Dangers De La Rhétorique

l’usage de l’imparfait à valeur itérative. La société troglodytique semble aux antipodes de la civilisation du XVIIIème siècle par ses coutumes et sa proximité avec la nature ; un espace mythique est ainsi défini, ce que suggère l’interrogation rhétorique initiale. Cet effet est redoublé par l’inscription du conte dans une fiction épistolaire prétendument orientale, que la mention finale du lieu et de la date d’énonciation est chargée de consolider. Enfin, le conte de Voltaire fait dialoguer le héros

venir. Les pronoms interrogatifs « Où…Comment…quel » introduisent plusieurs questions rhétoriques de la ligne 14 à 20 ; l’auteur prouve par ces questions que les peuples donnent au tyran les armes pour se faire soumettre. Le lexique du corps est au pluriel : « tous ces yeux…tant de mains...les pieds » comme si le peuple démultipliait avec son propre corps celui du maître. Les questions rhétoriques nombreuses créent un effet d’accumulation. Chaque question met en parallèle la puissance

racial, religieux et politique. Quels outils de la langue reconnaissez-vous dans ce texte ? Repérez les. (éventuellement les lister au tableau) : champs lexicaux, conditionnel, répétitions, modalisateur, connecteurs logiques, pronoms, question rhétorique…. Analyse de chaque argument dans le tableau. |Argument 1 : historique |« ils ont dû » : obligation mais conséquence de « exterminés » : irrecevable | |Argument 2 : économique

RHETORIQUE I. Introduction : La rhétorique en termes de définition simplifiée, c’est l’étude des « figures », c’est-à-dire, l’usage de la langue qui « s’éloigne plus ou moins de ce qui en eut été l’expression simple et commune », selon Fontanier. Ainsi, il n’y a pas de figure sans écart. Il est question ici d’écart entre le langage littéraire et le langage ordinaire. La question des figures revient de manière récurrente dans les discussions sur la littéralité des productions écrites comme dans

clandestinité, c'était naturellement sans histoires et sans déclarations de principe. Mais je sais que pour tous nos camarades de tous nos journaux, c'était avec un grand espoir secret. Nous avions l'espérance que ces hommes, qui avaient couru des dangers mortels au nom de quelques idées qui leur étaient chères, sauraient donner à leur pays la presse qu'il méritait et qu'il n’avait plus. Nous savions par expérience que la presse d'avant guerre était perdue dans son principe et dans sa morale. L'appétit

morale de l’auteur à celle d’Esope (DC2). Plan de l’analyse linéaire : V. 1 à 14 : L’échec de la rhétorique : L’auteur montre un tribun confronté à l’échec de sa rhétorique, malgré l’urgence de son discours, en raison de la frivolité de la foule. 1re sous-partie : un orateur déterminé V.1 : raccourci par métonymie Athène -> peuple athénien V. 2-3 : enjambement qui exprime l’urgence du danger, tout comme l’usage du verbe « Courut ». De même, aux vers suivants, la violence de son discours

SL4 – Séminaire de littérature XVIe-XIXe siècle : Blaise Pascal Le style pascalien : La rhétorique en question Table des matières 1 Introduction ....................................................................................................................................3 2 Chapitre introductif ........................................................................................................................4 2.1 Contexte littéraire et religieux .................

entre les cas : elle condamne sans distinction. Est-elle encore juste ? Réponse de V? Il prend la déf. de la fille. cette loi = « injuste, inhumaine et pernicieuse ». Elle devrait plutôt protéger la fille >>>il propose une solution : prévenir le danger et non punir le résultat en quoi consiste le texte arg ici ? une question étapes une réponse bilan (méthode): les questions qui permettent d’entrer dans le texte (i.e. consigne ?) Quel est le thème du texte ? de quoi parle-t-il

parce que Bardamu / Céline aime la vie. Usage du présent de vérité générale. Usage de la tournure restrictive pour renforcer l’impact de la formule. « un condamné à mort n’ait pas en même temps reçu la vocation » : humour noir, ironie. 3) La rhétorique du discours: une argumentation classique et maîtrisée La longue réplique de Bardamu a un caractère très littéraire. Rappel : L’exorde « Un exorde est l’une des parties obligatoires du discours : c’est la première. L’exorde comprend un exposé

avantageux que, n’éclatant qu’en paroles, elle avertisse à temps les magistrats d’y remédier ? » -> termes dépréciatifs « murmures, secrets mécontentements » associés paradoxalement à l’adjectif « avantageux » et au verbe « avertir ». + question rhétorique qui renforce le point de vue de l’énonciateur. 2. La rumeur publique n’est pas empêchée par la censure La rumeur est ensuite présentée comme inévitable quel que soit le régime (de liberté ou de censure) : ligne 22 « il faut convenir que partout