Critères Moraux

impérialistes sous prétexte d’interventions armées faites au nom du droit, de l’humanitaire ou de la démocratie ? Dénoncer une guerre comme injuste, ou refuser les usages politiques qu’on peut en faire, suppose des catégories morales et juridiques permettant de dégager des critères de justice applicables à la guerre. I. Différents concept de la guerre juste 1.On distingue généralement trois grandes catégories pour les théories de la guerre juste. La première concerne la légitimité de l’entrée

racontaient les parents, à la fin des films, même les lois et les règles sont basées sur elle. Le fait est que la société est basée sur la morale. L’homme doit constamment choisir entre le bien et le mal. Si l’être humain veut faire le bien, alors il doit faire le bonheur des autres (moralement parlant). Et ce, puisque, selon l’une des définitions vue pendant le cours, la morale est une Science du bien ou du mal, une théorie de l’action humaine en tant qu’elle est soumise au devoir et pour but le bien.

contrats. Titre 1 : la responsabilité civile extracontractuelle (les délits et quasi délits) Responsabilité : c’est le fait de répondre de ses actes. Respondere : répondre. La responsabilité n’est pas seulement juridique, ex : responsabilité morale, répondre de ses actes devant sa conscience. Le for, forum, place publique à Rome, tribunal. Responsabilité politique : en démocratie, responsabilité que des politiques. Démission du gouvernement. En dehors de la sphère du droit. Responsabilité

rien de concret, d’objectif, n’est pas un objet et est présupposée dans l’acte même par lequel elle est pensée. Parle-t-on de tout organisme vivant, de toute vie humaine ? La démarche est différente mais, dans tous les cas, dictée par une posture morale, religieuse, écologique… Si le respect est une notion claire et rigoureusement définie –par Kant notamment –la vie n’est en revanche ni une réalité, observable et indiscutable, ni une substance. Toute vie, en tant que vivant et vécu, a-t-elle des

originalité. 1er chapitre : identification de la règle de droit / 2ème chapitre : identification de la science du droit CHAPITRE 1 : IDENTIFICATION DE LA REGLE DE DROIT L'identification de la règle de droit suppose de déterminer ses caractères càd les critères qui vont permettre de considérer une règle sociale comme une règle de droit. On s'intéressera aux différentes "familles" au sein desquelles chaque règle de droits va s'insérer en fonction de son objet. Par conséquent, on verra 1) le caractère de

des règles de preuves. Il faut qu'il y ai corrélation . Droit Objectifs Chapitre 1: Le critère de la règle de droit | But: Organiser la vie en société et permettre cette vie en société. Il n'y a pas de vie en société sans règles. Celles-ci marchent car tout le monde les respectent. Autres Règles: L'homme en société est soumis 3 autres règles, que celle du droit. Règles morales, organise la société ( aide une personne qui va pas bien ….) Règles religieuses, organise la

d’efficacité ou d’inefficacité des politiques économiques (à partir du modèle OG-DG par ex.). 3 •  Cependant, les critères fondant les priorités des politiques économiques (croissance, emploi, inflation, équilibre extérieur, déficitendettement public…) sont peu explicités et peu fondés en terme d’intérêt général. De même pour les compatibilités ou incompatibilités entre critères. 4 •  2°) Une autre voie d’analyse et de pratiques du choix public est aussi très connue : il s’agit d’une approche

conflits majeurs appelés « guerres ». On connaît l’histoire des guerres du monde, mais dans ce dossier on s’intéressera à la notion de « guerre juste » attribuée à beaucoup de ces guerres. Cette guerre est acceptée par la société car elle a des raisons morales. C’est le cas par exemple des guerres religieuses (les croisades), menées par l’église catholique pour lutter contre les hérétiques (non catholiques), ce qui était considéré un bien commun, une raison acceptable. Mais de nos jours, en cours d’histoire

anglais, fils d'un philosophe, historien, économiste James Mill, John Stuart Mill est devenu un des plus grands penseurs du libéralisme. Il défend la morale téléologique précisément l'utilitarisme, il se base donc sur les conséquences et non sur les moyens. Très tôt, il s'associe au travaux de l'école du philosophe Jeremy Bentham. En effet, en matière morale, Mill adapte l'utilitarisme de Bentham dont il perçoit les limites. Il fonde le devoir sur la recherche du bonheur général et l'étend au domaine

exemple il est difficile de concevoir et d'appliquer des sanctions, idem en droit interne (Si le président de la republique est tenu de promulguer les Lois votées par le parlement, aucune sanction n'est prévue s'il ne le fait pas. La sanction peut ê morale). 2. La règle de droit et l'Etat Lier la règle de droit à l'Etat c'est enfait utiliser le droit que nous connaissons et l'appliquer comme une definition universelle du droit. Ce qui est faux puisque les sociétés ne sont pas toutes des sociétés