Complicité Lecteur Narrateur

du lecteur, => convaincre et persuader Convaincre : réflexion logique Persuader : fait appel à l’émotion, affectivité de l’interlocuteur I) Implication du lecteur dans le discours : - Apostrophe : auteur s’adresse directement au lecteur - Question rhétorique/oratoire : Auteur pose une question, auquel il ne répond pas. ⇨ réponse évidente inutile à formuler But : attirer l’attention du lecteur. - Usage des pronoms « vous, nous… » ou « on» : complicité du lecteur

se fonde donc sur la hantise de la défiguration de sa vraie personnalité auprès du public. A ceux qui ne connaissent que l’écrivain, il veut montrer l’homme dans sa vérité physique et morale. Il voudrait « rendre [son] âme transparente aux yeux du lecteur ». Il fait donc la lumière sur les fautes qu’on lui reproche, en avoue même d’autres, ignorées de tous. Le récit autobiographique n’est pas issu de la vanité, mais de l’urgence : il faut restaurer la vérité. L’accusé ne peut présenter de meilleure

pose à ses lecteurs le problème de l’essence du mal. Tous les critiques s’accordent pour reconnaître à ses deux incorrigibles héros les circonstances atténuantes d’une passion invincible. Cette perspective classe le texte dans la catégorie des grands romans de la passion qui échappent au jugement moral. Mais elle s’accompagne dans ce cas d’un préjugé favorable qui atténue le caractère subversif de l’oeuvre : la jeunesse des deux héros, leur liberté dans la délinquance renvoient au lecteur une image

Sommaire de la séquence 8 t Séance 1 Observer Le Petit Prince : la couverture du livre t Séance 2  Ouvrir Le Petit Prince : l’importance de la dédicace t Séance 3 L’apparition du petit prince (1) : la solitude du narrateur t Séance 4 L’apparition du petit prince (2) : mise en scène de la rencontre t Séance 5 Le prince et sa rose t Séance 6 Des émotions pour une initiation (vocabulaire) t Séance 7 L’importance du dialogue dans le récit d’apprentissage : la rencontre avec

qui ne plaira pas immédiatement à la jeune fille. En ce qui concerne le peintre, celui-ci restait souvent dans son atelier, lieu sacré dans la maison, dans lequel Vermeer engage Griet en tant qu’apprentie pour préparer des couleurs. Face à la complicité qui s'est créée entre ces deux êtres, une sorte de jalousie de la part de Catharina, sa femme, et même de Tanneke, l’autre servante, se développera. Un jour, un des riches acheteurs de Vermeer, Van Ruijven demande à ce que celui-ci fasse un tableau

"un bourgeois". Même article indéfini "les" au vers 21. Mais on n'est plus dans le même monde avec la strophe de transition comprenant le terme "voyou", qui ne fait pas référence aux bourgeois. Puis présence du "je" : peinture du comportement du narrateur. Le regard du poète est extérieur à la scène, mais il est tout de même présent. La formule "Les jeudis soirs" montre l'habitude. Il connaît, il voit le mouvement. On peut se demander si ces présents d'habitude ne traduiraient pas un présent de lassitude

Il va alors entrer dans une sévère dépression et, pendant qu'il tente de s'en remettre, va être longuement interrogé par les autorités et subir la violence des représailles du peuple israëlien qui, malgré son statut de chirurgien, va l'accuser de complicité. Une amie à lui, Kim, va le recueillir chez lui car il est au plus mal. Mais malgré cela, Amine va réussir à se rendre chez lui, où il découvrira une lettre postée par sa femme dans laquelle elle lui demande de ne pas lui en vouloir. C'est à ce

informatifs Caractéristiques : | * Réponse à une question ou à un problème énoncé au point de départ. * Présence d'annonces qui font apparaître le plan de l'exposé ainsi que de reprises et d'organisateurs textuels logiques destinés à guider le lecteur ou l'auditeur | Genres: | la plupart des textes contenus dans les manuels scolaires et les encyclopédies, articles de presse, comptes rendus d'expériences, articles scientifiques... | 7. Textes argumentatifs Caractéristiques: | * But explicite

fin du vers installe le lecteur dans un univers serein. - Au vers 2 ; une réaction brutale sous forme d’alexandrin. Le discours des jeunes gens est provoqué par un spectacle qu’ils jugent incongru (v1) ; première remarque des jouvenceaux formulée de manière impersonnelle (le vieillard est écarté de la conversation). Même effet au vers 4, l’emploi de « il » montre la complicité des jeunes hommes qui maintiennent le vieillard hors de la conversation. - Au vers 3, le narrateur prend implicitement partie

encore en une entrée in medias res (le récit débute dans le feu de l'action). • Il noue le contrat de lecture en indiquant au lecteur le code qu’il doit utiliser dans le cadre de sa lecture ; bref, il place différents signes annonciateurs du genre littéraire auquel il appartient. INCIPITS CELEBRES Certains incipits sont insolites et désarçonnent le lecteur en jouant avec les conventions du roman ; d'autres, par leur concision, leur force ou leur humour, ont marqué les esprits et ont su