peuple, le vers 4 «Voulant forcer les cœurs dans une république » en est la preuve. "Dans Athènes" jusqu'à "ce qu'il put" : la patrie en danger et le recours à la rhétorique. La fable est écrite en alexandrins : "Dans Athène autrefois, peuple vain et léger" (v.1) et en octosyllabes : "A ces figures violentes" (v. 7) cela rend le discour plus vivant . L'orateur cherche a convaincre son peuple en s'exprimant

penser de Kant est clair et précise, le tuteur rend sot sont bétail, c'est à dire le mineur et ceux par les tous les moyens rhétoriques qui lui sont nécessaire. Il s'assure ensuite que ce mineur devienne dépendant de lui en quelque sorte, et qu'il soit formaté dans «  le parc » qui est les éléments qui lui sont permis de penser. De tel sorte que : « ils leur montrent le danger qui les menaces, si elles essaient de s'aventurer seules au dehors ». C'est à dire que le tuteur prépare le terrain de tel

deux discours radicalement différents pour capter l’attention du peuple, le premier est un échec alors que le second marche à merveille. (Premier paragraphe : échec de la rhétorique ennuyeuse, échec de l’argumentation directe) Pour traiter d’un sujet sérieux, l’orateur développe un discours rhétorique avec éloquence. Celui-ci se montre extrêmement virulent : l’hyperbole « art tyrannique » témoigne de la violence que son éloquence veut produire sur le public. De plus, le champ lexical

explicitement nommés ensuite « colons » (l21) » et « députés des colonies » (l25/26). Contrairement à JJ Rousseau dans le chapitre 4 « de l’esclavage » de son « Contrat Social », il pointe directement du doigt les maîtres planteurs. d) l’art rhétorique : - l’emploi du présent dans « je le répète » (l20) et « je déclare » (l22) ainsi que la répétition de « et » dans la première phrase marquent l’oralité. - l’anaphore « périssent les colonies » (l19/20) est une tournure à valeur impérative

28), « je les plains » (v.33) : Oenone partage la souffrance et les peurs de Phèdre.  Le lexique de la peur : « tremble », « crainte » + le comparatif « plus juste que la vôtre » : Oenone justifie l’état émotionnel de Phèdre.  Les questions rhétoriques : « Mais à de tels affronts pourquoi les exposer ? » (v.35), « Pourquoi contre vous-même allez-vous déposer ? » (v.36), « A votre accusateur que pourrai-je répondre ? »(v.41) : Oenone interroge Phèdre pour l’amener à concevoir une

fameuse guerre remportée par les Grecs, d’où est originaire Andromaque. Celle-ci doit faire face à un affreux dilemme. Elle devra choisir entre accepter les avances de Pyrrhus et ainsi épouser l’assassin de son défunt mari, ou les refuser et mettre en danger la vie de son fils Astyanax qui est emprisonné. Racine à travers cette tirade alterne entre désir, horreur, amour et pitié. Nous nous demanderons enfin comment Racine rend cette tirade argumentative et comment il fait apparaitre un dilemme tragique

question. » Après avoir examiné successivement ces différentes options, il synthétisera encore mieux cette conception à la célèbre formule qui fait de la nation « un plébiscite de tous les jours ». Mais ce petit texte est surtout un modèle de rhétorique ou, pour le moins, de dissertation. Il est, à ce titre, très représentatif de la pensée française. Il examine méthodiquement les constituants du concept de nation selon les conceptions de son temps (race, langue, religion, économie, géographie)

Lechar Kenza 1G4HLP-EVALUATIONQuestion d’interprétation Que suggère cette fable sur les limites de la parole? Jean de Lafontaine est un auteur poétique , fabuliste et engagé du XVIIe siècle. En réaction contre le courant baroque, la littérature du XVIIe siècle voit donc avec La Fontaine l’un de ses brillants esprits classiques. Ainsi, en 1668, l’écrivain va écrire ses fables, courts récits en vers comportant une morale critiquant la société de son époque. La fable intitulée « L’Enfant et le Maître

l’utilisation du futur c’est v. 21 « je verrai sauter » , c’est tellement fort et présent dans sa tête , qu’elle mime le geste physiquement : Le veau est entrain de gambader . Reprise du verbe « sauter » au v. 21 et 22 . On trouve plusieurs interrogatives rhétoriques de 18 à 21 : Perrette et de 30 à 31 : Le fabuliste . C . Le registre ● C’est un registre comique qui est présent dans le texte , vu avec humour et ironie . D’abord la Fontaine souligne le rythme de la jeune femme montrant qu’elle est alerte

aussi voir le pronom personnel « toi », « toi qui voyages » « toi qui conduis » l.9 « les choses se précipitent sur toi » l.10. Ces pronoms personnels font du lecteur un interlocuteur direct. Cette implication directe est renforcée par la question rhétorique qui se trouve dans le troisième paragraphe « Tu crois que tu n’es pas…que ce n’est pas toi qui conduis ? » l.8.9. Effectivement, cette question s’adresse directement au lecteur. Nous pouvons aussi constater que l’auteur emploie « tu crois » l.8