Critères Moraux

Qu'est ce que le droit – Partie I Section 1 : les critères du droit Antigone est l’archétype de l'héroïne qui se dresse contre l'arbitraire royal, elle y oppose son sentiment de la justice. Il y a une différence entre le Créon de Sophocle et celui de Anouilh. Chez Sophocle Antigone explique très clairement qu'elle n'acceptait pas que les édits puissent l'emporter sur les lois non écrites des dieux, il y a donc une dimension religieuse chez Sophocle et une supériorité de la loi divine. Chez

devoir est ce là toute la morale ? Faire son devoir peut renvoyer à l’idée d’obligation morale quand on pense faire son devoir c’est à dire agir conformément aux règles, à la justice, on a l’idée d’un bien absolu, universel, transcendant, qui revient à faire le bien. Faire son devoir peut également renvoyer au fait de remplir son rôle ou sa fonction, c'est-à-dire agir comme il convient de le faire, suivant un règlement, des normes qui ne sont pas nécessairement moraux, faire son devoir renvoie

souvent des « bonnes pratiques » – ou des « best practices ». Ce sont des lignes de conduite souhaitables qui visent un certain résultat. Dans l’expression « bonne pratique », l’adjectif « bon » peut prendre au moins un sens fonctionnel et un sens moral. Mais ce dernier ne devient significatif, d’un point de vue éthique, qu’à condition de donner au concept de pratique une définition « épaisse ». On sépare d’ordinaire les usages descriptifs et évaluatifs d’un mot. Mais cette différence est parfois

contre, La Mission de l’Esprit-Saint rejoint un peu aussi la famille orientale, car elle croit au karma et à la réincarnation des mauvaises âmes jusqu’à temps que l’esprit trouve la ‘’vraie’’ voie. Elle suit aussi les principes de l’eugénisme. Critères de discernement 1 La vérité absolue Dans cette secte, je crois qu’il y a un risque de dérive sectaire puisque les idées présentes dans la communauté sont celles d’un recueil de lettres d’Eugène Richer dit La Flèche a laissé dans les différentes

Avoir bonne conscience est-ce un signe suffisant de moralité ? Avoir bonne conscience, avoir la conscience tranquille, c'est avoir une conscience morale. La conscience morale est innée et universelle, tout les hommes ont conscience du bien et du mal. Mais nous n'avons pas tous les mêmes valeurs qui la juge ou le même sens du « bien » ou du « bon » car il n'y a pas plus changeant et plus relatif que la définition de cette notion. C'est pourquoi la première partie de ce développement portera

vaut tout s’équivaut Il y a un confort malfaisant On devient complice du mal SCEPTISIME = Pragmatisme sophistique, relativisme systématisé Les sophistes sont sceptiques, il n’y a pas sa chez Montaigne On trouve chez lui des positionnements moraux 2) Les dangers du dogmatisme Naturellement on à l’impression d’être certain, on aime pas l’inconfort du doutes Suspens nos actions et trancher, on manques de direction Mais le dogmatisme est vecteur d’intolérance Grace au scepticisme

règles dont certaines n’ont rien de juridique comme par ex : les règles religieuses ou morales. D’ailleurs certaines règles de droit ne font que reprendre des règles religieuses ou morales. (Ex : interdiction de voler, de tuer..). La règle de droit ne se distingue donc pas toujours des autres règles par son objet, même s’il est vrai que le droit réglemente parfois des domaines qui sont étrangers à la morale et la religion (ex : règles du code de la route). La conséquence c’est que pour distinguer

Peut-on dire qu'une société est plus civilisée qu'une autre ? Une civilisation est l'ensemble des caractéristiques spécifiques à une société ou un peuple, dans tous les domaines : sociaux, religieux, moraux, politiques, artistiques, intellectuels, scientifiques, techniques... Dans le contexte de notre sujet, la civilisation désigne l'état d'avancement des conditions de vie, des savoirs et des normes de comportements ou mœurs ainsi dites civilisés d'une société. Ainsi peut-on dire qu'une société

restreindre la liberté religieuse de ses employés au nom du principe de laïcité alors qu’elle n’est pas chargée de service public ? Surtout, comment le juge judiciaire pouvait-il conclure à l’existence de ce principe face à une personne privée ? Si les critères d’analyse de la justification et du caractère proportionné de la restriction sont assez classiques, l’arrêt présente surtout l’intérêt de refuser l’analyse de l’association comme une entreprise de conviction laïque pour rechercher l’existence d’une

c’est à dire le principe de la laïcité du droit. Ce qui ne veut pas dire une absence d’influence de la religion sur le droit. -droit et morale : Il existe une certaine interpénétration entre le droit et la morale. Certaines règles sont a la fois morales et juridiques (ex : l’interdiction de volé ou de tuer) il s’agit non seulement de préceptes moraux mais aussi de règles juridiques puisque le vol et l’homicide sont juridiquement sanctionné et même pénalement sanctionné. Il ne faut cependant