Convaincre Persuader Le Lecteur

LF: + connu du XVII ème siècle avec Molière, Racine, Boileau, La Bruyère, Perrault, LF défend la doctrine classique qui est de plaire et d'instruire. né en 1621 et mort en 1695 d'une famille bourgeoise, aisée. il fait des études sérieuses. Grand lecteur , très tôt d'auteur de l'antiquité. Marié en 164, la dote de sa femme lui apporte assez d'argents pour qu'il achète une charge des maitres des eaux et fôrets => Cette reponsabilité lui a permit de mieux connaitre la nature qu'il affectionne. Cette

dans cet extrait une volonté de la part de Madame Borgia de convaincre Gennaro de ne pas la tuer. Elle fait cela en utilisant le registre pathétique avec des images fortes, comme « regard de miséricorde » à la ligne 10, « cette malheureuse femme s'est fait raser la tête, elle couche dans la cendre, elle creuse sa fosse de ses mains » aux lignes 1 et 2, « pauvre misérable femme » ligne 10. Lucrèce fait tout ce qu’elle peut pour convaincre Gennaro, et donc elle tente une demande « écoute-moi » à la

Voici trois textes différents, mais qui ont chacuns des points communs. Tout d'abord le texte de Blaise Pascal intitulé "De l'esprit géometrique et de l'art de persuader" est un essai datant de 1658, Victor Hugo ecrivain et politicien, prononce le discours "Actes et paroles 1, Assemblé legislative" de 1849-1851 à La chambre des Pairs, et pour terminer la préface de Michel Meyer "Rhétorique d'Aristote" en 1991. Chacun aborde a sa facon l'éloquence et les domaines où elle s'exerce. C'est pourquoi

réels. Est-ce l'imaginaire ou la réalité qui arrivera à convaincre le destinataire? D'une part la fiction possède de nombreux atouts étant elle-même un reflet de la réalité. D'une autre part, la fiction possède également de nombreuses limites face à une argumentation claire et précise. Une fiction est avant tout une histoire imaginaire même si elle est souvent inspiré de la réalité. Elle est tout d'abord conçue pour distraire le lecteur et pour le projeter dans un monde imaginaire même si

idée, une abstraction en montrant que les homme sont fous et ont pleins de défauts. Il persuade le lecteur de se moquer des hommes et de lui-même. Il mets en évidence la satire de la superstition en montrant que l'homme se fait des allusions et se ment à lui-même afin de se rassurer. En effet, on retrouve des éléments merveilleux comme « prodiges mensongers » (l.5) ou encore « il y a ceux qui se sont persuadés » (l.15), « imposteur fantaisistes » (l.38). Voltaire, par un discours indirecte où il

L’argumentation Qu’est-ce qu’argumenter ? L’objectif du discours argumentatif consiste à propos d’un thème de soutenir une un point de vue, une opinion qui répond à une problématique. Il faut convaincre un adversaire, soit pour modifier son opinion ou son jugement, soit pour l’inciter à agir. Argumenter, c’est donc définir la stratégie la plus efficace, la plus habile pour * faire connaître sa position, sa thèse, * faire douter un adversaire, faire basculer les indécis, * contredire

Argumenter consiste a défendre ou réfuter une thèse (idée). Le but de l'argumentation est donc de convaincre ou de persuader l'auditeur ou le lecteur. II/ Origine Dès l'Antiquité, les premiers à avoir définis et codifiés sont les orateurs grecs (PLATON, ARISTOTE). Ils développent la rhétorique donc l'art d'argumenter. III/ Les stratégies argumentatifs Pour argumenter, l'auteur tente de convaincre en tenant un raisonnement inductif ( en allant du particulier au général) ou un raisonnement déductif

cherchent à persuader le lecteur, tandis que le texte B entend plutôt le convaincre. Les textes A et C cherchent à choquer le lecteur par un effet de surprise : le texte A est composé de deux paragraphes, le premier tendant vers l’apologie de la guerre (champ lexical de la beauté : l.1 « beau, leste, brillant ») tandis que le deuxième paragraphe consiste en une critique de la guerre (champ lexical de la mort l.7 « mort », « mourant », « mourir »). Le texte C veut également persuader et choquer le

cherchent à persuader le lecteur, tandis que le texte B entend plutôt le convaincre. Les textes A et C cherchent à choquer le lecteur par un effet de surprise : le texte A est composé de deux paragraphes, le premier tendant vers l’apologie de la guerre (champ lexical de la beauté : l.1 « beau, leste, brillant ») tandis que le deuxième paragraphe consiste en une critique de la guerre (champ lexical de la mort l.7 « mort », « mourant », « mourir »). Le texte C veut également persuader et choquer le

d’étude « Convaincre, persuader et délibérer : les formes et les fonctions de l’essai, du dialogue et de l’apologue ». Les textes de Proudhon et Damilaville constituent des exemples d’argumentation directe puisque ce sont des essais, les auteurs adoptent la démarche argumentative de convaincre l’interlocuteur à savoir tandis que celui de Céline propose une argumentation indirecte, le narrateur tirant la moralité du sombre récit qu’il fait des événements, souhaitant ainsi persuader le lecteur en utilisant