Complicité Lecteur Narrateur

lecture Gargantua, « prologue d’Alcofribas Nasier », Rabelais 1534, 2nd roman de R, après Pantagruel : ø ordre chronologique Q° de la parole du narrateur : dit-il toujours la vérité ? Captatio benevolentia : proximité du lecteur : « tu », complicité d’ivrognerie, « mes bons disciples », « mes amours » => comique => connivence avec le lecteur => « réjouissez-vous » annonce la futur lecture et interprétation Prologue d’un érudit : références culture antique (//Platon, Socrate, Homère

notions (la mort) et dont le lecteur peut tirer une leçon morale ou un enseignement. Il constitue également un genre littéraire.Dans l'incipit de la peste, le narrateur "'nous introduit dans la cité'" (cité: état civilisé) d'Oran, préfecture française de la côte algérienne. On remarque qu'il y a une saison mais pas de temps, pas de dates précises malgré le fait que c'est une chronique. C'est une ville moderne de commerce, ce qui est bien naturel car Oran a un port. Le narrateur nous apprend les loisirs

oeuvre pour raconter l'histoire. I) Narration à la 3ème personne: - La technique dite du narrateur omniscient (omniscient narrator) part du principe que l'auteur connaît tout de l'histoire et de ses personnages. Il contrôle l'histoire et intervient parfois dans la narration pour s'adresser directement au lecteur. L'écrivain crée alors une complicité avec le lecteur. - Multiple character focus: le narrateur a accès aux pensées des différents personnages et participe à leur réflexion. Il n'attire

remercia encore une fois, et lui promit de le protéger et de faire sa fortune, celle dont le narrateur jouit. En attendant, il le mena au Théâtre-Français où l’on jouait ‘’Mithridate’’, et, dans le «chauffoir» du théâtre, le lieu le plus élégant de Paris, Jacob commit des gaucheries que son protecteur ne vit pas ou ne voulut pas voir. Jacob termina la cinquième partie de son récit en informant le lecteur qu’il l’entretiendrait dans la sixième partie de «la grande actrice [...] qui jouait Monime

paragraphe : « la ligne descendue au fond de la mer ». Le narrateur utilise le vocabulaire technique de la pêche et de la navigation : « bâbord », « tribord », « tolet », « aviron », « chacun une ligne enroulée à l’index » ; cela accentue la vraisemblance de la scène, et renforce le réalisme de cet épisode commun. Le traitement du temps aussi est significatif : la scène est montrée « en temps réel », sans ellipse temporelle ; le narrateur nous fait suivre tous les actes et paroles des personnages

remercia encore une fois, et lui promit de le protéger et de faire sa fortune, celle dont le narrateur jouit. En attendant, il le mena au Théâtre-Français où l’on jouait ‘’Mithridate’’, et, dans le «chauffoir» du théâtre, le lieu le plus élégant de Paris, Jacob commit des gaucheries que son protecteur ne vit pas ou ne voulut pas voir. Jacob termina la cinquième partie de son récit en informant le lecteur qu’il l’entretiendrait dans la sixième partie de «la grande actrice [...] qui jouait Monime [

Deum» finals. 2. la justification de la guerre Le massacre est ici moralement et socialement justifié: «infectaient», «coquins» présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. 3. la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)

donc « sensuelle », comme si lien logique entre les 2 rouge car dévergondée (s'échauffe : visage enflammé, dos en sueur) : intervention du narrateur entre parenthèses au présent de vérité générale pour éviter malentendu : pas de honte / pudeur qu'elle rougit. « rougissait je vous laisse penser à quoi » : narrateur s'adresse directement au lecteur, complicité b) Par les actions (et paroles) : impudique (montre ses seins) ; indiscrète, impatiente (crie x 2) ; peu de paroles : personnage instinctif

la justification de la guerre Le massacre est ici moralement et socialement justifié: «infectaient», «coquins» présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)

Mouvement……………………………………………………………………….10 A quel type d’adaptation avons-nous affaire ?.....................................................10 Analyse de l’affiche Quel est le public cible ? Les lecteurs du roman de Guillaume Musso, des amateurs de films romantiques, aussi bien les adultes que les adolescents mais certainement un public plus féminin. Analyse iconographique : Quelle(s) impression(s) ressent-on en voyant l’image, à quel(s) sentiment(s)