Conscience Culturelle

CONTRE LES PHRASEURS DE "GAUCHE" (p. 12) 9. CONTRE LES JUSQU'AUBOUTISTES (p. 13) 10. LES ANCIENS ET LES NOUVEAUX TROIS PRINCIPES DU PEUPLE (p. 15) 11. LA CULTURE DE LA DEMOCRATIE NOUVELLE (p. 18) 12. LES CARACTERISTIQUES HISTORIQUES DE LA REVOLUTION CULTURELLE EN CHINE (p. 19) 13. LES QUATRE PERIODES (p. 21) 14. LES DEVIATIONS SUR LA QUESTION DU CARACTERE DE LA CULTURE (p. 23) 15. UNE CULTURE NATIONALE, SCIENTIFIQUE ET DE MASSE (p. 25) Edition électronique réalisée par Vincent Gouysse à partir de l’ouvrage

universelle des droits de l’homme. Cependant on se demande souvent s’il est vrai que les sociétés non occidentales devraient être encouragées, voire poussée de se conformer aux valeurs occidentales de libération et de liberté. N’est pas là l’impérialisme culturel ? Bien que l’universalité des droits de l’homme (I) soit une évidence, il n’en demeure pas moins que ce caractère universel soit contesté (II) I- l’universalité des droits de l’homme Certains pensent que les droits de l’homme ne sont

foulard aurait été perçue auparavant comme une référence culturelle à des réalités extérieures, elle fait maintenant partie des « sujets de société » qui ressurgissent périodiquement dans l’actualité française. Si le débat sur le foulard islamique est particulièrement vif actuellement, au point de poser le problème d’une nouvelle loi sur la laïcité cela signifie certainement kil y a irruption d’une plus grande sensibilité à la diversité culturelle au sein de la sté franç , accompagnée d’une fragilité

de devenir libre en formant sa raison et est nécessaire à l’homme en tant qu’individu pour devenir humain Argument Nous sommes ignorants par nature .C’est par l’éducation que l’on parvient à quitter la nature et à devenir libre. En effet, la conscience ne peut se former que par l’éducation et la formation des pulsions. Cette « socialisation des pulsions » comme le qualifie le sociologue Norbert Elias dans La dynamique de l’occident est nécessaire à l’homme pour que celui-ci entérine sa séparation

adaptation a la vie sociale, savoir comment agir dans la société. L’enfant apprend à parler, à manger, la politesse, a dormir, à marcher, l’hygiène, il apprend un certain nombre de règles sociales (dès son plus jeune Age) → ACQUIERT UN PATRIMOINE CULTUREL Sans le processus de socialisation, l’enfant ne serait pas un être social. Il ne pourrait pas acquérir de façon spontanée les manières d’agir, de se comporter qui sont celles de la société dans laquelle il vit. → Il serait semblable à un animal

par ses aptitudes à discerner et à décider : il peut changer ses conduites et même influencer la société dans laquelle il vit. Les personnes sont donc les créateurs de leurs cultures et de la société. Certains sont plus influencés par leur milieu culturel et social que d’autre qui y exercent plutôt une influence. De cette constatation on peut détecter un processus qui permet à l’homme de s’adapter à tout ce qui l’entoure. En effet, depuis la naissance, on reprend graduellement les manières d’agir

contextes socioculturels - avec une approche historique et actuelle - en Europe et dans les Amériques. La diversité, qu'elle concerne les groupes ou les individus, est une caractéristique inhérente à toute société. Ces différences identitaires, culturelles, religieuses, etc. nécessitent des capacités de compréhension, de communication et de coopération mutuelles qui soient porteuses d'enrichissement, sous peine de dégénérer sous forme de conflits, de violences et d'atteintes aux droits de l'Homme

entre un | | |individu acteur rationnel et des agents socialisateurs multiples ? | |Repérage du plan |I Certes la socialisation transmet de modèles culturels familiaux différents ce qui contribue à la reproduction des inégalités de départ | | |II Toutefois l’individu est acteur de sa propre socialisation ce qui permet le changement social |

premier intéressé, dans une perspective érudite et pragmatique tout à fait remarquable, même si la dimension idéologique et culturelle nous laisse parfois un peu sur notre faim1. Depuis les années 60, la bibliographie anglosaxonne s’est considérablement enrichie, d’autant plus, comme le fait remarquer Corbin, que, chez les Anglo-saxons, on sent moins de réticences culturelles devant les loisirs de masses, l’hiatus est moins grand entre les élites et les masses en ce qui concerne les loisirs populaires

• culture & sport • Les grands axes de la politique culturelle du Conseil régional de Bretagne Rapport de session - novembre 2005 2 « La culture doit être considérée comme l’ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les façons de vivre ensemble, les droits fondamentaux de l’être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et