Connaissance Empirique

l’interaction entre individus (et quelles que soient la nature et la dimension de ces phénomènes depuis les sociétés globales jusqu’aux phénomènes microsociaux) afin d’en produire une connaissance pouvant éclairer l’action. » Pourquoi fait-on de la sociologie ? Pour comprendre et expliquer => Deux pôles opposés EMPIRIQUE = Les faits Mouvement dialectique THEORIQUE = Les idées Entre ces deux pôles on trouve : la DESCRIPTION (connaitre), INTERPRETATION (comprendre), THEORISATION (expliquer)

I) la conception classique et l'économie comme science : A) Qu'est ce qu'une science ? – Définition de la science : ensemble de connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondées sur des relations objectives vérifiables. Méthode déterminée ? La méthode scientifique : Karl Popper : – le critère poppérien : critère pour déterminer devant un énoncé, devant une thèse, si on était ou pas en face d'une science. Une thèse sera scientifique

annoncer que, loin de s'attacher à la seule forme de la pensée vidée de tout contenu pour en étudier les opérations et les règles comme le faisait la logique générale, son propos est de découvrir les principes a priori qui fondent l'objectivité de la connaissance. Les conditions qui rendent l'expérience possible sont en même temps celles qui rendent possibles les objets de l'expérience. Espace comme paradigme vue que la question de l’espace prend différent signification qui peuvent être jugées de distinctes

et religion) et plus ou moins institutionnalisés qui naissent de l'interaction entre individus, et quelque soit la nature et la dimension de ces phénomènes (depuis les sociétés globales jusqu'aux phénomènes microsociaux) afin d'en produire une connaissance pouvant éclairer l'action. Auteurs : Touraine = société globale Kauffman = interaction (vie quotidienne) Ils se considèrent mutuellement comme sociologues malgré la différence de méthodes et d'objets. Discipline institutionnellement unifiée

Le temps des conjectures (ou la problématique)part et d’une bonne connaissance de son sujet, c’est le temps au chercheur de passer à l’étape des conjectures théoriques, il s’agit d’élaborer une réponse théorique provisoire et opérationnelle à la question de départ pour le faire il lui convient premièrement d’adopter, modifier ou construire un cadre théorique puis dans une deuxième étape d’opérationnaliser ce cadre théorique Introduction Disposé d’une bonne question de dé Nous nous

trois genres de connaissances? En ce qui concerne les connaissances logico-mathématiques, sont des connaissances dont nous n’avons pas besoin de faire d’expériences pour prouver cette connaissance. Ces connaissances nous viennent des mathématiques ainsi que de la logique. Par exemple, nous n’avons pas besoin d’expériences pour montrer que 1+1=2, on l’apprend lorsque nous sommes jeunes et nous ne doutons pas de sa vérité. Par contre, nous en pouvons pas accorder à ses connaissances logico-mathématiques

monde s'est réduit comme une peau de chagrin et l'idéalisme moderne résiste faiblement à la tentation de nier l'"altérité" de la réalité, qui est réduite dans sa totalité à de l'intelligible. Descartes, idéalisme problématique (idéalisme empirique, selon Kant) : la pensée est la réalité la plus évidente, la réalité du monde extérieur est problématique. Seul Dieu peut nous la garantir. Leibniz, idéalisme monadique : les substances sont spirituelles, et Dieu établit une harmonie entre elles

scientifiques empiriques, les vérités du sens commun... À chaque fois, examinez la manière dont nous acquérons ces croyances. Certaines vérités sont connues a priori, c'est-à-dire indépendamment de l'expérience, comme les vérités mathématiques et logiques, d'autres a posteriori, c'est-à-dire au moyen de l'expérience. Nos connaissances a priori semblent immuablement vraies, parce qu'elles ne dépendent pas du monde. Est-ce que les connaissances logiques et mathématiques sont les seules connaissances? En outre

raté occasion de tirer les enseignements des données empiriques obtenues par sa méthode de recherche et de les confronter de fa on systématique avec les résultats recueillis par autres équipes de cher cheurs aide autres paradigmes et démarches de recherche Friedberg convainc de la cohérence théorique de sa méthode de sa valeur potentielle mais on ignore toujours en quoi ce vaste effort de recherche contribué concrètement au cumul des connaissances sur les phénomènes organisationnels et sur la dynamique

PENSEE EMPIRIQUE ET PENSEE THEORIQUE A) OBSERVATION, EXPERIMENTATION DESCRIPTION Le mouvement de la pensée connaissante est d’abord empirique. Il commence par l’observation et l’établissement des faits, leur analyse et leur classification, pour aller ensuite vers leur généralisation l’énonciation d’hypothèse, leur vérification et finalement la formulation d’une théorie. L’observation est une perception intentionnelle et méthodique ayant pour but de mettre en lumière les propriétés et les rapports