Complicité Lecteur Auteur

du lecteur, => convaincre et persuader Convaincre : réflexion logique Persuader : fait appel à l’émotion, affectivité de l’interlocuteur I) Implication du lecteur dans le discours : - Apostrophe : auteur s’adresse directement au lecteur - Question rhétorique/oratoire : Auteur pose une question, auquel il ne répond pas. ⇨ réponse évidente inutile à formuler But : attirer l’attention du lecteur. - Usage des pronoms « vous, nous… » ou « on» : complicité du lecteur

ou le pastiche, différents tons (humoristique, tragique, comique) et buts (parodique, ludique, satirique...) Elle recourt à des procédés tels que la transposition, l’expansion ou la réinterprétation. La parodie ou le pastiche créent une complicité avec le lecteur : la première détourne ouvertement le texte fondateur pour susciter le rire, parfois grinçant (Gotlib, texte 6) ; le second nécessite un excellente maîtrise du style de l’auteur initial, et a une visée humoristique (Pierre Gripari, texte

qui sont intelligents aux gens intelligents. » Cédric Watts, critique de Conrad. Il est d’emblée incontestable que les œuvres d’Homère et de Conrad sont de pures fictions. Il en découle que la fiction a pour objectif premier de divertir le lecteur. Mais à juste titre comme le souligne Cédric Watts en disant que « Nostromo n’est pas un manifeste politique, c’est une œuvre de fiction, et pour cette raison elle appartient à un genre qui vise avant tout le divertissement. Affirmer une telle chose

Francisca Corona Commentaire Phèdre – La Negresse Blonde George Fourest, écrivain et poète français (né le 6 avril 1867 et mort à Paris le 25 janvier 1945), est l’auteur de deux recueils de poèmes inspirés sur des œuvres de grands auteurs comme Corneille, Racine et Victor Hugo, mais réécrites de façon burlesque. Un de ces recueils s’intitule La Négresse Blonde et a été publié en 1909 : là, Fourest s’amuse à élaborer des résumés parodiques des grandes pièces de théâtre et des pastiches des poète

attarderons donc à l’affectivité du héros, à la nature qui l’entoure ainsi qu’à l’empressement qu’il montre à échapper à son malheur Extrait du commentaires : L'écrivain français François René de Chateaubriand, un des premiers et plus célèbres auteurs du romantisme, considéré comme un des fondateurs de ce courant dans la littérature française, a publié en 1802, son roman autobiographique « René ». Il a écrit cette oeuvre en utilisant un registre lyrique et lui a mis pour titre son propre prénom

11,12) P : - « Bernard Profitendieu » (lg 6) -Famille aisée « retenus au palais » (lg 4) =>1 sœur, 2 frères, … (lg 3-5) Action de la scène : lettre adressée à sa mère vieille de 17 an, parle de B « c’est bien de lui ». On ne connait pas auteur « non signée » (lg 19) II Incipit pas classique Début In media res : commence après découverte lettre Début théâtral : « c’est le moment de … » (lg 1) => laisse entendre récit à suspens mais en fait non : « mais non » (lg 3) Monologue (lg

En 1782, la publication des Liaisons dangereuses rend célèbre, par le scandale qu'elle provoque, un auteur jusque là inconnu, Pierre Choderlos de Laclos (1741-1803). Il est vrai que l'oeuvre révèle un certain mépris pour l'aristocratie, classe privilégiée dans la société d'ordres de l'Ancien Régime dont les coutumes dépourvues de toute morale affecte particulièrement l'auteur. Dans ce roman épistolaire, Laclos déploie toutes les ressources de la correspondance pour dénoncer le libertinage de moeurs

verrons d’abord que l’apologue est attrayant pour le lecteur, puis qu’il est un bon moyen de séduire le lecteur afin de le convaincre et de le persuader. I- L’apologue est attrayant pour le lecteur L’apologue est très efficace, en effet en dehors du fait qu’il permet d’exprimer des idées souvent complexes. Il n’en est pas moins divertissant pour le lecteur. Sa forme simple et concise permet, qui plus est, de toucher un large public. Lecteur, qui sont attiré par sa facilité d’accès mais également

spécificité et l’utilité du théâtre. Je ne fais pas de la littérature Les Outils d’écriture du théâtre Le texte de l’œuvre théâtrale est double et varie selon la personne a qui il est destine. L’une des parties du texte est destinée aux lecteurs, comporte des éléments qui permettent d’interpréter l’histoire, d’imaginer tout ce qui entoure le texte et qui se sera dit sur scène. Elle contient les répliques des personnages et les didascalies. L’autre partie du texte est destinée aux spectateurs

permet une critique féroce de la monarchie, de la société et de la religion en prenant des précautions. En effet la critique n'est pas directe dans son texte. Le second texte est un article qui a une visée argumentative qui cherche à convaincre le lecteur. Quant à Voltaire, il détourne sa critique en apparences, dans un premier temps il s'agit d'une prière envers Dieu. Mais le contenu de cette demande est en réalité adressé aux hommes. C'est une prière à valeur argumentative et critique. Voltaire utilise