Comparaison Ronsard Et Eluard

l'origine, la poésie était chantée accompagnée d'une lyre : le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle avec des poètes tels qu'Aragon ou Eluard. La poésie lyrique a pour caractéristique sa fonction expressive. Chaque poète lyrique révèle une partie de lui-même dans son oeuvre, en faisant partager ses sentiments personnels et ses émotions aux lecteurs. On peut néanmoins se demander si l'expression

démesurés qui ne trouvent pas uniquement de simples mots pour communiquer ces émotions, mais une harmonie rythmique, visuel etc. - Une fonction d’émerveillement en jouant sur les sonorités et les rythmes. En utilisant des autres métaphores, des comparaisons et des hyperboles, comme le thème du voyage dans Parfum exotique - Les fleurs du mal de Charles Baudelaire. Le rythme lent entraîne l’état d’esprit du poète, sa tranquillité, la paix. - Une fonction de polémique en mettant l’accent sur les valeurs

tas d’interprétations. « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de Ronsard, Amours de Cassandre, 1552 «  Et la mer et l’amour… » Pierre de Marbeuf, recueil de vers, 1628 Alphonse de Lamartine,

.................................................................................................p9 La ballade des pendus ,François Villon ............................................................p10 Mignonne, allons voir si la rose, Pierre Ronsard ( mon poème préfère )..........p12 « Heureux qui comme Ulysse.. », de Joachim Du Bellay.................................p14 Le Front de Maurice Scève ...............................................................................p16 Consolation

Ils invitent aussi à la réflexion et font passer des messages à travers les poèmesLe poète écrit pour se libérer de ses douleurs, il se soulage en exprimant ses sentiments, sa colère, son amour, sa joie, sa tristesse. Il écrit pour mieux vivre. Paul Eluard (poète français du XXème) qui disait : « La poésie c’est ce qui éclaire le monde ». C’est-à-dire que les poètes n’écrivaient pas seulement pour eux mais aussi pour le monde entier, pour que les lecteurs sachent qu’ils ne sont pas les seules à traverser

RONDEAUX / JE NE SAIS COMMENT JE DURE P204 1390/ 1400 JOACHIM DU BELLAY / LES CHEVEUX D’OR 1550 LOUISE LABE / SONNET 2 ŒUVRES P206 1555 RONSARD / SONNET POUR HELENE P208 1578 JEAN DE LA FONTAINE / ELOGE DE L’AMOUR 1669 CHARLES BAUDELAIRE / A UNE PASSANTE LES FLEURS DU MAL / P218 1861 PAUL VERLAINE / MON REVE FAMILIER POEMES SATURNIENS / P216 1866 PAUL ELUARD / LA COURBE DE TES YEUX TEXTE A CAPITALE DE LA DOULEUR P212 1926 LOUIS ARAGON / NOUS DORMIRONS ENSEMBLE LE FOU D’ELSA 1963 PIERRE CORNEILLE

Explication du sonnet de Pierre de Ronsard (1524-1585) « J’aime la fleur de mars, j’aime la belle rose » Cette explication est conçue pour vous guider dans la compréhension de ce texte. Il faut donc la lire avec le sonnet en regard. L’objectif n’est pas de la mémoriser intégralement, mais de vous en imprégner. N’oubliez pas qu’il faudra, le jour de l’oral, adapter votre propos à la question que vous posera votre examinateur. Pierre de Ronsard fait partie du groupe des poètes de La

d’un homme dont la vie fut rythmée par ces différentes épouses. Pierre de Ronsard obtint dans sa vie l’amour de plusieurs femmes, dans lesquelles se trouve une paysanne du nom de Marie Dupin. Ce membre de la Pléiade, abandonna ces idéaux et entrepris une vie heureuse avec son amour, jusqu’à ce que son amour lui soit repris. Dans le second livre de son recueil « les Amours », le ton grave de la mort et omniprésent et Ronsard nous raconte la douleur de sa séparation. Malgré le ton grave de la mort,

Tragiques, 1616) , de conflits divers et de guerres, du « Dormeur du Val » (1870) de Rimbaud dénonçant la guerre par l’euphémisme, aux recueils des poètes de la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, dont Aragon avec Le Musée Grévin (1943), Eluard avec Poésie et vérité (1942) ou encore Robert Desnos et René-Guy Cadou, ou encore de problèmes politiques : Hugo s’est opposé à l’Empire de Napoléon III, qu’il ridiculise dans « Fable ou histoire » (Les Châtiments, 1856) : « Un jour, maigre et sentant

les nomme également « figures de rhétorique » ou « figures du discours ». LA COMPARAISON La comparaison est la figure de style la plus simple et la plus facile à repérer, elle consiste à comparer, avec un mot outil (tel que, comme, semblable à, ... ) Ex: «elle avait la peau blanche comme la neige » Ex: Tes yeux sont bleus comme le ciel LA METAPHORE La métaphore est une comparaison sans outil de comparaison, celle-ci est donc suggérée et implicite. Ex: «l’or du soir» (soleil couchant).